Le quinzième Salon d'Automne de Chamesson, celui d'octobre 2022, a tenu toutes ses promesses !

Une vingtaine d'artistes venus de notre région, mais de plus loin aussi, ont exposé leurs peintures à l'huile, à l'acrylique, au pastel, à la sanguine et aussi leurs collages.

Les visiteurs ont admiré les œuvres de l'invité d'honneur, Roland Jaillet qui réalise des pastels, des sanguines  de toute beauté.

Très généreusement, Roland Jaillet a offert deux de ses toiles  comme lots pour la tombola...

Voici les tableaux des autres exposants :

Agnès Jean :

Babette Rhodde :

Barbara Diakité :

Cathy Cheneau :

Chantal Archambaud :

Charlotte de Calonne d'Avesnes :

Christine Girault :

Corinne Asselin :

Dominique Chanteloube :

Dominique Hernandez :

Gilles Beuve :

Hervé Henriot :

James Forgeot :

Jean Lochu :

Jean-Louis Aparicio :

Jean-Pierre Bernard :

Josiane Bonsans :

Lucia Rambaud :

Lucile Cherdo :

Manuel Hernandez :

Mathilde Dolique :

Michel Durot :

Nicole Lamaille :

Nicole Lochu :

Philippe Chaberty :

Thierry Eps :

Les enfants du regroupement pédagogique ont réalisé de bien beaux collages...

Pour fêter le quinzième anniversaire du Salon d'Automne, les affiches des salons précédents ont été exposées :

Le vernissage a rassemblé plusieurs personnalités que Sylvie Wagner , Présidente du Comité de  Développement de la Vie Associative de Chamesson (CDVA) a remercié de leur présence.

Elle a aussi remercié la Mairie de Chamesson, tous les bénévoles qui se sont activés pour réaliser l'exposition, les peintres qui ont exposé et les visiteurs.

Thibaut Coron devait réaliser une fresque murale sur les murs extérieurs de la salle polyvalente, la météo l'en a empêché, mais cela se fera bientôt.

La vice Présidente Isabelle Léchenet a présenté Roland Jaillet qui a accepté d'être l'invité d'Honneur du Salon d'Automne 2022 .

Le Maire de Chamesson s'est réjoui de la haute tenue de ce quinzième Salon d'Automne...

Jérémie Brigand, Président de la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais a fait de même....

ainsi que Valérie Bouchard, Conseillère Départementale...

Et  Christophe Verdot  Conseiller Départemental remplaçant Hubert Brigand devenu Député de la Circonscription...

Le Député Hubert Brigand qui défend la Ruralité avec passion, ne pouvait qu'être heureux à Chamesson, comme il l'a été, en tant que Maire de Châtillon sur Seine depuis le premier Salon d'Automne.

La Sous-Préfète Isabelle Bourion a été conquise par la beauté des œuvres exposées.

Puis vint le temps de la remise des Prix 2022.

Tout d'abord, Roland Jaillet a été remercié par Isabelle Léchenet au nom du CDVA.

Le prix de la ville de Chamesson a été décerné à Charlotte de Calonne d'Avesnes, horticultrice  à Chamesson !

Le prix de la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais a été remis par Jérémie Brigand à Cathy Cheneau : un Vase de Vix miniature en céramique....

Ainsi que le livre de Franck Léchenet, enfant du pays, qui contient de superbes  photos aériennes de notre Châtillonnais.

Le Prix de la Ville de Châtillon sur Seine a été remis à Dominique Hernandez par le Député Hubert Brigand.

Les peintres et les personnalités se sont réunis pour la photo souvenir (à cliquer)

Le prix du public a été décerné au superbe pastel de Cathy Cheneau : le chat persan.

 Cette année 2022, les membres de la Société Mycologique du Châtillonnais se sont rendus en Sologne, à Nouan-le-Fuzelier pour tenter de récolter et déterminer toutes  sortes possibles de champignons.

La terre de Sologne est sableuse, mais aussi acide ce qui change de celle de notre région qui est très calcaire., les champignons qui y poussent sont donc, pour certains, différents.

Voici les mycologues Châtillonnais prêts à partir en exploration....

