Une histoire à faire peur aux enfants

Afin de dissuader les enfants d’approcher, seuls, et trop près de la rivière, les parents contaient  qu’une méchante fée appelée « Mère Gaillon », sortait prestement de l’eau, emportait l’enfant imprudent dans son trou au fond de l’eau. La crainte était grande, si bien qu’adultes, les gens traumatisées, fréquentaient prudemment les bords de l’eau. On narrait l’histoire du cultivateur qui était tombé avec sa voiture chargée de foin, attelée à deux chevaux, dans ce trou de sainte Catherine et que l’on ne l’avait jamais retrouvé.

A tel point que pas un homme ou femme , à ma connaissance, en 1923, ne savait nager, ni moi-même.

Ma sœur Madeleine était allée se baigner près du pont, vêtue d’une grande chemise et les gens, scandalisés, de dire « On n’a pas idée, elle va se noyer » alors qu’elle n’avait fait que se tremper, assise sur le fond dans 0,60m d’eau. C’était la grande curiosité pour les enfants sortant de l’école qui disaient : »Vin donc voir la Madeleine qui s’baigne »…

 Une baignade bien corrigée...

Pendant les grandes vacances, un après-midi, avec d’autres gamins nous étions allés nous « baigner » sous la promenade des tilleuls. En ce temps-là, le slip de bain n’existait pas, nous étions en culottes courtes retroussées, la chemise retirée, nous barbotions sans plus.
Passe un habitant qui s’empresse d’aller prévenir maman que je me baignais. Celle-ci, pleine de craintes, accourut, me fit sortir de l’eau. Grondé sur les risques que j’avais pris, j’aurais pu me noyer ! Je dus remettre ma chemise, mais faute d’ avoir essuyé mes pieds je ne pouvais pas remettre mes bottines, en plus il aurait fallu un crochet pour accrocher les boutons.

Bref, je dus rentrer à la maison pieds nus, les cuisses et les jambes caressées par une branche d’orties qui me faisait pleurnicher (il n’y avait aucun danger). Voilà une façon de vous détourner de l’eau en ce temps-là !!

Depuis plusieurs années, lors de leur salon annuel , les peintres des Amis du Châtillonnais  et France-Accordéon se sont alliés pour présenter un superbe moment musical et pictural qu'ils ont intitulé "Musique en Peinture".

Cette année, les jeunes accordéonistes Jeanne Méan, Elodie Brigand, Hélène Furon, Agathe Gérard et leur professeur Elisabeth Studer ont accueilli les visiteurs, en musette, devant la salle où avait lieu le salon,  avec des morceaux comme  Reb.Dovilds Nigum et Monsieur Roudoudou...

Les jeunes musiciennes ont ensuite joué dans le salon des peintres...

Rondeau anglais...

valse tropicale...

Le public est venu très nombreux admirer les tableaux et écouter cette si agréable musique.

Jenry Camus a rappelé l'histoire du salon des peintres, a évoqué la personnalité et le travail de l'invité d'honneur Serguéï Toutounov  qui peint si bien la...ruralité !!

Un clin d'oeil adressé à notre candidat aux législatives Hubert Brigand !

Ce dernier a félicité les Amis du Châtillonnais pour leurs si belles expositions, pas seulement de peinture... Hubert Brigand apprécie toutes les associations qui font si bien vivre notre ville.

Le concert a commencé par un gospel accordéon-clavier : Oh Happy Day.

Gabriel Théry, très jeune et très doué accordéoniste a interprété  "un homme debout"

Plusieurs quatre mains-piano par Bérénice Théry et Héloïse Fotchuont...

cinq mains avec Héloïse, Nicolas et Elisabeth...

Bérénice, Héloïse, Elisabeth...

Puis vinrent un groupe d'anciens accordéonistes qui se sont appelés "Tamalous", avec l'autorisation d'André Cartier le chef des Tamalous Orchestra.

Charles Aznavour a été ensuite à l'honneur puisque c'était son anniversaire le 22 mai, avec "Emmenez-moi" (chanté par toute la salle !)

puis un medley des plus belles chansons aznavouriennes...

Le concert s'est terminé par Kalinka Minka, en l'honneur de Serguéï Toutounov.

