Depuis peu, un mystérieux vidéaste, nommé Stand ByMe, réalise des vidéos des villages Châtillonnais....au volant de sa voiture...

A ma demande il a accepté de m'en confier quelques unes, merci à lui.

Voici la première consacrée à Châtillon, mettez là en grand écran, et baladez vous dans la ville, vous verrez c'est très surprenant.

Mais auparavant, un conseil : attachez votre ceinture !

Lors de l'Assemblée Générale de la Société Mycologique, Luc Lefray, son Président, avait annoncé que plusieurs journées intitulées "L'Atelier des Territoires" allaient avoir lieu et que des membres de la Société Mycologique y étaient invités.

J'ai donc demandé  à ces deux adhérents, François Poillotte et Pierre Potherat de m'apporter leur témoignage, ce qu'ils ont aimablement accepté .

François Poillotte nous informe sur ce qu'il a observé  et entendu :

Nous avons eu le sentiment de reprendre intégralement le travail accompli par le GIP durant les dix années passées et qui ont abouti à la création du parc national. Tout est calqué sur ce qui a été fait à ce titre : le Territoire correspondant à l'aire d'adhésion du parc, l'invitation faite aux différents organismes composant l'ex GIP...

Après l'introduction par les directeurs départementaux des territoires de la Côte d'Or et de la Haute Marne, et la présentation du programme de travaux par le représentant du bureau d'études chargé du projet, les personnes présentes ont été invitées à emprunter les trois cars qui avaient été réservés pour un périple sur le territoire.

Le Maire d'Arc en Barrois a ouvert la séance :

Le représentant du bureau d'Etudes :

Une partie du personnel du bureau d'Etudes :

L'assistance :

Avec Pierre Potherat, nous n'avons pas participé à ce long déplacement et au repas au restaurant auquel ont été conviés les participants.  Nous avons quitté la réunion.

La seconde journée, le mercredi 22 Janvier a été plus intéressante. L'assistance, beaucoup plus nombreuse que la veille, a été amenée à se  répartir en plusieurs ateliers, pour parler des atouts du territoire, des perspectives, etc... Ce travail a déjà été vu et revu au titre des multiples réunions du GIP.

Il a permis cependant d'approfondir certains points. La présence le mercredi 22 janvier, du directeur départemental de l'ONF de la Côte d'Or, nous a permis aussi d'aborder la question du sort des étangs forestiers. Il n'y aucune crainte à avoir sur leur devenir, selon lui. Il nous a garanti qu'ils seraient remis en eau prochainement. Attendons donc pour voir. Nous lui avons remis une petite note sur l'historique de ces retenues pour apporter la preuve de leur caractère patrimonial.

Un note semblable a été également remise à un chef de bureau du ministère de la transition écologique, présent dans la salle. Il devait la remettre à l'un des hauts fonctionnaires qui accompagnait la ministre, le lendemain.

 Je n'ai pas personnellement assisté à la séance de clôture du lendemain, en présence de la ministre, des préfets, sous préfets et autres parlementaires. J'avais un rendez-vous à Châtillon.  Pierre Potherat par compte, s'y est rendu.

 Voici maintenant le témoignage de Pierre Potherat :

J'ai représenté la SAHC lors de la dernière journée ou plutôt dernière matinée, puisque, après le repas pris dans la salle de réunion, le cortège ministériel s'est déplacé en Côte d'Or, à la maison de la Forêt de Leuglay puis aux établissements d'Herbomez à Châtillon.

La matinée a débuté par la restitution des ateliers de la veille. L'accent a été mis sur la nécessité de gommer la frontière entre la Côte-d’Or et la Haute-Marne en termes de gestion administratives et financière.

Le besoin de créer les conditions d'accueil optimales des futurs visiteurs du parc au niveau de l'information, de l'hébergement et de la restauration a également été pointé.

Ensuite trois directeurs de parc nationaux nous ont fait part de leur vécu après 40 à 50 ans de fonctionnement de leurs parcs respectifs:

Les Cévennes (1970), les Ecrins (1973) et le Mercantour (1979).

Quelques élus locaux, parmi lesquels Yolaine de Courson, député de la 4ème circonscription de la Côte d'Or, ont remercié tous les acteurs à l'origine de cette "aventure", en particulier les membres du GIP.