(Cliquer sur la photo pour l'agrandir)

Les collectes de champignons se sont faites le premier jour, le matin de bonne heure,  autour de l'étang privé du village de vacances trois étoiles  "la ferme de Courcimont" où les membres de l'association ont été superbement accueillis.

Les mycologues experts, Jean-Claude Verpeau et Denis Brûlard ont accompagné les mycologues Châtillonnais durant leur séjour en Sologne.

François Poillotte a photographié les spécimens les plus intéressants.

Ses photos paraîtront en fin d'article.

Première récolte autour de l'étang :

Les mycologues se sont ensuite rendus les jours suivants, dans deux endroits différents de la forêt domaniale de La Motte-Beuvron, avec l'accord de l'ONF.

Une forêt au sol acide où prospèrent les fougères...

déjà rousses en ce mois de septembre...

Les bruyères sont déjà fleuries...

Mais les champignons, avec la sécheresse, ne sont, hélas, pas très nombreux...

A la fin du séjour les tables d'exposition étaient tout de même bien garnies.

Voici le compte-rendu des espèces déterminées, établi

par Luc Lefray, Président de la Société Mycologique Châtillonnaise :

136 espèces pour une année sèche.... Un record !  Une année normalement pluvieuse nous aurait donné une centaine d'espèces en plus.

Voici l'exposition finale de toutes les espèces déterminées :

Et comme promis,  les photos de François Poillotte :

Agaric champêtre ou rosé des prés (agaricus campestris) :

Bolet orangé (leccinum aurantiacum, ex leccinum quercinum)

Bolet abricot (Rheubarbariboletus armeniacus, ex Xerocomus armeniacus)

Bolet amer ou bolet de fiel (Tylopilus felleus) :

Bolet blafard (Suillellus luridus, ex boletus luridus) :

Bolet des peupliers (Leccinum duriusculum)

Bolet feutré, ou bolet dépoli (hemileccinum impolitum, ex boletus impolitus)

Cèpe tête de nègre ou cèpe bronzé (boletus aereus)

Lentin tigré (lentinus tigrinus)

Paxille à pied noir (Tapinella atrotomentosa ex paxillus atromentosus) :

Pholiote remarquable (Gymnopilus spectabilis)

Aucune prospection ne s'est faite ailleurs qu'autour de l'étang de la Ferme de Courcimont et dans la forêt domaniale de la Motte-Beuvron , alors que la Sologne est le pays des forêts et des étangs...

J'expliquerai pourquoi dans l'article qui paraîtra demain....

 Cette année 2022, les membres de la Société Mycologique du Châtillonnais se sont rendus en Sologne, à Nouan-le-Fuzelier pour tenter de récolter et déterminer toutes  sortes possibles de champignons.

La terre de Sologne est sableuse, mais aussi acide ce qui change de celle de notre région qui est très calcaire., les champignons qui y poussent sont donc, pour certains, différents.

Voici les mycologues Châtillonnais prêts à partir en exploration....

(Cliquer sur la photo pour l'agrandir)

Les collectes de champignons se sont faites le premier jour, le matin de bonne heure,  autour de l'étang privé du village de vacances trois étoiles  "la ferme de Courcimont" où les membres de l'association ont été superbement accueillis.

Les mycologues experts, Jean-Claude Verpeau et Denis Brûlard ont accompagné les mycologues Châtillonnais durant leur séjour en Sologne.

François Poillotte a photographié les spécimens les plus intéressants.

Ses photos paraîtront en fin d'article.

Première récolte autour de l'étang :

Les mycologues se sont ensuite rendus les jours suivants, dans deux endroits différents de la forêt domaniale de La Motte-Beuvron, avec l'accord de l'ONF.

Une forêt au sol acide où prospèrent les fougères...

déjà rousses en ce mois de septembre...

Les bruyères sont déjà fleuries...

Mais les champignons, avec la sécheresse, ne sont, hélas, pas très nombreux...

A la fin du séjour les tables d'exposition étaient tout de même bien garnies.

Voici le compte-rendu des espèces déterminées, établi

par Luc Lefray, Président de la Société Mycologique Châtillonnaise :

136 espèces pour une année sèche.... Un record !  Une année normalement pluvieuse nous aurait donné une centaine d'espèces en plus.

