" Ô Napoléon, les Français ne t'ont pas oublié; tu vis dans le cœur du plus grand nombre"

(Mameluck Ali)

Les souvenirs napoléoniens du Musée de Sens, témoignent des dernières années de la vie de l'Empereur, en raison des parcours personnels de deux principaux donateurs.

Le premier de ces donateurs est Louis-Etienne Saint-Denis qui entra au service intérieur de Napoléon Ier, en 1811 comme second mameluck.

Il  prit  le nom d'Ali, qui était le surnom de celui qui l'avait précédé.

Ali accompagna Napoléon dans toutes ses campagnes, dont celle de Russie. Il le suivit à Sainte-Hélène où il seconda Marchand comme valet.

Il gérait aussi la bibliothèque de l'Empereur (plus de 3 000 volumes) et transcrivait les manuscrits de Napoléon.

Il bénéficia d'un legs de l'Empereur et s'installa à Sens, avec son épouse Mary Hall, d'origine anglaise, rencontrée à Saint-Hélène et qu'il épousa.

Il se consacra alors entièrement au culte des souvenirs napoléoniens qu'il avait rapportés de Sainte-Hélène.

Il rapporta ainsi cet habit de chasseur que Napoléon porta en exil.

La tenue de colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale était la tenue favorite de l'Empereur.

L'habit, vert à l'origine, est garni des épaulettes d'Officier Général  et de la plaque de la Légion d'Honneur.

Napoléon avait emporté deux de ces uniformes à Sainte Hélène, il fut inhumé avec l'un d'entre eux, le second fut ramené par Ali qui le légua aux Musées de Sens.

Le second donateur d'un souvenir de l'Empereur Napoléon Ier est le général Duchesne.

Le général Duchesne est né à Sens en 1837, c'est lui qui commanda le corps expéditionnaire de Madagascar en 1895.

En 1920, il légua à la ville de Sens ses armes et ses décorations.... et surtout le chapeau  que Napoléon portait lors de la bataille de Waterloo.

Quelle est donc l'histoire de ce chapeau  en feutre, décoré d'une cocarde blanc, bleu, rouge * ?

Après sa défaite à Waterloo, Napoléon envoya son chapeau défraîchi chez son chapelier officiel, Poupard et Delaunay, qui tenait boutique "Au Temple du goût" dans les galeries du Palais Royal à Paris.

Ce chapeau ne put lui être rendu et resta dans la famille Delaunay.

La petite fille du chapelier, Léontine Dupuis le remit au Général Duchesne, neveu par alliance de sa tante.

Ce dernier le légua au Musée de Sens après sa mort en 1918.

* La cocarde qui se trouve sur le chapeau de Napoléon porte le nom de "cocarde de l'Empereur", elle porte les couleurs dans un ordre différent du drapeau national, c'est à dire blanc, bleu, rouge.

Ce modèle en feutre était appelé "chapeau castor français", il était vendu à l'époque 60 francs.

 " Ô Napoléon, les Français ne t'ont pas oublié; tu vis dans le cœur du plus grand nombre"

(Mameluck Ali)

Les souvenirs napoléoniens du Musée de Sens, témoignent des dernières années de la vie de l'Empereur, en raison des parcours personnels de deux principaux donateurs.

Le premier de ces donateurs est Louis-Etienne Saint-Denis qui entra au service intérieur de Napoléon Ier, en 1811 comme second mameluck.

Il  prit  le nom d'Ali, qui était le surnom de celui qui l'avait précédé.

Ali accompagna Napoléon dans toutes ses campagnes, dont celle de Russie. Il le suivit à Sainte-Hélène où il seconda Marchand comme valet.

Il gérait aussi la bibliothèque de l'Empereur (plus de 3 000 volumes) et transcrivait les manuscrits de Napoléon.

Il bénéficia d'un legs de l'Empereur et s'installa à Sens, avec son épouse Mary Hall, d'origine anglaise, rencontrée à Saint-Hélène et qu'il épousa.