Le discours d'Elisabeth Borne, ministre de l'Ecologie, a rassuré les élus locaux quant au déblocage des moyens nécessaires à la mise en route et au fonctionnement du parc, sans nuire aux autres parcs nationaux.

Elle a aussi assuré que, la biodiversité disparaissant à grande vitesse, en particulier celle liée aux zones humides, la bataille du vivant est engagée.

Quelques questions ont été posées par le public, en particulier par un agent du SMS, à propos de la pertinence de l'application de la  continuité écologique à nos cours d'eau  (sic), au regard des à-sec sévères observés l'été dernier sur  des dizaines de kilomètres cumulés appartenant à de nombreux cours d'eau de la région (Ource et Tille en particulier).

La ministre a répondu que "la transition écologique doit s’appliquer en fonction de la spécificité des territoires concernés".

En d'autres termes on ne peut considérer que les vannages sur nos rivières, avec une chute de 1 à 1,5 m, soient l'équivalent d'un barrage hydroélectrique alpin ou même du massif central, dont la hauteur varie de 20 à 120 m.

Lors de l'Assemblée Générale de la Société Mycologique, Luc Lefray, son Président, avait annoncé que plusieurs journées intitulées "L'Atelier des Territoires" allaient avoir lieu et que des membres de la Société Mycologique y étaient invités.

J'ai donc demandé  à ces deux adhérents, François Poillotte et Pierre Potherat de m'apporter leur témoignage, ce qu'ils ont aimablement accepté .

François Poillotte nous informe sur ce qu'il a observé  et entendu :

Nous avons eu le sentiment de reprendre intégralement le travail accompli par le GIP durant les dix années passées et qui ont abouti à la création du parc national. Tout est calqué sur ce qui a été fait à ce titre : le Territoire correspondant à l'aire d'adhésion du parc, l'invitation faite aux différents organismes composant l'ex GIP...

Après l'introduction par les directeurs départementaux des territoires de la Côte d'Or et de la Haute Marne, et la présentation du programme de travaux par le représentant du bureau d'études chargé du projet, les personnes présentes ont été invitées à emprunter les trois cars qui avaient été réservés pour un périple sur le territoire.

Le Maire d'Arc en Barrois a ouvert la séance :

Le représentant du bureau d'Etudes :

Une partie du personnel du bureau d'Etudes :

L'assistance :

Avec Pierre Potherat, nous n'avons pas participé à ce long déplacement et au repas au restaurant auquel ont été conviés les participants.  Nous avons quitté la réunion.

La seconde journée, le mercredi 22 Janvier a été plus intéressante. L'assistance, beaucoup plus nombreuse que la veille, a été amenée à se  répartir en plusieurs ateliers, pour parler des atouts du territoire, des perspectives, etc... Ce travail a déjà été vu et revu au titre des multiples réunions du GIP.

Il a permis cependant d'approfondir certains points. La présence le mercredi 22 janvier, du directeur départemental de l'ONF de la Côte d'Or, nous a permis aussi d'aborder la question du sort des étangs forestiers. Il n'y aucune crainte à avoir sur leur devenir, selon lui. Il nous a garanti qu'ils seraient remis en eau prochainement. Attendons donc pour voir. Nous lui avons remis une petite note sur l'historique de ces retenues pour apporter la preuve de leur caractère patrimonial.

Un note semblable a été également remise à un chef de bureau du ministère de la transition écologique, présent dans la salle. Il devait la remettre à l'un des hauts fonctionnaires qui accompagnait la ministre, le lendemain.

 Je n'ai pas personnellement assisté à la séance de clôture du lendemain, en présence de la ministre, des préfets, sous préfets et autres parlementaires. J'avais un rendez-vous à Châtillon.  Pierre Potherat par compte, s'y est rendu.

 Voici maintenant le témoignage de Pierre Potherat :

J'ai représenté la SAHC lors de la dernière journée ou plutôt dernière matinée, puisque, après le repas pris dans la salle de réunion, le cortège ministériel s'est déplacé en Côte d'Or, à la maison de la Forêt de Leuglay puis aux établissements d'Herbomez à Châtillon.

La matinée a débuté par la restitution des ateliers de la veille. L'accent a été mis sur la nécessité de gommer la frontière entre la Côte-d’Or et la Haute-Marne en termes de gestion administratives et financière.