Voici l'exposition finale de toutes les espèces déterminées :

Et comme promis,  les photos de François Poillotte :

Agaric champêtre ou rosé des prés (agaricus campestris) :

Bolet orangé (leccinum aurantiacum, ex leccinum quercinum)

Bolet abricot (Rheubarbariboletus armeniacus, ex Xerocomus armeniacus)

Bolet amer ou bolet de fiel (Tylopilus felleus) :

Bolet blafard (Suillellus luridus, ex boletus luridus) :

Bolet des peupliers (Leccinum duriusculum)

Bolet feutré, ou bolet dépoli (hemileccinum impolitum, ex boletus impolitus)

Cèpe tête de nègre ou cèpe bronzé (boletus aereus)

Lentin tigré (lentinus tigrinus)

Paxille à pied noir (Tapinella atrotomentosa ex paxillus atromentosus) :

Pholiote remarquable (Gymnopilus spectabilis)

Aucune prospection ne s'est faite ailleurs qu'autour de l'étang de la Ferme de Courcimont et dans la forêt domaniale de la Motte-Beuvron , alors que la Sologne est le pays des forêts et des étangs...

J'expliquerai pourquoi dans l'article qui paraîtra demain....

 Cette année 2022, les membres de la Société Mycologique du Châtillonnais se sont rendus en Sologne, à Nouan-le-Fuzelier pour tenter de récolter et déterminer toutes  sortes possibles de champignons.

La terre de Sologne est sableuse, mais aussi acide ce qui change de celle de notre région qui est très calcaire., les champignons qui y poussent sont donc, pour certains, différents.

Voici les mycologues Châtillonnais prêts à partir en exploration....

(Cliquer sur la photo pour l'agrandir)

Les collectes de champignons se sont faites le premier jour, le matin de bonne heure,  autour de l'étang privé du village de vacances trois étoiles  "la ferme de Courcimont" où les membres de l'association ont été superbement accueillis.

Les mycologues experts, Jean-Claude Verpeau et Denis Brûlard ont accompagné les mycologues Châtillonnais durant leur séjour en Sologne.

François Poillotte a photographié les spécimens les plus intéressants.

Ses photos paraîtront en fin d'article.

Première récolte autour de l'étang :

Les mycologues se sont ensuite rendus les jours suivants, dans deux endroits différents de la forêt domaniale de La Motte-Beuvron, avec l'accord de l'ONF.

Une forêt au sol acide où prospèrent les fougères...

déjà rousses en ce mois de septembre...

Les bruyères sont déjà fleuries...

Mais les champignons, avec la sécheresse, ne sont, hélas, pas très nombreux...

A la fin du séjour les tables d'exposition étaient tout de même bien garnies.

Voici le compte-rendu des espèces déterminées, établi

par Luc Lefray, Président de la Société Mycologique Châtillonnaise :

136 espèces pour une année sèche.... Un record !  Une année normalement pluvieuse nous aurait donné une centaine d'espèces en plus.

Voici l'exposition finale de toutes les espèces déterminées :

Et comme promis,  les photos de François Poillotte :

Agaric champêtre ou rosé des prés (agaricus campestris) :

Bolet orangé (leccinum aurantiacum, ex leccinum quercinum)

Bolet abricot (Rheubarbariboletus armeniacus, ex Xerocomus armeniacus)

Bolet amer ou bolet de fiel (Tylopilus felleus) :

Bolet blafard (Suillellus luridus, ex boletus luridus) :

Bolet des peupliers (Leccinum duriusculum)

Bolet feutré, ou bolet dépoli (hemileccinum impolitum, ex boletus impolitus)

Cèpe tête de nègre ou cèpe bronzé (boletus aereus)

Lentin tigré (lentinus tigrinus)

Paxille à pied noir (Tapinella atrotomentosa ex paxillus atromentosus) :

Pholiote remarquable (Gymnopilus spectabilis)

Aucune prospection ne s'est faite ailleurs qu'autour de l'étang de la Ferme de Courcimont et dans la forêt domaniale de la Motte-Beuvron , alors que la Sologne est le pays des forêts et des étangs...

J'expliquerai pourquoi dans l'article qui paraîtra demain....

 Cette année 2022, les membres de la Société Mycologique du Châtillonnais se sont rendus en Sologne, à Nouan-le-Fuzelier pour tenter de récolter et déterminer toutes  sortes possibles de champignons.

