Samedi 16 décembre la "Châtillonnaise Gymnastique" avait invité les parents, les amis et les gymnastes, à son Arbre de Noël Gymnique.

Les élèves gymnastes, des plus jeunes aux adolescents ont proposé un éventail des activités qu'ils réalisent tout au long de l'année.

Tous ont déjà défilé tout autour de la salle sous les applaudissements.

La nouvelle Présidente de la "Châtillonnaise Gymnastique", Maud Rouvenacht, a présenté le programme de cette après-midi festive.

Et c'est Huguette Morin qui a expliqué tout au long du spectacle quels étaient les différents exercices de gymnastique proposés aux jeunes Châtillonnais (e)s depuis la petite enfance jusqu'à l'adolescence.

La Châtillonnaise Gymnastique entraîne aussi les adultes et les séniors .

A noter, nous a-t-elle dit, qu'autrefois ce n'étaient pratiquement que les garçons qui fréquentaient la Châtillonnaise-Gymnastique, maintenant ce sont plutôt les filles !

Les adorables petits gymnastes se sont présentés ....

Ils ont fait des démonstrations dans les différents ateliers proposés.

Puis ce furent les gymnastes  un peu plus grand(e)s qui ont montré, dans les mêmes ateliers, leur progression ....

 Blanche Beziaud, notre championne châtillonnaise était présente, elle a fait quelques démonstrations à la barre...

à la poutre...

au sol...

Les jeunes gymnastes ont tenté de l'imiter...et ma foi pas si mal !!

Blanche avait revêtu le maillot de l'INSEP.

En effet, elle appartient , après avoir été au Pôle Espoir de Dijon, au plus grand centre d'entraînement de sportifs de Haut Niveau en France situé à Paris.

Après ces démonstrations qui nous ont montré la progression de nos jeunes gymnastes châtillonnais, le Père Noël est apparu pour la plus grande joie de tous.

(Photo prise en 2011, aux quarante ans de l'ASCLE)

Aujourd'hui, à Laignes, aura lieu un dernier adieu à Jean-Paul Noret, à

10h30 à la salle Christian Destrumel .

Je ne peux m'y rendre, aussi je veux rendre hommage ici à l'animateur du Ciné-Club de Châtillon sur Seine.

Je ne connaissais, en effet, Jean-Paul Noret que par les séances de cinéma qu'il animait avec une grande élégance, et un savoir immense sur le septième Art.

Au ciné Club du jeudi, une fois par mois, après avoir présenté le metteur en scène, les acteurs du film au début de la séance, il lançait le débat, après la projection, et répondait aux intervenants avec une stupéfiante érudition cinématographique.

Il nous racontait son amour pour le cinéma, sa fierté d'avoir été invité pour participer au jury CICAE, au Festival de Berlin (Berlinale), son plaisir d'organiser chaque année des rencontres cinématographiques  à Laignes.

Il m'envoyait chaque quinzaine le programme du Vox de Laignes que je publiais ici, avec ses observations toujours judicieuses sur les films qu'il avait choisi de projeter.

Jean-Paul Noret, vous nous manquez déjà terriblement...

Reposez en paix.

Comme chaque année, les élèves de l'école Saint-Bernard ont dressé un beau sapin de Noël dans leur préau couvert.

Et ils ont présenté à leurs parents, à leurs amis, les jolis décors de Noël qu'ils ont réalisé avec amour en classe.

Voici tous les ravissants objets réalisés par les petites mains...

Ces splendides couronnes de Noël sont l'oeuvre d'une des "Cigales et les Fourmis", dévouées dames bénévoles qui aident les enfants de l'Ecole Saint Bernard dans de nombreuses circonstances : confection des objets de Noël, des costumes pour la Fête de fin d'année par exemple et bien d'autres choses...

"Les Cigales et les Fourmis" vendent aussi des gâteaux au moment du Marché de Noël...

et les objets de Noël aux parents et aux amis de l'Ecole Saint-Bernard...

 Le Horla trouve son origine dans une courte nouvelle de Maupassant, Lettre d'un fou, publiée sous le pseudonyme de Maufrigneuse, en 1885 dans le quotidien Gil Blas, qui développe déjà la même histoire, sans que le nom de « Horla » n'y soit mentionné.