Beaucoup d'applaudissements ont salué tous les artistes. Que de progrès pour tous ces jeunes pianistes et accordéonistes d'une année à l'autre !

Merci aussi à Suzanne Furon , pianiste, qui a accompagné la dernière partie du concert.

Depuis plusieurs années, lors de leur salon annuel , les peintres des Amis du Châtillonnais  et France-Accordéon se sont alliés pour présenter un superbe moment musical et pictural qu'ils ont intitulé "Musique en Peinture".

Cette année, les jeunes accordéonistes Jeanne Méan, Elodie Brigand, Hélène Furon, Agathe Gérard et leur professeur Elisabeth Studer ont accueilli les visiteurs, en musette, devant la salle où avait lieu le salon,  avec des morceaux comme  Reb.Dovilds Nigum et Monsieur Roudoudou...

Les jeunes musiciennes ont ensuite joué dans le salon des peintres...

Rondeau anglais...

valse tropicale...

Le public est venu très nombreux admirer les tableaux et écouter cette si agréable musique.

Jenry Camus a rappelé l'histoire du salon des peintres, a évoqué la personnalité et le travail de l'invité d'honneur Serguéï Toutounov  qui peint si bien la...ruralité !!

Un clin d'oeil adressé à notre candidat aux législatives Hubert Brigand !

Ce dernier a félicité les Amis du Châtillonnais pour leurs si belles expositions, pas seulement de peinture... Hubert Brigand apprécie toutes les associations qui font si bien vivre notre ville.

Le concert a commencé par un gospel accordéon-clavier : Oh Happy Day.

Gabriel Théry, très jeune et très doué accordéoniste a interprété  "un homme debout"

Plusieurs quatre mains-piano par Bérénice Théry et Héloïse Fotchuont...

cinq mains avec Héloïse, Nicolas et Elisabeth...

Bérénice, Héloïse, Elisabeth...

Puis vinrent un groupe d'anciens accordéonistes qui se sont appelés "Tamalous", avec l'autorisation d'André Cartier le chef des Tamalous Orchestra.

Charles Aznavour a été ensuite à l'honneur puisque c'était son anniversaire le 22 mai, avec "Emmenez-moi" (chanté par toute la salle !)

puis un medley des plus belles chansons aznavouriennes...

Le concert s'est terminé par Kalinka Minka, en l'honneur de Serguéï Toutounov.

Beaucoup d'applaudissements ont salué tous les artistes. Que de progrès pour tous ces jeunes pianistes et accordéonistes d'une année à l'autre !

Merci aussi à Suzanne Furon , pianiste, qui a accompagné la dernière partie du concert.

La Société Archéologique et Historique du Châtillonnais anime un club archéologie conjointement avec des personnels du Collège Fontaine des Ducs.

Après un travail sur les tumulus, le Fanum du Tremblois, la céramologie,
les moyens de transport dans l'antiquité, les fibules, une visite de
l’exposition temporaire du musée...les élèves ont commencé une séquence
sur les techniques de fouilles.

Vendredi 2 mai, Bruno Chaume , directeur du programme de recherche sur  Vix leur a présenté les techniques de fouilles, les enjeux à respecter.

La première séance de fouille a eu lieu le 19 mai, la seconde le 2 juin.

J'ai eu le grand plaisir d'assister à la première séance, celle du  19 mai.

Les collégiens ont transporté le matériel jusqu'aux deux "chantiers de fouille".

Les enseignants ont reconstitué au collège deux chantiers de
fouille  avec 4 ou 5 couches chronologiques et en y dissimulant un certains nombres de "trésors" (monnaies, tessons, silex  taillés, os...) . Les élèves ont dû, avec trois intervenants, appliquer la théorie et fouiller les deux lieux le plus scientifiquement possible.

Bruno Chaume montre le chantier qui a été quadrillé par des ficelles.

Chaque élève doit choisir son carré...

Le nom de l'élève et le numéro du carré sont notés par Jacques Stréer,  secrétaire de la Société Archéologique et Historique du Châtillonnais.

Le matériel du fouilleur :

Bruno Chaume a fait une démonstration devant les élèves : il faut être attentif, précis, aller lentement pour ne rien oublier, même le plus infime objet.

Il faut fouiller de façon horizontale...