Il se consacra alors entièrement au culte des souvenirs napoléoniens qu'il avait rapportés de Sainte-Hélène.

Il rapporta ainsi cet habit de chasseur que Napoléon porta en exil.

La tenue de colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale était la tenue favorite de l'Empereur.

L'habit, vert à l'origine, est garni des épaulettes d'Officier Général  et de la plaque de la Légion d'Honneur.

Napoléon avait emporté deux de ces uniformes à Sainte Hélène, il fut inhumé avec l'un d'entre eux, le second fut ramené par Ali qui le légua aux Musées de Sens.

Le second donateur d'un souvenir de l'Empereur Napoléon Ier est le général Duchesne.

Le général Duchesne est né à Sens en 1837, c'est lui qui commanda le corps expéditionnaire de Madagascar en 1895.

En 1920, il légua à la ville de Sens ses armes et ses décorations.... et surtout le chapeau  que Napoléon portait lors de la bataille de Waterloo.

Quelle est donc l'histoire de ce chapeau  en feutre, décoré d'une cocarde blanc, bleu, rouge * ?

Après sa défaite à Waterloo, Napoléon envoya son chapeau défraîchi chez son chapelier officiel, Poupard et Delaunay, qui tenait boutique "Au Temple du goût" dans les galeries du Palais Royal à Paris.

Ce chapeau ne put lui être rendu et resta dans la famille Delaunay.

La petite fille du chapelier, Léontine Dupuis le remit au Général Duchesne, neveu par alliance de sa tante.

Ce dernier le légua au Musée de Sens après sa mort en 1918.

* La cocarde qui se trouve sur le chapeau de Napoléon porte le nom de "cocarde de l'Empereur", elle porte les couleurs dans un ordre différent du drapeau national, c'est à dire blanc, bleu, rouge.

Ce modèle en feutre était appelé "chapeau castor français", il était vendu à l'époque 60 francs.

 " Ô Napoléon, les Français ne t'ont pas oublié; tu vis dans le cœur du plus grand nombre"

(Mameluck Ali)

Les souvenirs napoléoniens du Musée de Sens, témoignent des dernières années de la vie de l'Empereur, en raison des parcours personnels de deux principaux donateurs.

Le premier de ces donateurs est Louis-Etienne Saint-Denis qui entra au service intérieur de Napoléon Ier, en 1811 comme second mameluck.

Il  prit  le nom d'Ali, qui était le surnom de celui qui l'avait précédé.

Ali accompagna Napoléon dans toutes ses campagnes, dont celle de Russie. Il le suivit à Sainte-Hélène où il seconda Marchand comme valet.

Il gérait aussi la bibliothèque de l'Empereur (plus de 3 000 volumes) et transcrivait les manuscrits de Napoléon.

Il bénéficia d'un legs de l'Empereur et s'installa à Sens, avec son épouse Mary Hall, d'origine anglaise, rencontrée à Saint-Hélène et qu'il épousa.

Il se consacra alors entièrement au culte des souvenirs napoléoniens qu'il avait rapportés de Sainte-Hélène.

Il rapporta ainsi cet habit de chasseur que Napoléon porta en exil.

La tenue de colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale était la tenue favorite de l'Empereur.

L'habit, vert à l'origine, est garni des épaulettes d'Officier Général  et de la plaque de la Légion d'Honneur.

Napoléon avait emporté deux de ces uniformes à Sainte Hélène, il fut inhumé avec l'un d'entre eux, le second fut ramené par Ali qui le légua aux Musées de Sens.

Le second donateur d'un souvenir de l'Empereur Napoléon Ier est le général Duchesne.

Le général Duchesne est né à Sens en 1837, c'est lui qui commanda le corps expéditionnaire de Madagascar en 1895.

En 1920, il légua à la ville de Sens ses armes et ses décorations.... et surtout le chapeau  que Napoléon portait lors de la bataille de Waterloo.