La première version du Horla a été publiée en 1886 dans Gil Blas. La seconde version, plus connue et plus longue, est parue en 1887 dans un recueil de nouvelles homonyme.

Les trois versions se présentent sous trois formes littéraires différentes : Lettre d'un fou, comme son titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé.

La rédaction du Horla coïncide avec les prémices de la folie de Maupassant, de plus en plus victime d'hallucinations et de dédoublement de la personnalité à cause de la syphilis qu'il a contractée. Il tentera lui-même de se suicider en 1892.

Dans son journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles qui le hantent peu à peu, après qu'il ait vu passer un trois-mâts brésilien dans une baie de Normandie, près de chez lui.

Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla.

Il sombre peu à peu dans une forme de folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel.

Car le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et boit sa vie.

Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres.

 "Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...à partir de ce moment-là, je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. "

Il voit dans le miroir le Horla qui habite en lui...

 Pour se débarrasser du Horla, il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques.

A la fin, face à la persistance de cette présence, il entrevoit le suicide comme ultime délivrance.

Quelle belle performance scénique pour l'acteur seul sur scène, il fut très applaudi.....

Les jeunes collégiens qui ont assisté très nombreux au spectacle, ont écouté très attentivement cette histoire fantastique.

A leur retour dans leurs collèges, ils pourront certainement étudier en classe le beau texte de Guy de Maupassant.

Jean-Marc Galéra a demandé à ceux qui le pouvaient de rester pour pouvoir échanger avec lui sur la mise en scène de la pièce.(Mise en scène de Régis Gayrard).

L'acteur a expliqué pourquoi on voyait de dos, une présence immobile, à droite de la scène.

C'était une façon montrer le "double" du narrateur. D'ailleurs à la fin il revêt la pelisse de l'être immobile, avant de mettre fin à ses jours.

Voici le texte entier du Horla, (deuxième version ) que suit la mise en scène de  Régis Gayrard, de la Compagnie de l'Accalmie :

http://maupassant.free.fr/pdf/horla.pdf

 Le Horla trouve son origine dans une courte nouvelle de Maupassant, Lettre d'un fou, publiée sous le pseudonyme de Maufrigneuse, en 1885 dans le quotidien Gil Blas, qui développe déjà la même histoire, sans que le nom de « Horla » n'y soit mentionné.

La première version du Horla a été publiée en 1886 dans Gil Blas. La seconde version, plus connue et plus longue, est parue en 1887 dans un recueil de nouvelles homonyme.

Les trois versions se présentent sous trois formes littéraires différentes : Lettre d'un fou, comme son titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé.

La rédaction du Horla coïncide avec les prémices de la folie de Maupassant, de plus en plus victime d'hallucinations et de dédoublement de la personnalité à cause de la syphilis qu'il a contractée. Il tentera lui-même de se suicider en 1892.

Dans son journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles qui le hantent peu à peu, après qu'il ait vu passer un trois-mâts brésilien dans une baie de Normandie, près de chez lui.

Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla.

Il sombre peu à peu dans une forme de folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel.

Car le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et boit sa vie.

Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres.

 "Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...à partir de ce moment-là, je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. "

Il voit dans le miroir le Horla qui habite en lui...

 Pour se débarrasser du Horla, il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques.

A la fin, face à la persistance de cette présence, il entrevoit le suicide comme ultime délivrance.

Quelle belle performance scénique pour l'acteur seul sur scène, il fut très applaudi.....

Les jeunes collégiens qui ont assisté très nombreux au spectacle, ont écouté très attentivement cette histoire fantastique.

A leur retour dans leurs collèges, ils pourront certainement étudier en classe le beau texte de Guy de Maupassant.

Jean-Marc Galéra a demandé à ceux qui le pouvaient de rester pour pouvoir échanger avec lui sur la mise en scène de la pièce.(Mise en scène de Régis Gayrard).

L'acteur a expliqué pourquoi on voyait de dos, une présence immobile, à droite de la scène.

C'était une façon montrer le "double" du narrateur. D'ailleurs à la fin il revêt la pelisse de l'être immobile, avant de mettre fin à ses jours.

