Publié le 17 Juillet 2008
abbaye
Publié le 3 Juillet 2008
Le Cours l'Abbé,à Châtillon sur Seine,a retrouvé sa quiétude après la fête foraine de la Saint Vorles et les Journées Châtillonnaises...
Ce sont les joueurs de boules qui en ont pris possession !
L'origine de son nom par Michel Diey:
Henri Lenet, de Larrey, nommé prieur de l'abbaye Notre Dame en 1664, acheva les édifices commencés, embellit les jardins et fit planter d'arbres cette esplanade qui séparait l'abbaye de la porte de l'Abbaye ou de Paris et on donna donc à ce lieu le nom de Cours l'Abbé.
On l'appela également le Cours Vert et pendant la Révolution le Cours de l'Exercice.
Publié le 26 Juin 2008

Conduisant de la rue de Chaumont (maintenant Dr Robert) à l'abbaye Notre-Dame, elle a toujours porté le nom de rue de l'Abbaye,jusqu'à la Révolution.
Cependant, elle fut quelquefois appelée rue de la Croix Noire, à cause d'une croix qui s'élevait à quelques pas de la porte de l'Abbaye.
Le neuf messidor an II, comme presque toutes les rues de la ville, elle changea de nom et devint la rue Cazotte en mémoire d'un patriote tué à la bataille de Maubeuge, le 11 juin 1792.
L'Empire ne laissa rien subsister des noms dûs à la période révolutionnaire et le préfet de la Côte d'Or rétablit les anciens noms.
Toutefois, pendant une certaine période du XIX° siècle, elle fut appelée rue d'Auberive et rue de l'Hôpital.
L'abbaye Notre-Dame, fondée au début du XII° siècle sous l'impulsion de saint Bernard, fut en grande partie détruite par les guerres de religion.
En 1640, elle était si bien restaurée qu'elle paraissait "plutôt neuve que renouvelée".
Au début du XIX° siècle, l'hôpital fondé par l'abbé Guyotte s'y transporta et c'est alors que l'église, sous le vocable de Saint-Pierre, devint la chapelle de l'établissement, non sans avoir été réduite de plusieurs travées.
Depuis le Cours l'Abbé,on pénètre dans la rue de l'Abbaye en passant sous l'ancienne Porte de Parisque l'on voit au premier plan.
Publié le 26 Juin 2008

Apparemment, ce modeste passage en équerre qui va de la rue docteur Robert à la rue de l'Abbaye, n'a jamais eu d'autre nom,que d'impasse Notre Dame, qui vient, bien sûr, de la proximité de l'abbaye du même nom.
Publié le 21 Avril 2008
En 1115, Étienne Harding envoie le jeune homme à la tête d'un groupe de moines pour fonder une nouvelle maison cistercienne dans la vallée de Langres. La fondation est appelée « claire vallée », qui devient ensuite « Clairvaux ». Bernard est élu abbé de cette nouvelle abbaye, et confirmé par Guillaume de Champeaux, évêque de Châlons et célèbre théologien.
Publié le 21 Avril 2008
Les gens affluent dans la nouvelle abbaye, et Bernard convertit même toute sa famille : son père, Tescelin, et ses cinq frères entrent à Clairvaux en tant que moines.
Sa sœur, Hombeline, prend également l'habit au prieuré de Jully-les-Nonnains.
Dès 1118, de nouvelles maisons doivent être fondées pour éviter l'engorgement de Clairvaux (ex: Abbaye Notre-Dame de Fontenay).
En 1119, Bernard fait partie du chapitre général des cisterciens convoqué par Étienne Harding, qui donne sa forme définitive à l'ordre. La « Charte de Charité » qui y est rédigée est confirmée peu après par Calixte II.
Publié le 13 Avril 2008
l’Eglise Saint Pierre
La construction de l'abbaye fut entreprise au cours du 2e quart du 12e siècle lorsque les chanoines de la collégiale Saint-Vorles, devenus chanoines réguliers vers 1135, quittèrent l'esplanade Saint-Vorles : ils adoptèrent peu après la règle de Saint-Augustin de la congrégation d'Arrouaise, au diocèse d'Arras (bulle de régularisation du 20/09/1138 adressée au premier abbé, Aude) .
De l'abbaye, détruite partiellement au 15e siècle au cours du conflit qui opposa Charles le Téméraire et Louis XI, puis en 1594 au cours des guerres de Religion, ne subsiste plus que l'église.