La terre de Sologne est sableuse, mais aussi acide ce qui change de celle de notre région qui est très calcaire., les champignons qui y poussent sont donc, pour certains, différents.

Voici les mycologues Châtillonnais prêts à partir en exploration....

(Cliquer sur la photo pour l'agrandir)

Les collectes de champignons se sont faites le premier jour, le matin de bonne heure,  autour de l'étang privé du village de vacances trois étoiles  "la ferme de Courcimont" où les membres de l'association ont été superbement accueillis.

Les mycologues experts, Jean-Claude Verpeau et Denis Brûlard ont accompagné les mycologues Châtillonnais durant leur séjour en Sologne.

François Poillotte a photographié les spécimens les plus intéressants.

Ses photos paraîtront en fin d'article.

Première récolte autour de l'étang :

Les mycologues se sont ensuite rendus les jours suivants, dans deux endroits différents de la forêt domaniale de La Motte-Beuvron, avec l'accord de l'ONF.

Une forêt au sol acide où prospèrent les fougères...

déjà rousses en ce mois de septembre...

Les bruyères sont déjà fleuries...

Mais les champignons, avec la sécheresse, ne sont, hélas, pas très nombreux...

A la fin du séjour les tables d'exposition étaient tout de même bien garnies.

Voici le compte-rendu des espèces déterminées, établi

par Luc Lefray, Président de la Société Mycologique Châtillonnaise :

136 espèces pour une année sèche.... Un record !  Une année normalement pluvieuse nous aurait donné une centaine d'espèces en plus.

Voici l'exposition finale de toutes les espèces déterminées :

Et comme promis,  les photos de François Poillotte :

Agaric champêtre ou rosé des prés (agaricus campestris) :

Bolet orangé (leccinum aurantiacum, ex leccinum quercinum)

Bolet abricot (Rheubarbariboletus armeniacus, ex Xerocomus armeniacus)

Bolet amer ou bolet de fiel (Tylopilus felleus) :

Bolet blafard (Suillellus luridus, ex boletus luridus) :

Bolet des peupliers (Leccinum duriusculum)

Bolet feutré, ou bolet dépoli (hemileccinum impolitum, ex boletus impolitus)

Cèpe tête de nègre ou cèpe bronzé (boletus aereus)

Lentin tigré (lentinus tigrinus)

Paxille à pied noir (Tapinella atrotomentosa ex paxillus atromentosus) :

Pholiote remarquable (Gymnopilus spectabilis)

Aucune prospection ne s'est faite ailleurs qu'autour de l'étang de la Ferme de Courcimont et dans la forêt domaniale de la Motte-Beuvron , alors que la Sologne est le pays des forêts et des étangs...

J'expliquerai pourquoi dans l'article qui paraîtra demain....

 Cette année 2022, les membres de la Société Mycologique du Châtillonnais se sont rendus en Sologne, à Nouan-le-Fuzelier pour tenter de récolter et déterminer toutes  sortes possibles de champignons.

La terre de Sologne est sableuse, mais aussi acide ce qui change de celle de notre région qui est très calcaire., les champignons qui y poussent sont donc, pour certains, différents.

Voici les mycologues Châtillonnais prêts à partir en exploration....

(Cliquer sur la photo pour l'agrandir)

Les collectes de champignons se sont faites le premier jour, le matin de bonne heure,  autour de l'étang privé du village de vacances trois étoiles  "la ferme de Courcimont" où les membres de l'association ont été superbement accueillis.

Les mycologues experts, Jean-Claude Verpeau et Denis Brûlard ont accompagné les mycologues Châtillonnais durant leur séjour en Sologne.

François Poillotte a photographié les spécimens les plus intéressants.

Ses photos paraîtront en fin d'article.

Première récolte autour de l'étang :

Les mycologues se sont ensuite rendus les jours suivants, dans deux endroits différents de la forêt domaniale de La Motte-Beuvron, avec l'accord de l'ONF.

Une forêt au sol acide où prospèrent les fougères...

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Les bruyères sont déjà fleuries...

Mais les champignons, avec la sécheresse, ne sont, hélas, pas très nombreux...

A la fin du séjour les tables d'exposition étaient tout de même bien garnies.