Voici le texte entier du Horla, (deuxième version ) que suit la mise en scène de  Régis Gayrard, de la Compagnie de l'Accalmie :

http://maupassant.free.fr/pdf/horla.pdf

 Le Horla trouve son origine dans une courte nouvelle de Maupassant, Lettre d'un fou, publiée sous le pseudonyme de Maufrigneuse, en 1885 dans le quotidien Gil Blas, qui développe déjà la même histoire, sans que le nom de « Horla » n'y soit mentionné.

La première version du Horla a été publiée en 1886 dans Gil Blas. La seconde version, plus connue et plus longue, est parue en 1887 dans un recueil de nouvelles homonyme.

Les trois versions se présentent sous trois formes littéraires différentes : Lettre d'un fou, comme son titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé.

La rédaction du Horla coïncide avec les prémices de la folie de Maupassant, de plus en plus victime d'hallucinations et de dédoublement de la personnalité à cause de la syphilis qu'il a contractée. Il tentera lui-même de se suicider en 1892.

Dans son journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles qui le hantent peu à peu, après qu'il ait vu passer un trois-mâts brésilien dans une baie de Normandie, près de chez lui.

Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla.

Il sombre peu à peu dans une forme de folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel.

Car le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et boit sa vie.

Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres.

 "Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...à partir de ce moment-là, je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. "

Il voit dans le miroir le Horla qui habite en lui...

 Pour se débarrasser du Horla, il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques.

A la fin, face à la persistance de cette présence, il entrevoit le suicide comme ultime délivrance.

Quelle belle performance scénique pour l'acteur seul sur scène, il fut très applaudi.....

Les jeunes collégiens qui ont assisté très nombreux au spectacle, ont écouté très attentivement cette histoire fantastique.

A leur retour dans leurs collèges, ils pourront certainement étudier en classe le beau texte de Guy de Maupassant.

Jean-Marc Galéra a demandé à ceux qui le pouvaient de rester pour pouvoir échanger avec lui sur la mise en scène de la pièce.(Mise en scène de Régis Gayrard).

L'acteur a expliqué pourquoi on voyait de dos, une présence immobile, à droite de la scène.

C'était une façon montrer le "double" du narrateur. D'ailleurs à la fin il revêt la pelisse de l'être immobile, avant de mettre fin à ses jours.

Voici le texte entier du Horla, (deuxième version ) que suit la mise en scène de  Régis Gayrard, de la Compagnie de l'Accalmie :

http://maupassant.free.fr/pdf/horla.pdf

 Le Horla trouve son origine dans une courte nouvelle de Maupassant, Lettre d'un fou, publiée sous le pseudonyme de Maufrigneuse, en 1885 dans le quotidien Gil Blas, qui développe déjà la même histoire, sans que le nom de « Horla » n'y soit mentionné.

La première version du Horla a été publiée en 1886 dans Gil Blas. La seconde version, plus connue et plus longue, est parue en 1887 dans un recueil de nouvelles homonyme.

Les trois versions se présentent sous trois formes littéraires différentes : Lettre d'un fou, comme son titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé.

La rédaction du Horla coïncide avec les prémices de la folie de Maupassant, de plus en plus victime d'hallucinations et de dédoublement de la personnalité à cause de la syphilis qu'il a contractée. Il tentera lui-même de se suicider en 1892.

Dans son journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles qui le hantent peu à peu, après qu'il ait vu passer un trois-mâts brésilien dans une baie de Normandie, près de chez lui.

Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla.

Il sombre peu à peu dans une forme de folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel.

Car le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et boit sa vie.

Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres.

 "Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...à partir de ce moment-là, je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. "

Il voit dans le miroir le Horla qui habite en lui...

 Pour se débarrasser du Horla, il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques.

A la fin, face à la persistance de cette présence, il entrevoit le suicide comme ultime délivrance.

Quelle belle performance scénique pour l'acteur seul sur scène, il fut très applaudi.....

Les jeunes collégiens qui ont assisté très nombreux au spectacle, ont écouté très attentivement cette histoire fantastique.