Le besoin de créer les conditions d'accueil optimales des futurs visiteurs du parc au niveau de l'information, de l'hébergement et de la restauration a également été pointé.

Ensuite trois directeurs de parc nationaux nous ont fait part de leur vécu après 40 à 50 ans de fonctionnement de leurs parcs respectifs:

Les Cévennes (1970), les Ecrins (1973) et le Mercantour (1979).

Quelques élus locaux, parmi lesquels Yolaine de Courson, député de la 4ème circonscription de la Côte d'Or, ont remercié tous les acteurs à l'origine de cette "aventure", en particulier les membres du GIP.

Le discours d'Elisabeth Borne, ministre de l'Ecologie, a rassuré les élus locaux quant au déblocage des moyens nécessaires à la mise en route et au fonctionnement du parc, sans nuire aux autres parcs nationaux.

Elle a aussi assuré que, la biodiversité disparaissant à grande vitesse, en particulier celle liée aux zones humides, la bataille du vivant est engagée.

Quelques questions ont été posées par le public, en particulier par un agent du SMS, à propos de la pertinence de l'application de la  continuité écologique à nos cours d'eau  (sic), au regard des à-sec sévères observés l'été dernier sur  des dizaines de kilomètres cumulés appartenant à de nombreux cours d'eau de la région (Ource et Tille en particulier).

La ministre a répondu que "la transition écologique doit s’appliquer en fonction de la spécificité des territoires concernés".

En d'autres termes on ne peut considérer que les vannages sur nos rivières, avec une chute de 1 à 1,5 m, soient l'équivalent d'un barrage hydroélectrique alpin ou même du massif central, dont la hauteur varie de 20 à 120 m.

Lors de l'Assemblée Générale de la Société Mycologique, Luc Lefray, son Président, avait annoncé que plusieurs journées intitulées "L'Atelier des Territoires" allaient avoir lieu et que des membres de la Société Mycologique y étaient invités.

J'ai donc demandé  à ces deux adhérents, François Poillotte et Pierre Potherat de m'apporter leur témoignage, ce qu'ils ont aimablement accepté .

François Poillotte nous informe sur ce qu'il a observé  et entendu :

Nous avons eu le sentiment de reprendre intégralement le travail accompli par le GIP durant les dix années passées et qui ont abouti à la création du parc national. Tout est calqué sur ce qui a été fait à ce titre : le Territoire correspondant à l'aire d'adhésion du parc, l'invitation faite aux différents organismes composant l'ex GIP...

Après l'introduction par les directeurs départementaux des territoires de la Côte d'Or et de la Haute Marne, et la présentation du programme de travaux par le représentant du bureau d'études chargé du projet, les personnes présentes ont été invitées à emprunter les trois cars qui avaient été réservés pour un périple sur le territoire.

Le Maire d'Arc en Barrois a ouvert la séance :

Le représentant du bureau d'Etudes :

Une partie du personnel du bureau d'Etudes :

L'assistance :

Avec Pierre Potherat, nous n'avons pas participé à ce long déplacement et au repas au restaurant auquel ont été conviés les participants.  Nous avons quitté la réunion.

La seconde journée, le mercredi 22 Janvier a été plus intéressante. L'assistance, beaucoup plus nombreuse que la veille, a été amenée à se  répartir en plusieurs ateliers, pour parler des atouts du territoire, des perspectives, etc... Ce travail a déjà été vu et revu au titre des multiples réunions du GIP.

Il a permis cependant d'approfondir certains points. La présence le mercredi 22 janvier, du directeur départemental de l'ONF de la Côte d'Or, nous a permis aussi d'aborder la question du sort des étangs forestiers. Il n'y aucune crainte à avoir sur leur devenir, selon lui. Il nous a garanti qu'ils seraient remis en eau prochainement. Attendons donc pour voir. Nous lui avons remis une petite note sur l'historique de ces retenues pour apporter la preuve de leur caractère patrimonial.

Un note semblable a été également remise à un chef de bureau du ministère de la transition écologique, présent dans la salle. Il devait la remettre à l'un des hauts fonctionnaires qui accompagnait la ministre, le lendemain.

 Je n'ai pas personnellement assisté à la séance de clôture du lendemain, en présence de la ministre, des préfets, sous préfets et autres parlementaires. J'avais un rendez-vous à Châtillon.  Pierre Potherat par compte, s'y est rendu.