Quelle est donc l'histoire de ce chapeau  en feutre, décoré d'une cocarde blanc, bleu, rouge * ?

Après sa défaite à Waterloo, Napoléon envoya son chapeau défraîchi chez son chapelier officiel, Poupard et Delaunay, qui tenait boutique "Au Temple du goût" dans les galeries du Palais Royal à Paris.

Ce chapeau ne put lui être rendu et resta dans la famille Delaunay.

La petite fille du chapelier, Léontine Dupuis le remit au Général Duchesne, neveu par alliance de sa tante.

Ce dernier le légua au Musée de Sens après sa mort en 1918.

* La cocarde qui se trouve sur le chapeau de Napoléon porte le nom de "cocarde de l'Empereur", elle porte les couleurs dans un ordre différent du drapeau national, c'est à dire blanc, bleu, rouge.

Ce modèle en feutre était appelé "chapeau castor français", il était vendu à l'époque 60 francs.

 " Ô Napoléon, les Français ne t'ont pas oublié; tu vis dans le cœur du plus grand nombre"

(Mameluck Ali)

Les souvenirs napoléoniens du Musée de Sens, témoignent des dernières années de la vie de l'Empereur, en raison des parcours personnels de deux principaux donateurs.

Le premier de ces donateurs est Louis-Etienne Saint-Denis qui entra au service intérieur de Napoléon Ier, en 1811 comme second mameluck.

Il  prit  le nom d'Ali, qui était le surnom de celui qui l'avait précédé.

Ali accompagna Napoléon dans toutes ses campagnes, dont celle de Russie. Il le suivit à Sainte-Hélène où il seconda Marchand comme valet.

Il gérait aussi la bibliothèque de l'Empereur (plus de 3 000 volumes) et transcrivait les manuscrits de Napoléon.

Il bénéficia d'un legs de l'Empereur et s'installa à Sens, avec son épouse Mary Hall, d'origine anglaise, rencontrée à Saint-Hélène et qu'il épousa.

Il se consacra alors entièrement au culte des souvenirs napoléoniens qu'il avait rapportés de Sainte-Hélène.

Il rapporta ainsi cet habit de chasseur que Napoléon porta en exil.

La tenue de colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale était la tenue favorite de l'Empereur.

L'habit, vert à l'origine, est garni des épaulettes d'Officier Général  et de la plaque de la Légion d'Honneur.

Napoléon avait emporté deux de ces uniformes à Sainte Hélène, il fut inhumé avec l'un d'entre eux, le second fut ramené par Ali qui le légua aux Musées de Sens.

Le second donateur d'un souvenir de l'Empereur Napoléon Ier est le général Duchesne.

Le général Duchesne est né à Sens en 1837, c'est lui qui commanda le corps expéditionnaire de Madagascar en 1895.

En 1920, il légua à la ville de Sens ses armes et ses décorations.... et surtout le chapeau  que Napoléon portait lors de la bataille de Waterloo.

Quelle est donc l'histoire de ce chapeau  en feutre, décoré d'une cocarde blanc, bleu, rouge * ?

Après sa défaite à Waterloo, Napoléon envoya son chapeau défraîchi chez son chapelier officiel, Poupard et Delaunay, qui tenait boutique "Au Temple du goût" dans les galeries du Palais Royal à Paris.

Ce chapeau ne put lui être rendu et resta dans la famille Delaunay.

La petite fille du chapelier, Léontine Dupuis le remit au Général Duchesne, neveu par alliance de sa tante.

Ce dernier le légua au Musée de Sens après sa mort en 1918.

* La cocarde qui se trouve sur le chapeau de Napoléon porte le nom de "cocarde de l'Empereur", elle porte les couleurs dans un ordre différent du drapeau national, c'est à dire blanc, bleu, rouge.

Ce modèle en feutre était appelé "chapeau castor français", il était vendu à l'époque 60 francs.