Bien observer la terre que l'on va jeter, un infime objet peut s'y trouver.

et le travail a commencé.

Bruno a surveillé de très près le travail des apprentis-fouilleurs.

Un tesson a été, ici, découvert dans la première couche. L'objet trouvé doit être répertorié, il faut noter la place exacte où il se trouve.

D'autres fouilleurs ont découvert des os et même une pièce.

Le chantier de fouille sera recouvert jusqu'à la prochaine séance.

La dernière séance aura lieu le 16 juin, avec peut-être une quatrième séance pour  finir.

Voici les collégiens-fouilleurs avec Marc Lefils (qui a réalisé le chantier), Bruno Chaume et Jacques Stréer.

  Autour du 10 juillet, les élèves auront la chance d'être accueillis en
invités privilégiés sur les fouilles de Thomas Pertlwieser à Vix pour
comparer leur technique et la sienne.

Les sœurs de saint Vincent de Paul au village

Au centre d'Aisey sur Seine existe une immense maison, propriété de la Commune.

La congrégation des soeurs de Saint Vincent de Paul y avait un bureau de bienfaisance.

Grandes salles, froides et austères où la Mère Gabrielle (90 ans) et Sœur Marie, enseignaient.

La séparation de l’Eglise et de l’Etat y mit fin en 19O6.

L’interdit n’empêchait pas l’enseignement religieux du catéchisme et préparation à la première communion des enfants des pays voisins.

Il y avait une salle d’apothicairerie avec des bocaux de plantes médicinales, quelques flacons de teinture d’iode, picrique, eau oxygénée, onguents, ouate, gaze en modeste quantité et gratuité des soins.
La congrégation vivait modestement, on rencontrait sœur Marie,les cornettes amidonnées, flottant au vent, poussant une charrette en osier dans les paroisses, recevant quelques subsides, une douzaine d’œufs par ci, une livre de beurre par là, un morceau de porc dans une ferme, lait, fromages etc…

Toujours dévouées au service des malades, handicapés et mourants. Elles avaient la sympathie des habitants à part quelques durs contre l’Eglise et leurs quolibets tels que « Tiens les grenouilles de bénitier qui quêtent », un chant monocorde : 

« Si les curés et leurs galettes voulaient nous faire mettre à genoux,

 citoyens envoyons-les paître,

 et votons Victor Genou,

marchons sur les pas de Victor,

 il est couronné de chez nous.

A tout coup, vive Genou » (illustre inconnu !)

Le missel qui s'exprime

Autrefois, on interrogeait le missel pour connaître la réponse à des questions posées.

Pour cela il faut un missel ouvert à la page de l’Evangile selon saint Jean.

Mettre une clé de porte à cet endroit au centre, laisser dépasser l’anneau de 2 à 3 cms hors du livre, le fermer, l’attacher serré avec une ficelle. Être dans une chambre calme avec une seconde personne motivée, se tenir debout, les deux personnes sont face à face, prendre le missel, le soutenir par l’index sous l’anneau de la clé, la paume de la main en haut, le bras plié aux hanches, l’extrémité des index ne doivent pas toucher le corps de la clé pour ne pas gêner les pulsations, être calme, se concentrer sur le sujet, poser la question à haute voix…

Attendre que se manifeste la réponse par oui le missel tourne à droite, par non il tourne à gauche.

Pas d’idées préconçues. Les questions à poser doivent être réelles et sérieuses. Exemple : connaître l’évolution de la santé d’une personne.

Il faut de la pratique.

Les questions de n° de loto ou des chevaux ou de ce genre sont exclues, ceci fait partie de la loi des probabilités.

C’est comme en radiesthésie, il fait une certaine pratique.

Cette pratique s’effectua dans certains endroits du Châtillonnais.

Enfants, ma sœur, moi et maman, y avions recours.

Voici la fin du texte de Pierre Roy, écrit de sa main, et son dessin explicatif :

 Les élèves de 6ème du Collège Fontaine des Ducs (sixièmes A,B, C, D et E) ont suivi avec enthousiasme une journée Sécurité mardi 23 mai 2017.

Les sapeurs-pompiers de Châtillon sur Seine avaient sorti leur matériel sur la place Marcel Pagnol, attenante au Collège.