 Voici maintenant le témoignage de Pierre Potherat :

J'ai représenté la SAHC lors de la dernière journée ou plutôt dernière matinée, puisque, après le repas pris dans la salle de réunion, le cortège ministériel s'est déplacé en Côte d'Or, à la maison de la Forêt de Leuglay puis aux établissements d'Herbomez à Châtillon.

La matinée a débuté par la restitution des ateliers de la veille. L'accent a été mis sur la nécessité de gommer la frontière entre la Côte-d’Or et la Haute-Marne en termes de gestion administratives et financière.

Le besoin de créer les conditions d'accueil optimales des futurs visiteurs du parc au niveau de l'information, de l'hébergement et de la restauration a également été pointé.

Ensuite trois directeurs de parc nationaux nous ont fait part de leur vécu après 40 à 50 ans de fonctionnement de leurs parcs respectifs:

Les Cévennes (1970), les Ecrins (1973) et le Mercantour (1979).

Quelques élus locaux, parmi lesquels Yolaine de Courson, député de la 4ème circonscription de la Côte d'Or, ont remercié tous les acteurs à l'origine de cette "aventure", en particulier les membres du GIP.

Le discours d'Elisabeth Borne, ministre de l'Ecologie, a rassuré les élus locaux quant au déblocage des moyens nécessaires à la mise en route et au fonctionnement du parc, sans nuire aux autres parcs nationaux.

Elle a aussi assuré que, la biodiversité disparaissant à grande vitesse, en particulier celle liée aux zones humides, la bataille du vivant est engagée.

Quelques questions ont été posées par le public, en particulier par un agent du SMS, à propos de la pertinence de l'application de la  continuité écologique à nos cours d'eau  (sic), au regard des à-sec sévères observés l'été dernier sur  des dizaines de kilomètres cumulés appartenant à de nombreux cours d'eau de la région (Ource et Tille en particulier).

La ministre a répondu que "la transition écologique doit s’appliquer en fonction de la spécificité des territoires concernés".

En d'autres termes on ne peut considérer que les vannages sur nos rivières, avec une chute de 1 à 1,5 m, soient l'équivalent d'un barrage hydroélectrique alpin ou même du massif central, dont la hauteur varie de 20 à 120 m.

Lors de l'Assemblée Générale de la Société Mycologique, Luc Lefray, son Président, avait annoncé que plusieurs journées intitulées "L'Atelier des Territoires" allaient avoir lieu et que des membres de la Société Mycologique y étaient invités.

J'ai donc demandé  à ces deux adhérents, François Poillotte et Pierre Potherat de m'apporter leur témoignage, ce qu'ils ont aimablement accepté .

François Poillotte nous informe sur ce qu'il a observé  et entendu :

Nous avons eu le sentiment de reprendre intégralement le travail accompli par le GIP durant les dix années passées et qui ont abouti à la création du parc national. Tout est calqué sur ce qui a été fait à ce titre : le Territoire correspondant à l'aire d'adhésion du parc, l'invitation faite aux différents organismes composant l'ex GIP...

Après l'introduction par les directeurs départementaux des territoires de la Côte d'Or et de la Haute Marne, et la présentation du programme de travaux par le représentant du bureau d'études chargé du projet, les personnes présentes ont été invitées à emprunter les trois cars qui avaient été réservés pour un périple sur le territoire.

Le Maire d'Arc en Barrois a ouvert la séance :

Le représentant du bureau d'Etudes :

Une partie du personnel du bureau d'Etudes :

L'assistance :

Avec Pierre Potherat, nous n'avons pas participé à ce long déplacement et au repas au restaurant auquel ont été conviés les participants.  Nous avons quitté la réunion.

La seconde journée, le mercredi 22 Janvier a été plus intéressante. L'assistance, beaucoup plus nombreuse que la veille, a été amenée à se  répartir en plusieurs ateliers, pour parler des atouts du territoire, des perspectives, etc... Ce travail a déjà été vu et revu au titre des multiples réunions du GIP.

Il a permis cependant d'approfondir certains points. La présence le mercredi 22 janvier, du directeur départemental de l'ONF de la Côte d'Or, nous a permis aussi d'aborder la question du sort des étangs forestiers. Il n'y aucune crainte à avoir sur leur devenir, selon lui. Il nous a garanti qu'ils seraient remis en eau prochainement. Attendons donc pour voir. Nous lui avons remis une petite note sur l'historique de ces retenues pour apporter la preuve de leur caractère patrimonial.