 " Ô Napoléon, les Français ne t'ont pas oublié; tu vis dans le cœur du plus grand nombre"

(Mameluck Ali)

Les souvenirs napoléoniens du Musée de Sens, témoignent des dernières années de la vie de l'Empereur, en raison des parcours personnels de deux principaux donateurs.

Le premier de ces donateurs est Louis-Etienne Saint-Denis qui entra au service intérieur de Napoléon Ier, en 1811 comme second mameluck.

Il  prit  le nom d'Ali, qui était le surnom de celui qui l'avait précédé.

Ali accompagna Napoléon dans toutes ses campagnes, dont celle de Russie. Il le suivit à Sainte-Hélène où il seconda Marchand comme valet.

Il gérait aussi la bibliothèque de l'Empereur (plus de 3 000 volumes) et transcrivait les manuscrits de Napoléon.

Il bénéficia d'un legs de l'Empereur et s'installa à Sens, avec son épouse Mary Hall, d'origine anglaise, rencontrée à Saint-Hélène et qu'il épousa.

Il se consacra alors entièrement au culte des souvenirs napoléoniens qu'il avait rapportés de Sainte-Hélène.

Il rapporta ainsi cet habit de chasseur que Napoléon porta en exil.

La tenue de colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale était la tenue favorite de l'Empereur.

L'habit, vert à l'origine, est garni des épaulettes d'Officier Général  et de la plaque de la Légion d'Honneur.

Napoléon avait emporté deux de ces uniformes à Sainte Hélène, il fut inhumé avec l'un d'entre eux, le second fut ramené par Ali qui le légua aux Musées de Sens.

Le second donateur d'un souvenir de l'Empereur Napoléon Ier est le général Duchesne.

Le général Duchesne est né à Sens en 1837, c'est lui qui commanda le corps expéditionnaire de Madagascar en 1895.

En 1920, il légua à la ville de Sens ses armes et ses décorations.... et surtout le chapeau  que Napoléon portait lors de la bataille de Waterloo.

Quelle est donc l'histoire de ce chapeau  en feutre, décoré d'une cocarde blanc, bleu, rouge * ?

Après sa défaite à Waterloo, Napoléon envoya son chapeau défraîchi chez son chapelier officiel, Poupard et Delaunay, qui tenait boutique "Au Temple du goût" dans les galeries du Palais Royal à Paris.

Ce chapeau ne put lui être rendu et resta dans la famille Delaunay.

La petite fille du chapelier, Léontine Dupuis le remit au Général Duchesne, neveu par alliance de sa tante.

Ce dernier le légua au Musée de Sens après sa mort en 1918.

* La cocarde qui se trouve sur le chapeau de Napoléon porte le nom de "cocarde de l'Empereur", elle porte les couleurs dans un ordre différent du drapeau national, c'est à dire blanc, bleu, rouge.

Ce modèle en feutre était appelé "chapeau castor français", il était vendu à l'époque 60 francs.

 " Ô Napoléon, les Français ne t'ont pas oublié; tu vis dans le cœur du plus grand nombre"

(Mameluck Ali)

Les souvenirs napoléoniens du Musée de Sens, témoignent des dernières années de la vie de l'Empereur, en raison des parcours personnels de deux principaux donateurs.

Le premier de ces donateurs est Louis-Etienne Saint-Denis qui entra au service intérieur de Napoléon Ier, en 1811 comme second mameluck.

Il  prit  le nom d'Ali, qui était le surnom de celui qui l'avait précédé.

Ali accompagna Napoléon dans toutes ses campagnes, dont celle de Russie. Il le suivit à Sainte-Hélène où il seconda Marchand comme valet.

Il gérait aussi la bibliothèque de l'Empereur (plus de 3 000 volumes) et transcrivait les manuscrits de Napoléon.

Il bénéficia d'un legs de l'Empereur et s'installa à Sens, avec son épouse Mary Hall, d'origine anglaise, rencontrée à Saint-Hélène et qu'il épousa.