Des sapeurs-pompiers volontaires, mais aussi beaucoup de jeunes sapeurs pompiers ont présenté aux élèves les outils nécessaires à leur travail...

Comme cette protection placée sur le volant d'une voiture accidentée, avant la désincarcération d'un conducteur, pour éviter que l'air-bag ne se déclenche inopinément.

Un jeune sapeur-pompier a revêtu devant les élèves la tenue complète du soldat du feu.

Casque, lunettes de protection, col de feu ou cagoule, veste d'intervention , ceinturon d'intervention, gants de protection, pantalon en fibres ignifugées, bottes à lacets.

Le détecteur de monoxyde de carbone clignote et prévient le pompier en cas de danger. 

Puis a eu lieu une démonstration de la lance à incendie en direction de la Seine.

Certains collégiens ont été ravis de pouvoir manoeuvrer la lance à incendie.

La voiture tonneau a eu beaucoup de succès...les élèves qui sont montés à l'intérieur ont pu se rendre compte de la nécessité de mettre sa ceinture.

Un bus Transdev était stationné près du collège.

Le conducteur était aussi animateur : il a présenté tout d'abord une vidéo sur le transport scolaire qui expliquait tout ce qu'il faut savoir pour être en sécurité au départ, pendant le trajet et à l'arrivée..sans oublier les conseils de propreté à l'intérieur du véhicule...

Il a ensuite fait monter les élèves dans le bus....

...et leur a présenté les ceintures de sécurité, les sorties de secours, il a répondu à toutes les questions.

La sortie des élèves dans le calme a été minutée.

Un Officier de Gendarmerie motorisé était venu avec son superbe engin. Après avoir présenté la Gendarmerie aux élèves , il a répondu à toutes les questions.

Pour terminer cette journée enrichissante, les élèves ont assisté à une  désincarcération.

Un sapeur-pompier a, au micro, expliqué point par point les techniques de désincarcération.

Les sapeurs-pompiers doivent revêtir un gilet rétro-réfléchissant, baliser les lieux et caler le véhicule....

Ils doivent maintenir l'axe tête-cou-tronc du passager avec un gilet spécial, protéger le passager des débris de verre avec un tissu, et neutraliser les air-bags....

Il faut casser les vitrages et découper la portière côté passager avec une cisaille électrique...

...découper la partie arrière du véhicule et le toit...

Voici la planche de bois que l'on glissera sous le passager pour l'extraire du véhicule.

Puis il faut approcher la civière...

Soulever le blessé avec de grandes précautions, avec la planche de bois...

Coucher le blessé sur la civière...

Le "faux-blessé" s'étant relevé, on voit bien le gilet de maintien tête-cou-tronc que les sauveteurs lui avaient enfilé.

Les élèves ont fait une ovation aux sapeurs-pompiers, car ils se sont bien rendus compte du travail formidable que font ces soldats du feu pour sauver les victimes.

Peut-être que quelques uns postuleront pour devenir jeune sapeur-pompier, c'est à souhaiter.

Monsieur le Proviseur du Collège Fontaine des Ducs a remercié les Sapeurs-Pompiers , la Gendarmerie, les bus Trandev, l'animateur de la voiture tonneau pour leurs animations bénévoles.

Il a aussi félicité les élèves pour leur attention.

Merci à madame Brigand, directrice adjointe de la SEGPA et référente sécurité routière au Collège Fontaine des Ducs, de m'avoir si aimablement conduite aux points stratégiques de cette belle "Journée Sécurité"

Jenry Camus, Président des Amis du Châtillonnais, a inauguré le VIIIème salon des peintres des Amis du Châtillonnais qui s'est tenu dans la salle Espace et Loisirs Luc Schréder.

Depuis 3 ans, le Salon fait appel à un "invité d'Honneur".

Après Maryvonne Garrault en 2015, André Lagarde en 2016, c'est Serguéï Toutounov qui l'a été en 2017.

Serguéï Toutounov est un peintre mondialement connu pour ses superbes toiles représentant notre belle nature sous tous ses aspects : natures mortes, fleurs, petits chemins, bancs , monuments...

Né à Moscou, il s'est établi dans l'Yonne à Bussy en Othe.