Un note semblable a été également remise à un chef de bureau du ministère de la transition écologique, présent dans la salle. Il devait la remettre à l'un des hauts fonctionnaires qui accompagnait la ministre, le lendemain.

 Je n'ai pas personnellement assisté à la séance de clôture du lendemain, en présence de la ministre, des préfets, sous préfets et autres parlementaires. J'avais un rendez-vous à Châtillon.  Pierre Potherat par compte, s'y est rendu.

 Voici maintenant le témoignage de Pierre Potherat :

J'ai représenté la SAHC lors de la dernière journée ou plutôt dernière matinée, puisque, après le repas pris dans la salle de réunion, le cortège ministériel s'est déplacé en Côte d'Or, à la maison de la Forêt de Leuglay puis aux établissements d'Herbomez à Châtillon.

La matinée a débuté par la restitution des ateliers de la veille. L'accent a été mis sur la nécessité de gommer la frontière entre la Côte-d’Or et la Haute-Marne en termes de gestion administratives et financière.

Le besoin de créer les conditions d'accueil optimales des futurs visiteurs du parc au niveau de l'information, de l'hébergement et de la restauration a également été pointé.

Ensuite trois directeurs de parc nationaux nous ont fait part de leur vécu après 40 à 50 ans de fonctionnement de leurs parcs respectifs:

Les Cévennes (1970), les Ecrins (1973) et le Mercantour (1979).

Quelques élus locaux, parmi lesquels Yolaine de Courson, député de la 4ème circonscription de la Côte d'Or, ont remercié tous les acteurs à l'origine de cette "aventure", en particulier les membres du GIP.

Le discours d'Elisabeth Borne, ministre de l'Ecologie, a rassuré les élus locaux quant au déblocage des moyens nécessaires à la mise en route et au fonctionnement du parc, sans nuire aux autres parcs nationaux.

Elle a aussi assuré que, la biodiversité disparaissant à grande vitesse, en particulier celle liée aux zones humides, la bataille du vivant est engagée.

Quelques questions ont été posées par le public, en particulier par un agent du SMS, à propos de la pertinence de l'application de la  continuité écologique à nos cours d'eau  (sic), au regard des à-sec sévères observés l'été dernier sur  des dizaines de kilomètres cumulés appartenant à de nombreux cours d'eau de la région (Ource et Tille en particulier).

La ministre a répondu que "la transition écologique doit s’appliquer en fonction de la spécificité des territoires concernés".

En d'autres termes on ne peut considérer que les vannages sur nos rivières, avec une chute de 1 à 1,5 m, soient l'équivalent d'un barrage hydroélectrique alpin ou même du massif central, dont la hauteur varie de 20 à 120 m.

Lors de l'Assemblée Générale de la Société Mycologique, Luc Lefray, son Président, avait annoncé que plusieurs journées intitulées "L'Atelier des Territoires" allaient avoir lieu et que des membres de la Société Mycologique y étaient invités.

J'ai donc demandé  à ces deux adhérents, François Poillotte et Pierre Potherat de m'apporter leur témoignage, ce qu'ils ont aimablement accepté .

François Poillotte nous informe sur ce qu'il a observé  et entendu :

Nous avons eu le sentiment de reprendre intégralement le travail accompli par le GIP durant les dix années passées et qui ont abouti à la création du parc national. Tout est calqué sur ce qui a été fait à ce titre : le Territoire correspondant à l'aire d'adhésion du parc, l'invitation faite aux différents organismes composant l'ex GIP...

Après l'introduction par les directeurs départementaux des territoires de la Côte d'Or et de la Haute Marne, et la présentation du programme de travaux par le représentant du bureau d'études chargé du projet, les personnes présentes ont été invitées à emprunter les trois cars qui avaient été réservés pour un périple sur le territoire.

Le Maire d'Arc en Barrois a ouvert la séance :

Le représentant du bureau d'Etudes :

Une partie du personnel du bureau d'Etudes :

L'assistance :

Avec Pierre Potherat, nous n'avons pas participé à ce long déplacement et au repas au restaurant auquel ont été conviés les participants.  Nous avons quitté la réunion.