Il se consacra alors entièrement au culte des souvenirs napoléoniens qu'il avait rapportés de Sainte-Hélène.

Il rapporta ainsi cet habit de chasseur que Napoléon porta en exil.

La tenue de colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale était la tenue favorite de l'Empereur.

L'habit, vert à l'origine, est garni des épaulettes d'Officier Général  et de la plaque de la Légion d'Honneur.

Napoléon avait emporté deux de ces uniformes à Sainte Hélène, il fut inhumé avec l'un d'entre eux, le second fut ramené par Ali qui le légua aux Musées de Sens.

Le second donateur d'un souvenir de l'Empereur Napoléon Ier est le général Duchesne.

Le général Duchesne est né à Sens en 1837, c'est lui qui commanda le corps expéditionnaire de Madagascar en 1895.

En 1920, il légua à la ville de Sens ses armes et ses décorations.... et surtout le chapeau  que Napoléon portait lors de la bataille de Waterloo.

Quelle est donc l'histoire de ce chapeau  en feutre, décoré d'une cocarde blanc, bleu, rouge * ?

Après sa défaite à Waterloo, Napoléon envoya son chapeau défraîchi chez son chapelier officiel, Poupard et Delaunay, qui tenait boutique "Au Temple du goût" dans les galeries du Palais Royal à Paris.

Ce chapeau ne put lui être rendu et resta dans la famille Delaunay.

La petite fille du chapelier, Léontine Dupuis le remit au Général Duchesne, neveu par alliance de sa tante.

Ce dernier le légua au Musée de Sens après sa mort en 1918.

* La cocarde qui se trouve sur le chapeau de Napoléon porte le nom de "cocarde de l'Empereur", elle porte les couleurs dans un ordre différent du drapeau national, c'est à dire blanc, bleu, rouge.

Ce modèle en feutre était appelé "chapeau castor français", il était vendu à l'époque 60 francs.

Pour fêter ses trente ans, la Maison de la Forêt de Leuglay a réalisé plusieurs  démonstrations pratiques de ses activités : parcours GPS, test de connaissance faune et flore, et grimpe d'arbres :

la grimpe d'arbres avec Sylvain Boulangeot :

Nous avons pu visiter le Centre d’Interprétation de la forêt et de la truffe.

Deux conférences naturalistes ont été proposées aux visiteurs.

La première sur la cigogne noire par Paul Brossault,

Voici les morceaux de bois utilisés par la cigogne noire pour faire son nid !

En conclusion Paul Brossault nous dit que la cigogne noire est un oiseau des forêts banales et que son espèce se porte bien.

En effet on comptait 1 nid en 1973, 80 en 2022,  et 150 nicheurs estimés, car, régulièrement, la cigogne noire s'installe dans un nouveau département.

Il y a eu plus de 104% de passages migratoires de 2011 à 2017.

 Paul Brossault avait déjà proposé une conférence sur la cigogne noire, avec quelques photos qu'il m'avait offertes, je l'avais résumée ici :

http://www.christaldesaintmarc.com/la-cigogne-noire-un-oiseau-emblematique-chatillonnais-a-preserver-a1863077

 La seconde conférence a été présentée par Daniel Wipf, elle avait pour thème "Le monde des champignons"

Daniel Wipf nous présente un flacon avec un peu de terre à l'intérieur.

Savez-vous nous demande-t-il combien de bactéries, de filaments fongiques et d'insectes contient cette petite quantité de terre ?

Le résultat est stupéfiant:

200 milliards de bactéries, 100 km de filaments fongiques et 200 000 insectes, protozoaires, vers !!

Une autre question quel est l'être vivant le plus gros au monde ?

On pense bien sûr à la baleine bleue qui mesure 30m et pèse 172 tonnes... mais non, le plus gros être vivant  sur notre terre c'est un champignon l'Armillaria ostoya  qui couvre une surface de 890 hectares !