A leur retour dans leurs collèges, ils pourront certainement étudier en classe le beau texte de Guy de Maupassant.

Jean-Marc Galéra a demandé à ceux qui le pouvaient de rester pour pouvoir échanger avec lui sur la mise en scène de la pièce.(Mise en scène de Régis Gayrard).

L'acteur a expliqué pourquoi on voyait de dos, une présence immobile, à droite de la scène.

C'était une façon montrer le "double" du narrateur. D'ailleurs à la fin il revêt la pelisse de l'être immobile, avant de mettre fin à ses jours.

Voici le texte entier du Horla, (deuxième version ) que suit la mise en scène de  Régis Gayrard, de la Compagnie de l'Accalmie :

http://maupassant.free.fr/pdf/horla.pdf

 Le Horla trouve son origine dans une courte nouvelle de Maupassant, Lettre d'un fou, publiée sous le pseudonyme de Maufrigneuse, en 1885 dans le quotidien Gil Blas, qui développe déjà la même histoire, sans que le nom de « Horla » n'y soit mentionné.

La première version du Horla a été publiée en 1886 dans Gil Blas. La seconde version, plus connue et plus longue, est parue en 1887 dans un recueil de nouvelles homonyme.

Les trois versions se présentent sous trois formes littéraires différentes : Lettre d'un fou, comme son titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé.

La rédaction du Horla coïncide avec les prémices de la folie de Maupassant, de plus en plus victime d'hallucinations et de dédoublement de la personnalité à cause de la syphilis qu'il a contractée. Il tentera lui-même de se suicider en 1892.

Dans son journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles qui le hantent peu à peu, après qu'il ait vu passer un trois-mâts brésilien dans une baie de Normandie, près de chez lui.

Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla.

Il sombre peu à peu dans une forme de folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel.

Car le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et boit sa vie.

Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres.

 "Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...à partir de ce moment-là, je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. "

Il voit dans le miroir le Horla qui habite en lui...

 Pour se débarrasser du Horla, il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques.

A la fin, face à la persistance de cette présence, il entrevoit le suicide comme ultime délivrance.

Quelle belle performance scénique pour l'acteur seul sur scène, il fut très applaudi.....

Les jeunes collégiens qui ont assisté très nombreux au spectacle, ont écouté très attentivement cette histoire fantastique.

A leur retour dans leurs collèges, ils pourront certainement étudier en classe le beau texte de Guy de Maupassant.

Jean-Marc Galéra a demandé à ceux qui le pouvaient de rester pour pouvoir échanger avec lui sur la mise en scène de la pièce.(Mise en scène de Régis Gayrard).

L'acteur a expliqué pourquoi on voyait de dos, une présence immobile, à droite de la scène.

C'était une façon montrer le "double" du narrateur. D'ailleurs à la fin il revêt la pelisse de l'être immobile, avant de mettre fin à ses jours.

Voici le texte entier du Horla, (deuxième version ) que suit la mise en scène de  Régis Gayrard, de la Compagnie de l'Accalmie :

http://maupassant.free.fr/pdf/horla.pdf

 Le Horla trouve son origine dans une courte nouvelle de Maupassant, Lettre d'un fou, publiée sous le pseudonyme de Maufrigneuse, en 1885 dans le quotidien Gil Blas, qui développe déjà la même histoire, sans que le nom de « Horla » n'y soit mentionné.

La première version du Horla a été publiée en 1886 dans Gil Blas. La seconde version, plus connue et plus longue, est parue en 1887 dans un recueil de nouvelles homonyme.

Les trois versions se présentent sous trois formes littéraires différentes : Lettre d'un fou, comme son titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé.

La rédaction du Horla coïncide avec les prémices de la folie de Maupassant, de plus en plus victime d'hallucinations et de dédoublement de la personnalité à cause de la syphilis qu'il a contractée. Il tentera lui-même de se suicider en 1892.

Dans son journal intime, le narrateur rapporte ses angoisses et divers troubles qui le hantent peu à peu, après qu'il ait vu passer un trois-mâts brésilien dans une baie de Normandie, près de chez lui.

Il sent progressivement, autour de lui, la présence d’un être invisible qu’il nomme le Horla.