La seconde journée, le mercredi 22 Janvier a été plus intéressante. L'assistance, beaucoup plus nombreuse que la veille, a été amenée à se  répartir en plusieurs ateliers, pour parler des atouts du territoire, des perspectives, etc... Ce travail a déjà été vu et revu au titre des multiples réunions du GIP.

Il a permis cependant d'approfondir certains points. La présence le mercredi 22 janvier, du directeur départemental de l'ONF de la Côte d'Or, nous a permis aussi d'aborder la question du sort des étangs forestiers. Il n'y aucune crainte à avoir sur leur devenir, selon lui. Il nous a garanti qu'ils seraient remis en eau prochainement. Attendons donc pour voir. Nous lui avons remis une petite note sur l'historique de ces retenues pour apporter la preuve de leur caractère patrimonial.

Un note semblable a été également remise à un chef de bureau du ministère de la transition écologique, présent dans la salle. Il devait la remettre à l'un des hauts fonctionnaires qui accompagnait la ministre, le lendemain.

 Je n'ai pas personnellement assisté à la séance de clôture du lendemain, en présence de la ministre, des préfets, sous préfets et autres parlementaires. J'avais un rendez-vous à Châtillon.  Pierre Potherat par compte, s'y est rendu.

 Voici maintenant le témoignage de Pierre Potherat :

J'ai représenté la SAHC lors de la dernière journée ou plutôt dernière matinée, puisque, après le repas pris dans la salle de réunion, le cortège ministériel s'est déplacé en Côte d'Or, à la maison de la Forêt de Leuglay puis aux établissements d'Herbomez à Châtillon.

La matinée a débuté par la restitution des ateliers de la veille. L'accent a été mis sur la nécessité de gommer la frontière entre la Côte-d’Or et la Haute-Marne en termes de gestion administratives et financière.

Le besoin de créer les conditions d'accueil optimales des futurs visiteurs du parc au niveau de l'information, de l'hébergement et de la restauration a également été pointé.

Ensuite trois directeurs de parc nationaux nous ont fait part de leur vécu après 40 à 50 ans de fonctionnement de leurs parcs respectifs:

Les Cévennes (1970), les Ecrins (1973) et le Mercantour (1979).

Quelques élus locaux, parmi lesquels Yolaine de Courson, député de la 4ème circonscription de la Côte d'Or, ont remercié tous les acteurs à l'origine de cette "aventure", en particulier les membres du GIP.

Le discours d'Elisabeth Borne, ministre de l'Ecologie, a rassuré les élus locaux quant au déblocage des moyens nécessaires à la mise en route et au fonctionnement du parc, sans nuire aux autres parcs nationaux.

Elle a aussi assuré que, la biodiversité disparaissant à grande vitesse, en particulier celle liée aux zones humides, la bataille du vivant est engagée.

Quelques questions ont été posées par le public, en particulier par un agent du SMS, à propos de la pertinence de l'application de la  continuité écologique à nos cours d'eau  (sic), au regard des à-sec sévères observés l'été dernier sur  des dizaines de kilomètres cumulés appartenant à de nombreux cours d'eau de la région (Ource et Tille en particulier).

La ministre a répondu que "la transition écologique doit s’appliquer en fonction de la spécificité des territoires concernés".

En d'autres termes on ne peut considérer que les vannages sur nos rivières, avec une chute de 1 à 1,5 m, soient l'équivalent d'un barrage hydroélectrique alpin ou même du massif central, dont la hauteur varie de 20 à 120 m.

Lors de l'Assemblée Générale de la Société Mycologique, Luc Lefray, son Président, avait annoncé que plusieurs journées intitulées "L'Atelier des Territoires" allaient avoir lieu et que des membres de la Société Mycologique y étaient invités.

J'ai donc demandé  à ces deux adhérents, François Poillotte et Pierre Potherat de m'apporter leur témoignage, ce qu'ils ont aimablement accepté .

François Poillotte nous informe sur ce qu'il a observé  et entendu :

Nous avons eu le sentiment de reprendre intégralement le travail accompli par le GIP durant les dix années passées et qui ont abouti à la création du parc national. Tout est calqué sur ce qui a été fait à ce titre : le Territoire correspondant à l'aire d'adhésion du parc, l'invitation faite aux différents organismes composant l'ex GIP...