Voici le compte-rendu des espèces déterminées, établi

par Luc Lefray, Président de la Société Mycologique Châtillonnaise :

136 espèces pour une année sèche.... Un record !  Une année normalement pluvieuse nous aurait donné une centaine d'espèces en plus.

Voici l'exposition finale de toutes les espèces déterminées :

Et comme promis,  les photos de François Poillotte :

Agaric champêtre ou rosé des prés (agaricus campestris) :

Bolet orangé (leccinum aurantiacum, ex leccinum quercinum)

Bolet abricot (Rheubarbariboletus armeniacus, ex Xerocomus armeniacus)

Bolet amer ou bolet de fiel (Tylopilus felleus) :

Bolet blafard (Suillellus luridus, ex boletus luridus) :

Bolet des peupliers (Leccinum duriusculum)

Bolet feutré, ou bolet dépoli (hemileccinum impolitum, ex boletus impolitus)

Cèpe tête de nègre ou cèpe bronzé (boletus aereus)

Lentin tigré (lentinus tigrinus)

Paxille à pied noir (Tapinella atrotomentosa ex paxillus atromentosus) :

Pholiote remarquable (Gymnopilus spectabilis)

Aucune prospection ne s'est faite ailleurs qu'autour de l'étang de la Ferme de Courcimont et dans la forêt domaniale de la Motte-Beuvron , alors que la Sologne est le pays des forêts et des étangs...

J'expliquerai pourquoi dans l'article qui paraîtra demain....

 Cette année 2022, les membres de la Société Mycologique du Châtillonnais se sont rendus en Sologne, à Nouan-le-Fuzelier pour tenter de récolter et déterminer toutes  sortes possibles de champignons.

La terre de Sologne est sableuse, mais aussi acide ce qui change de celle de notre région qui est très calcaire., les champignons qui y poussent sont donc, pour certains, différents.

Voici les mycologues Châtillonnais prêts à partir en exploration....

(Cliquer sur la photo pour l'agrandir)

Les collectes de champignons se sont faites le premier jour, le matin de bonne heure,  autour de l'étang privé du village de vacances trois étoiles  "la ferme de Courcimont" où les membres de l'association ont été superbement accueillis.

Les mycologues experts, Jean-Claude Verpeau et Denis Brûlard ont accompagné les mycologues Châtillonnais durant leur séjour en Sologne.

François Poillotte a photographié les spécimens les plus intéressants.

Ses photos paraîtront en fin d'article.

Première récolte autour de l'étang :

Les mycologues se sont ensuite rendus les jours suivants, dans deux endroits différents de la forêt domaniale de La Motte-Beuvron, avec l'accord de l'ONF.

Une forêt au sol acide où prospèrent les fougères...

déjà rousses en ce mois de septembre...

Les bruyères sont déjà fleuries...

Mais les champignons, avec la sécheresse, ne sont, hélas, pas très nombreux...

A la fin du séjour les tables d'exposition étaient tout de même bien garnies.

Voici le compte-rendu des espèces déterminées, établi

par Luc Lefray, Président de la Société Mycologique Châtillonnaise :

136 espèces pour une année sèche.... Un record !  Une année normalement pluvieuse nous aurait donné une centaine d'espèces en plus.

Voici l'exposition finale de toutes les espèces déterminées :

Et comme promis,  les photos de François Poillotte :

Agaric champêtre ou rosé des prés (agaricus campestris) :

Bolet orangé (leccinum aurantiacum, ex leccinum quercinum)

Bolet abricot (Rheubarbariboletus armeniacus, ex Xerocomus armeniacus)

Bolet amer ou bolet de fiel (Tylopilus felleus) :

Bolet blafard (Suillellus luridus, ex boletus luridus) :

Bolet des peupliers (Leccinum duriusculum)

Bolet feutré, ou bolet dépoli (hemileccinum impolitum, ex boletus impolitus)

Cèpe tête de nègre ou cèpe bronzé (boletus aereus)

Lentin tigré (lentinus tigrinus)

Paxille à pied noir (Tapinella atrotomentosa ex paxillus atromentosus) :

Pholiote remarquable (Gymnopilus spectabilis)

Aucune prospection ne s'est faite ailleurs qu'autour de l'étang de la Ferme de Courcimont et dans la forêt domaniale de la Motte-Beuvron , alors que la Sologne est le pays des forêts et des étangs...