Daniel Wipf nous a  informés ensuite sur la découverte de la mycorhize par le savant allemand Franck en 1885.

Cette découverte a été négligée pendant plus d'un siècle, et pourtant la mycorhize pourrait sauver, améliorer nos cultures dans un avenir assez proche !

Frank avait remarqué que la terre de jardin faisait mieux pousser les plantes en pot que de la terre stérilisée, pourquoi ? eh bien parce que dans une terre normale, certains champignons qui y vivent s'associent aux plantes pour leur proposer leur service, la plante faisant de même  pour le champignon, c'est du "donnant-donnant".

La mycorhyse c'est la symbiose entre la plante et le champignon.

Le mycélium du champignon capture les sels minéraux et l'eau et les transmet à la plante. Cette dernière n'est pas en reste , elle donne au champignon des produits carbonés issus de la photosynthèse.

Des études s'intéressent en ce moment à la mycorhize, il y a déjà  des applications en agriculture, viticulture, horticulture, la mycorhyse c'est l'avenir pour la planète !

Merci monsieur Wipf pour cet exposé passionnant !

Près de la rivière Ource, quelques stands d'associations étaient présents :

Les Amis d'Aignay le Duc et alentours :

La truffe de Bourgogne :

L'Association des Riverains et Propriétaires d'Ouvrages Hydrauliques du Châtillonnais (ARPOHC) :

La Société Mycologique du Châtillonnais :

L'Office de Tourisme du Pays Châtillonnais :

Un "Forum des associations" en partenariat avec " la Fabrique du Millénaire" a été animé par Philippe Bertrand, en présence d'Estelle Jeannin  du "Mouvement associatif Bourgogne-Franche-Comté" .

Estelle Jeannin a proposé l'aide  du "Mouvement associatif"  pour que les associations puissent bénéficier de conseils afin d' obtenir  des outils d'accompagnement, et même des subventions.

Site à consulter : https://www.lmabfc.org/

Ce forum a permis à chacune des associations présentes de s’exprimer sur son ressenti sur le territoire, son expérience, ses combats, sa vision ses craintes et ses espoirs avec le Parc national de forêts en toile de fond. *

 Daniel Guillemin pour "Art, Patrimoine, Culture" d'Arc en Barrois a regretté que l'on ne sache pas  en Haute Marne ce qui se passe en Côte d'Or et Vice-Versa, le Parc se situe sur deux départements, il faut coopérer !

Dominique Masson pour l'association "La Voix de la Princesse" recherche des conseils, des subventions pour sa toute jeune association  qui propose des animations, des sorties découvertes sur le site de Vix :

 La représentante de l'association "CC3F", l'Esperluette de Châteauvillain nous a expliqué que son association était spécialisée dans une bibliothèque itinérante et des ateliers de parentalité.

Régis Gatteaut, pour l'Office du Tourisme du Pays Châtillonnais, nous a présenté la plaquette que l'OTPC édite, avec toutes les manifestations en Châtillonnais et aussi quelquefois celles de Haute Marne. :

Christian Jacquemin de l'association ARPOHC  nous a précisé qu'au début son association ne s'intéressait qu'aux moulins, mais elle s'est élargie à tout ce qui a trait à l'eau et travaille à présent avec des députés européens :

Daniel Bourgeois de l'Association "Villages Anciens, Villages d'Avenir" a indiqué les stages que son association propose, stages qui n'attirent pas assez, alors qu'ils sont utiles aux rénovations des bâtiments anciens.:

Christine Dupaty de la "Truffe de Bourgogne" voudrait mettre en relation les propriétaires agricoles et l'association, pour inciter à des plantations de truffières , la truffe est une culture d'avenir , on en récolte trop peu...