Après l'introduction par les directeurs départementaux des territoires de la Côte d'Or et de la Haute Marne, et la présentation du programme de travaux par le représentant du bureau d'études chargé du projet, les personnes présentes ont été invitées à emprunter les trois cars qui avaient été réservés pour un périple sur le territoire.

Le Maire d'Arc en Barrois a ouvert la séance :

Le représentant du bureau d'Etudes :

Une partie du personnel du bureau d'Etudes :

L'assistance :

Avec Pierre Potherat, nous n'avons pas participé à ce long déplacement et au repas au restaurant auquel ont été conviés les participants.  Nous avons quitté la réunion.

La seconde journée, le mercredi 22 Janvier a été plus intéressante. L'assistance, beaucoup plus nombreuse que la veille, a été amenée à se  répartir en plusieurs ateliers, pour parler des atouts du territoire, des perspectives, etc... Ce travail a déjà été vu et revu au titre des multiples réunions du GIP.

Il a permis cependant d'approfondir certains points. La présence le mercredi 22 janvier, du directeur départemental de l'ONF de la Côte d'Or, nous a permis aussi d'aborder la question du sort des étangs forestiers. Il n'y aucune crainte à avoir sur leur devenir, selon lui. Il nous a garanti qu'ils seraient remis en eau prochainement. Attendons donc pour voir. Nous lui avons remis une petite note sur l'historique de ces retenues pour apporter la preuve de leur caractère patrimonial.

Un note semblable a été également remise à un chef de bureau du ministère de la transition écologique, présent dans la salle. Il devait la remettre à l'un des hauts fonctionnaires qui accompagnait la ministre, le lendemain.

 Je n'ai pas personnellement assisté à la séance de clôture du lendemain, en présence de la ministre, des préfets, sous préfets et autres parlementaires. J'avais un rendez-vous à Châtillon.  Pierre Potherat par compte, s'y est rendu.

 Voici maintenant le témoignage de Pierre Potherat :

J'ai représenté la SAHC lors de la dernière journée ou plutôt dernière matinée, puisque, après le repas pris dans la salle de réunion, le cortège ministériel s'est déplacé en Côte d'Or, à la maison de la Forêt de Leuglay puis aux établissements d'Herbomez à Châtillon.

La matinée a débuté par la restitution des ateliers de la veille. L'accent a été mis sur la nécessité de gommer la frontière entre la Côte-d’Or et la Haute-Marne en termes de gestion administratives et financière.

Le besoin de créer les conditions d'accueil optimales des futurs visiteurs du parc au niveau de l'information, de l'hébergement et de la restauration a également été pointé.

Ensuite trois directeurs de parc nationaux nous ont fait part de leur vécu après 40 à 50 ans de fonctionnement de leurs parcs respectifs:

Les Cévennes (1970), les Ecrins (1973) et le Mercantour (1979).

Quelques élus locaux, parmi lesquels Yolaine de Courson, député de la 4ème circonscription de la Côte d'Or, ont remercié tous les acteurs à l'origine de cette "aventure", en particulier les membres du GIP.

Le discours d'Elisabeth Borne, ministre de l'Ecologie, a rassuré les élus locaux quant au déblocage des moyens nécessaires à la mise en route et au fonctionnement du parc, sans nuire aux autres parcs nationaux.

Elle a aussi assuré que, la biodiversité disparaissant à grande vitesse, en particulier celle liée aux zones humides, la bataille du vivant est engagée.

Quelques questions ont été posées par le public, en particulier par un agent du SMS, à propos de la pertinence de l'application de la  continuité écologique à nos cours d'eau  (sic), au regard des à-sec sévères observés l'été dernier sur  des dizaines de kilomètres cumulés appartenant à de nombreux cours d'eau de la région (Ource et Tille en particulier).

La ministre a répondu que "la transition écologique doit s’appliquer en fonction de la spécificité des territoires concernés".

En d'autres termes on ne peut considérer que les vannages sur nos rivières, avec une chute de 1 à 1,5 m, soient l'équivalent d'un barrage hydroélectrique alpin ou même du massif central, dont la hauteur varie de 20 à 120 m.

  Cliquer pour mieux lire :

Le Maire de Châtillon sur Seine a félicité les Châtillonnais pour avoir si bien décoré la ville au moment des Fêtes 2019. Maisons et commerces ont été particulièrement attractifs en cette fin d'année. La ville a comme tous les ans installé devant l'Hôtel de Ville une grande et belle animation lumineuse.