J'expliquerai pourquoi dans l'article qui paraîtra demain....

François Gaillard, adjoint à la Culture de la Municipalité de Châtillon sur Seine, a présenté  le spectacle "celle qui avait une plume" programmé à Châtillon, lors du festival coups de contes, proposé par la Médiathèque de Côte d'Or.

Avec sa verve et son humour habituel, il nous a rappelé l'heureux temps où, pour beaucoup d'entre nous, nous écrivions à la plume, en faisant des "pâtés" !

Sarah Kennel-Thiriot, directrice de la Médiathèque de Châtillon a remercié le public d'être venu nombreux, très nombreux  au spectacle de Julie Boitte.

Elle a aussi annoncé que la Médiathèque s'associera au Ciné-Club en proposant un très beau film "le Roi de Cœur" le 13 octobre à 20h30.

Marige Ott, plasticienne fera créer aux enfants des personnages délirants et des livres fous le 5 octobre 2022.

Le spectacle de Julie Boitte  "Celle qui avait une plume" est composé d'histoires courtes inspirées, semble-t-il, par des expériences de la conteuse en milieu médical : personnages autistes, malades mentaux , mais aussi dans sa sphère professionnelle...

On y croise la fillette qui se prend pour un dindon, celui qui s'intoxique avec une noix de cola, le paysan qui construit du rêve avec des objets hétéroclites, la nageuse qui étouffe dans, et en dehors de la piscine..

le malade qui répète sans cesse "ça ne va pas"...

D'autres contes sont fantasmagoriques comme celui de Ben le berger qui rencontre des fées....

Julie Boitte a envoûté littéralement  le public par ses textes, souvent hypnotiques par leurs répétitions (le lino bleu avec des dessins, la porte qui souffle, le rideau qu'on tire etc... ) mais aussi par ses postures physiques incroyables, et les mimiques de son visage pâle et  évanescent...

Elle chante aussi de sa voix frêle et envoûtante, dans des langages incompréhensibles, venus d'ailleurs....

 Une bien belle soirée qui nous a projetés dans un monde parallèle, un peu angoissant parfois...

Julie Boitte a un talent fou tellement différent des autres conteurs...elle nous expédie dans ses rêves qui deviennent alors les nôtres avec ses histoires venues d'on ne sait où..

Elle a été très applaudie par les auditeurs venus très nombreux, et ce ne fut que que justice !

 Un petit aperçu du spectacle de Julie Boille :

 Fêtons l'automne avec une superbe photo du calendrier de Christian Labeaune...à mettre bien sûr en grand écran.

Jean Ponsignon vous communique :

j’ai besoin de vous pour mener à bien un projet éditorial historique et original que je vous présente ci-dessous.

C’est un projet de publication en 4 tomes de la « Correspondance de mes ancêtres » réunis dans un coffret constituant un cadeau original d’intérêt culturel et historique. Cette présentation est réservée aux souscripteurs et ne sera pas vendue chez les libraires, qui se contenteront de vendre les ouvrages séparément !

Pour aboutir, ce projet a encore besoin de quelques soutiens qui l’accompagnent ; c’est l’objectif de mon courrier et de cette brève description.

Le hasard a fait que la conjonction de deux événements : le deuxième confinement de 2021, et la mort d’un proche, m’ait fait découvrir dans un grenier un coffre en bois contenant des centaines de lettres et de documents relatifs à des ancêtres, dormant là, depuis un peu plus d’un siècle (fin de la guerre de 14) qui ne m’étaient pas connus et dont j’ai découvert la vie, sortant de l’ordinaire, de leurs auteurs, et me suis rendu compte de leur grand intérêt historique. Leurs écrits seront rassemblés dans 4 tomes rassemblés dans un joli coffret qui sortira en juillet prochain. Mais j’ai besoin d’avoir environ 150 commandes en souscription.

• Tome 1 - Laurent Jourdain qui pour quitter sa famille, demande son émancipation, et s’engage sans vocation militaire, mais va, entrainé par l’épopée révolutionnaire et napoléonienne, finir sa carrière comme colonel blessé à la bataille de la Moscova (ce qui lui évitera la retraite de Russie). Ses lettres à sa famille (1792 – 1812) n’ayant pas subi de censures sont une source d’informations exceptionnelles sur sa vie quotidienne, ses combats et ses amours.