Luc Lefray de la Société Mycologique du Châtillonnais préside une association vivante, qui s'intéresse aux champignons, mais aussi à la flore, et qui a milité pour la remise en eau des étangs des Marots. La société Mycologique édite des fascicules sur la forêt, les champignons etc...:

Fabienne Bécot-Ansault de l'association "oui au Parc" devenue "Avec le Parc" ne sait pas si son association va perdurer, puisque le Parc  est créé, mais elle peut devenir une aide pour ce Parc National. Sa page Facebook "avec le Parc" est à consulter :

Chantal Gyulay de l'association " Les Amis d'Aignay le Duc et Alentours" préside une association  de 200 adhérents qui propose beaucoup d'activités : concerts, expositions, sorties, conférences. En cette année 2023,elles sont très nombreuses, sur le thème du Feu.

*Je voudrais préciser que d'autres associations existent dans notre Châtillonnais qui est très riche en mouvements associatifs : ce sont  la Société Archéologique et historique du Châtillonnais, les Amis du Châtillonnais, les Amis du Musée, Orgues, Musiques et Voix, l'Association Culturelle du Châtillonnais, la Vallée de Beltaine, le CinéClub Châtillon 2000, l'Aéro-Club, plusieurs associations sportives...(J'en oublie certainement, dites  moi leur nom en commentaire je les ajouterai à la liste.)

 Le lancement de la soirée a été donné par Thierry Quennesson,  Président de la Maison de la Forêt, avec une rétrospective de l’association, de sa naissance à aujourd’hui et ses projets à venir.

La projection de pages de journaux a illustré son discours.

Jérémie Brigand, Président de la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais a félicité la Maison  de la Forêt, son Président, ses animateurs pour l'excellent travail qu'ils accomplissent.

Les animateurs Sylvain Boulangeot, Luc Vernevaut et le Président Thierry Quennesson ont été applaudis pour leur travail.

Toute l'histoire de la Maison de la Forêt a pris place sur cette banderole (Photo à cliquer)

Un verre de l’amitié a été offert par l’association  aux visiteurs,  suivi d'un moment de convivialité apprécié de tous.

 Ensuite ont eu lieu deux concerts sur place avec deux groupes locaux.

" Le 7ème gnome "

et  beaucoup plus tard  "The Twenty-One New Old Stock "

Toute l'après-midi, et la soirée,  les visiteurs ont eu  la possibilité de se restaurer sur place avec grillades, sandwichs, frites, boissons.

L' anniversaire de la Maison de la Forêt a été une après-midi, et une soirée, joyeuse, instructive , un vrai bonheur de se trouver en toute convivialité avec ceux qui font vivre le Châtillonnais de si belle façon !

Alors aux organisateurs  et à dans dix ans pour les quarante ans de la Maison de la Forêt !

"La Vallée de Beltaine"  est une association dont l’objectif est de contribuer, par son action, au développement culturel du Pays Châtillonnais et à la promotion du patrimoine local en organisant des événements tels que des spectacles, fêtes, festivals et manifestations culturelles.

Le premier événement culturel et festif  que cette jeune association  a proposé, a été le superbe concert d'un artiste hors du commun, Luc Arbogast

 Luc Arbogast à la cornemuse, et son complice Ludovic Fleuret au tambour, ont traversé la nef de l'église Saint-Pierre sous les applaudissements nourris des centaines de spectateurs présents (121 exactement)

Luc Arbogast :

 Ludovic Fleuret :

Après s'être présenté (alsacien...né à la Rochelle !), Luc Arbogast nous a dit son amour pour le Patrimoine qu'il fait connaître grâce un "Voyage dans le Temps", où il interprète des chansons médiévales, ou des compositions qui s'inspirent des racines profondes de l'Histoire.

Luc Arbogast, pour rendre son spectacle vivant, n'hésite pas à descendre  vers le public en chantant, accompagné de son bouzouki irlandais.

Il a fait chanter les auditeurs, et les a même fait danser !

Il interprète de merveilleux textes comme "Cancion séferadi" avec sa voix exceptionnelle de contre ténor, mais aussi des chansons médiévales en ancien occitan, en ancien français ou encore en allemand médiéval.