Il sombre peu à peu dans une forme de folie en cherchant à se délivrer de cet être surnaturel.

Car le Horla, un être surhumain, le terrasse chaque nuit et boit sa vie.

Cette folie le conduira à de nombreuses actions, toutes plus insensées les unes que les autres.

 "Un matin, comme je me promenais près de mon parterre de rosiers, je vis, je vis distinctement tout près de moi, la tige d'une des plus belles roses se casser comme si une main invisible l'eût cueillie, la fleur resta suspendue dans l'air transparent, toute seule, immobile, effrayante, à trois pas de mes yeux.Saisi d'une épouvante folle, je me jetai sur elle pour la saisir. Je ne trouvai rien. Elle avait disparu...à partir de ce moment-là, je sus qu'il existait près de moi un être invisible qui m'avait hanté et qui revenait. "

Il voit dans le miroir le Horla qui habite en lui...

 Pour se débarrasser du Horla, il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques.

A la fin, face à la persistance de cette présence, il entrevoit le suicide comme ultime délivrance.

Quelle belle performance scénique pour l'acteur seul sur scène, il fut très applaudi.....

Les jeunes collégiens qui ont assisté très nombreux au spectacle, ont écouté très attentivement cette histoire fantastique.

A leur retour dans leurs collèges, ils pourront certainement étudier en classe le beau texte de Guy de Maupassant.

Jean-Marc Galéra a demandé à ceux qui le pouvaient de rester pour pouvoir échanger avec lui sur la mise en scène de la pièce.(Mise en scène de Régis Gayrard).

L'acteur a expliqué pourquoi on voyait de dos, une présence immobile, à droite de la scène.

C'était une façon montrer le "double" du narrateur. D'ailleurs à la fin il revêt la pelisse de l'être immobile, avant de mettre fin à ses jours.

Voici le texte entier du Horla, (deuxième version ) que suit la mise en scène de  Régis Gayrard, de la Compagnie de l'Accalmie :

http://maupassant.free.fr/pdf/horla.pdf

La salle du Théâtre Gaston Bernard était pleine, ce mercredi 13 décembre.

Les nombreux spectateurs étaient venus assister à une superbe comédie proposée par la troupe du Théâtre de l'Accalmie, "Histoires Deux", et ils n'ont pas été déçus !

La Directrice du TGB, Catherine Miraton a présenté le spectacle...accompagnée sur la scène par un personnage masqué...

dont nous comprendrons le rôle au cours de la pièce....

Le pitch du spectacle :

La vie de couple n'est pas un long fleuve tranquille ! Elle a inspiré la virtuosité de beaucoup d'auteurs pour nous faire rire de nos propres travers.

En convoquant Feydeau, Anouilh ou Jean-Michel Ribes , ce spectacle énergique s’amuse à parcourir des scènes "d'anthologie " du théâtre français . La vie conjugale y déroule ses frasques, jalousies, mesquineries, secrets et mensonges. Cocasseries loufoques et ironie décapante se donnent rendez-vous autour d’un canapé, lieu du désir, de la confidence, ou de la dispute.

(Les titres que je donne aux photos sont personnels, ce ne sont pas ceux des auteurs)

Les amants :

Mais le temps est compté...

 Sans titre...comprenne qui voudra !

Que contient le sac d'une femme ?

Un bébé bien bruyant....

Les z...é...brides...

Le général Irrigua !

Un bruit dans la nuit...(avec le concours de la salle !!)

Après le spectacle, faut il saluer les acteurs ?...

Le personnage masqué....

s'est démasqué pour les saluts....

Beaucoup d'applaudissements et de rappels ont salué les acteurs.

Cette pièce de théâtre a fait beaucoup rire la salle, tant les sketchs étaient bien choisis et les acteurs éblouissants  : quelle fougue, quelle virtuosité dans le jeu....

Les acteurs :

Annette Benedetti

Jean-Marc Galéra

Delmiro Iglésias (le personnage masqué)

La mise en scène était de Jean-Marc Galéra

Le lendemain Jean-Marc Galéra a présenté, seul, un autre magnifique spectacle tiré de l'oeuvre de Guy de Maupassant, le Horla, des images bientôt.