Le feu d'artifice de la soirée du dimanche 22 décembre 2019 n'a pu avoir lieu à cause du vent violent et de la pluie. Il est reporté au soir du Tape Chaudron -Fête du crémant.

Roger Grosmaire et son équipe ont sillonné, le soir, la ville  en décembre 2019, et en janvier 2020 pour recenser toutes les maisons , décorées lumineusement ou non. Puis un palmarès à été établi.

Quelques membres du Jury :

Hubert Brigand a ensuite appelé les lauréats qui ont reçu un diplôme et une enveloppe....

Tous les autres participants ont reçu un diplôme, les encourageant à poursuivre leurs décorations lors des prochaines fêtes de 2020.

Voici mes voisins et mes voisines qui ont brillamment illuminé leurs maisons, j'ai ainsi profité de leurs belles décorations durant toutes les fêtes  !

Les Lauréats (photo cliquable)

Et voici le palmarès :

Maisons

Premier prix : madame, monsieur Roger Montenot, 2 rue Marie Curie

Deuxième prix : madame, monsieur Yannick Mainguy, 11 avenue Maréchal Joffre

Troisième prix : madame, monsieur Emmanuel Gresset, 30 rue du Général de Gaulle

Quatrième prix : madame, monsieur Michel Sanguy, 18 avenue Maréchal Joffre

Balcons, fenêtres, façades

Premier prix : madame Kelly Guerreiro, 5 bis rue du Petit Versailles

Deuxième prix : madame, monsieur Jacques Trouvé,,19 rue Président Carnot

Troisième prix : madame, monsieur Nika Shkelzen, 42 rue Maréchal de Lattre.

Commerces

Premier prix : pâtisserie Barbier , monsieur Serge Barbier, 13 rue Maréchal Leclerc

Deuxième prix : Ex-Aequo, madame Carole Schlosser, 41 rue Maréchal de Lattre

Deuxième prix ex-aequo : Bourgogne Immobilier, madame Cabane, 2 bis rue Saint Nicolas

Troisième prix : Stylist Hair, monsieur Thierry Razil, place du 8 mai 1945

Les associations Images en Châtillonnais, les Amis du Châtillonnais et les Anciens élèves du collège Désiré Nisard & du collège Fontaine des Ducs proposent une

conférence de 10 h à 12 h, salle des conférences de Châtillon-sur-Seine, le dimanche 2 février 2020.

Michel Massé et Jean Millot animeront la présentation des cartes postales éditées par le libraire photographe Georges Parisot dont le magasin était au 10 Place de l’Hôtel de Ville à Châtillon. Les collectionneurs de l’association Images en Châtillonnais ont recensé actuellement une série de 164 cartes différentes numérotées de 481 à 672.

Ces cartes postales, datées de 1913 à 1921, représentent des vues de la ville de Châtillon-sur-Seine et de certains villages châtillonnais. Voici la liste des villages qui seront évoqués par une ou plusieurs cartes : Aisey-sur-Seine, Etrochey, Recey-sur-Ource, Terrefondrée, Villedieu, Bellenod-sur-Seine, Nicey, Charrey-sur-Seine, Marcenay, Prusly-sur-Ource, Montliot-et-Courcelles, Poinçon-les-Larrey, Montmoyen, Sainte-Colombe-sur-Seine, Villaines-en-Duesmois, Riel-les-Eaux, Vanvey, Villiers le Duc, Bouix, Pothières, Gevrolles, Courban, Chamesson.

Si la plupart des cartes de cette collection représentent les curiosités touristiques de Châtillon-sur-Seine et du Châtillonnais, quelques autres montrent les rues disparues animées. Elles étaient destinées à la population locale, mais aussi aux milliers de soldats de la Grande Guerre hospitalisés qui bénéficiaient de la franchise postale pour donner de leurs nouvelles.

Après l’armistice du 11 novembre 1918, Georges Parisot retrouvera en 1919 une nouvelle clientèle avec l’armée américaine qui séjournait dans le Châtillonnais. C’est donc un témoignage historique intéressant.  

Entrée libre et ouverte à tout public.

Contact : Téléphone : 03 80 81 50 65. Email : jean-millot@orange.fr

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