Il a accepté tout de suite, avec bienveillance, la proposition de Jenry Camus de venir exposer à Châtillon sur Seine.

Serguéï Toutounov a apporté avec lui des dizaines de tableaux encadrés, montrant toute la finesse de de son art.

Martine Aubignat adjointe à la culture de la Municipalité de Châtillon sur Seine a remercié les Amis du Châtillonnais d'avoir initié cette exposition de peinture nous permettant d'admirer les oeuvres d'un grand artiste et aussi celles des adhérent(e) peintres de la Section Peinture  de l'association.

Un petit clin d'oeil : Martine nous a confié avoir un ancêtre russe né à Moscou, comme SerguéïToutounov !

Maripol et Jenry Camus, accompagnés de Jean-Pierre Loget s'étaient rendus chez le peintre dans son atelier, pour l'inviter à participer au Salon de Peintres 2017.

Voici les superbes tableaux exposés :

Serguéï Toutounov est aussi pédagogue. En effet, il filme son travail et le tranfère sur  des CD .

Ces CD enregistrés peuvent ensuite être visionnés par les peintres débutants, leur donnant de précieux conseils et des techniques.

Ici, plusieurs personnes visionnent la réalisation du tableau intitulé "les coquelicots".

Le salon des Peintres des Amis du Châtillonnais a présenté les tableaux de  artistes de notre région : des aquarelles, des collages, des peintures à l'huile et à l'acrylique...mais aussi des tableaux réalisés sur l'argile, et les constructions métalliques originales de "Création Nodoise".

Voici les artistes Châtillonnais lors du vernissage.

Je vous montrerai bientôt leurs réalisations, ainsi que des images du concert que France-Accordéon a donné samedi soir 27 mai, alliant superbement la Musique et la Peinture.

A 18 heures, venez nombreux, l'entrée est libre !

(Illustration de Pierre Magès)

Un beau livre, une belle histoire… Un coup de pouce ?

 Nos P’tits Bals perdus

Du temps où la campagne faisait la fête tous les dimanches.

 Dans toutes les campagnes de France, les années 1920 à 1980 ont été l’âge d’or des bals ambulants, également appelés « bals montés », « bals parquets » ou encore « baluches ». Les entrepreneurs de bals se déplaçaient de commune en commune à l’occasion des fêtes villageoises. Antres du musette, les bals montés se sont adaptés aux airs yéyés et se sont peu à peu transformés en discothèques fixes à l’arrivée de la vague disco. Les musiciens suivaient la mode, de leur talent et de leur créativité dépendait le succès des bals !

 Je suis écrivain, spécialisée dans la collecte de mémoires. Suite à différentes rencontres, j’ai ressenti la nécessité de travailler sur l’histoire de ces bals montés et ces fêtes de campagne qui ont aujourd’hui presque disparu. À ma connaissance, aucun livre ne traite exclusivement ce sujet.

J’ai collecté des témoignages auprès de nombreux musiciens, d’anciens entrepreneurs de bals, mais aussi de forains et de clients des fêtes et bals. Les témoins sont en majorité originaires du nord de la Côte-d’Or. Par ricochet, leurs récits authentiques évoquent les fêtes rurales et leurs problématiques dans les campagnes de toute la France.  

Cet ouvrage illustré de nombreuses photos dresse un état des lieux du divertissement populaire, de l’évolution de la musique et des fêtes foraines en milieu rural. À l’image de ces fêtes mobiles, ce livre colporte les valeurs qu’il met en avant : liberté, créativité, ouverture d’esprit, tolérance.

 Je suis actuellement, par le biais de l’association De la Voix au Chapitre, à la recherche de soutiens financiers, mécènes, sponsors pour pouvoir faire imprimer le livre et lui offrir une sortie digne de ce nom.

J’ai pour cela mis en place une cagnotte de financement participatif que j’essaye de faire connaître :

https://www.leetchi.com/c/projets-de-pascaline-kromicheff

 Les petits ruisseaux font les grandes rivières… Il n’y a pas de petite participation, chaque soutien, chaque partage est bienvenu !

Je me tiens à votre disposition pour échanger sur le sujet si vous le désirez.

Merci de votre intérêt.  

 Pascaline KROMICHEFF

www.delavoixauchapitre.fr