• Tome 2 - Pierre Etienne Gombault, modeste employé de mairie à Orléans au début de la révolution, père de quatre enfants, dont un estropié, et ayant du mal à faire vivre sa famille décide, embobiné par un escroc, de partir faire « fortune » à Saint Domingue. Il y perdra ses dernières économies et finira massacré en 1804 à Cap Haïtien, comme la quasi-totalité des blancs, lors de la célèbre insurrection. Mais les lettres (1789 – 1807) concernant son voyage à travers la France jusqu’à son embarquement, la traversée de l’Atlantique, et les quatre années sur place nous permettent de l’accompagner dans sa descente aux enfers. En 1807, 3 ans après sa mort, sa femme recevra une lettre la prévenant qu’il a été tué par des « cannibales » (sic).

• Tome 3 - Deux générations plus tard nous découvrirons la correspondance de Julie Blondeau (une de leur nièce un peu éloignée). La plupart des lettres ont été écrites depuis La Roche-en-Brenil et Saulieu, deux communes de Côte d’Or situées dans le Morvan. Cette correspondance témoigne de 1838 à 1904 :

D’une certaine aigreur, voire âpreté, dans les relations familiales, exacerbée par la gêne dans laquelle se trouve le couple Blondeau-Gombault, et qui se termine en brouille générale.

De la tendresse tout de même de Julie pour son père et sa mère, malgré le peu d’entente de son mari avec ses parents

Le jeune Henri, que l’on voit grandir au fil des pages, apporte une touche de bonne humeur, de gaieté, de santé. Il va devenir un librettiste d’opérettes très célèbre à son époque

Ces correspondances sont surtout le témoignage vivant de la vie d’une petite bourgeoise qui s’introduit avec aisance dans le milieu aisé d’une petite ville de province et qui, grâce à ses lettres, nous fait vivre son quotidien, entre les nombreuses « visites » et invitations dont elle raffole et les questions d’approvisionnement de viandes et de légumes.

Elle nous fait vivre les déplacements et les péripéties de son cheval et l’importance de l’homme qui conduit la diligence pour Paris.

Certes les ennuis d’argent et les mésententes conjugales sont toujours présents en toile de fond.

• Tome 4 - Une génération plus tard on lira la correspondance de mon grand-père le colonel Edmond Ponsignon (les documents recueillis vont de 1859 à 1949), de mon Père Maurice Ponsignon de Chamesson et de ma grand-tante Eugénie Riu infirmière de la Croix Rouge (fille du général Riu) de Chamesson également. Outre les documents issus des Archives Militaires de Vincennes, ont été retrouvés le journal de marche du régiment du colonel et les très nombreuses lettres adressées à son fils et à sa belle-sœur, depuis un hôpital de Dijon où il est soigné après avoir été blessé très sévèrement ; ces échanges donnent une coloration très vivante à cette période dramatique de l’histoire. Eugénie Riu – infirmière de la Croix Rouge y décrit ses travaux dans 10 hôpitaux militaires, dont celui de Châtillon.

Une description du contenu du coffret rassemblant les 4 tomes est jointe à ce courrier. Il s’agit de témoignages rares, de premières mains d’événements marquants de notre histoire.

Ce projet est déjà financé au tiers, mais pour voir le jour il a encore besoin de soutiens qui acceptent de s’engager à acquérir un ou deux coffrets au prix de souscription de 60 euros, auquel il conviendra d’ajouter le port.

Bien entendu on peut en acquérir pour faire quelques cadeaux.

C’est pourquoi je joins à cet envoi un bon de réservation.

Bien entendu je suis prêt à répondre à toute questions et à échanger avec vous sur ce sujet

Bien amicalement,

Jean Ponsignon

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BON DE SOUSCRIPTION

Nom …………………………………………………

Prénom ………………………………………………..

Adresse ………………………………………………

Adresse Mail …………………………………………

Réserve (nombre)  ……. Exemplaires du coffret « Correspondance de mes ancêtres » au prix de 60 euros par coffret auquel il conviendra d’ajouter le port.

Une fois l’édition réalisée (fin juillet) je vous préciserai le prix du port et vous demanderai le règlement.