J'ai même appris que dans d'autres concerts il interprétait des compositions d'Hildegarde Von Bingen, cette religieuse qui correspondait avec notre saint Bernard !

Luc Arbogast  interprète aussi d'autres chansons plus modernes comme "les Filles de Lorient", "Maître à bord"...

et même "La Tendresse", merveilleuse chanson souvenir qu'interprétait Bourvil... qu'il a fait chanter par le public.

Luc Arbogast, ménestrel des temps modernes, a enthousiasmé les auditeurs, qu'il a emmenés  à travers la tradition et la transmission , vers ce qui nous précède et vers ce qui nous suit....

Pour ce concert accompagné par la batterie de Ludovic Fleuret,  d'autres instruments ont aussi été utilisés comme ce soufflet  manipulé par une jeune femme du public (qui travaille au Musée a-t-il dit)...

 une flûte marocaine...

un synthétiseur...

un petit tambour...

Babette Lamelin, Présidente de la Vallée de Beltaine, a chanté avec Luc Arbogast...

Dans l'après-midi, avant le concert, Luc Arbogast a visité le Musée du Pays Châtillonnais, et nous a dit  avoir été surpris par la beauté du patrimoine qu'il contenait, surtout de la présence des souvenirs de la "Dame de Vix".

son petit reportage sur FaceBook :

 https://www.facebook.com/lucarbogastofficiel

Et savez-vous ce qu'il a fait avant le concert ? il a composé une chanson en l'honneur de la Princesse de Vix et l'a interprétée le soir même dans l'église Saint-Pierre, pour la plus grande joie du public !

Des tonnerres d'applaudissements ont salué cet artiste exceptionnel, que j'avoue je ne connaissais pas, mais qui m'a emballée  littéralement...

Les spectateurs ont tellement applaudi Luc Arbogast et Ludovic Fleuret , que tous deux ont chanté, et accompagné, une dernière chanson pour le plus grand plaisir de tous.

à la "Vallée de Beltaine" pour ce premier événement  qui a fait la joie des Châtillonnais.

J'espère qu'il y en aura beaucoup d'autres qui valoriseront notre patrimoine.

"La Vallée de Beltaine" est une association créée en mars 2023

 Sa Présidente est Babette Lamelin,

sa Vice-Présidente Joëlle Payot,

sa secrétaire Marie-France Fauquette

et sa trésorière Françoise Ibanez.

 Au cours du voyage à Sens, proposé par les Amis du Musée du Pays Châtillonnais à ses adhérents, nous avons visité la cathédrale Saint-Etienne en compagnie de Bernard Brousse, Historien :

 http://www.christaldesaintmarc.com/la-cathedrale-saint-etienne-de-sens-a52243795

 Puis le trésor de la cathédrale :

 http://www.christaldesaintmarc.com/les-vitraux-et-le-tresor-de-la-cathedrale-saint-etienne-de-sens-a52476028

Ensuite le musée Archéologique de Sens

http://www.christaldesaintmarc.com/la-partie-archeologique-du-musee-de-la-ville-de-sens-a91762795

 Et enfin la salle consacrée aux souvenirs Napoléoniens :

http://www.christaldesaintmarc.com/le-souvenir-de-napoleon-1er-empereur-des-francais-est-bien-present-au--a214242343

Pour terminer cette visite inoubliable, nous avons parcouru  les salles destinées à mettre en valeur des peintures et des sculptures.

Madame Françoise Schmitt, fondatrice et Présidente de l'association ADERAMUS (Association pour le DEveloppement et le RAyonnement des MUsées de  Sens) a accueilli, accompagnée de nombreux membres  bénévoles de son association, les Amis du Musée de Châtillon sur Seine, avec beaucoup de chaleur et de courtoisie.

 Les visiteurs ont pu se restaurer avant les visites des Musées avec des gâteaux , croissants, boissons chaudes et froides, offertes généreusement par les membres de l'Association ADERASMUS de Sens.

Françoise Schmitt nous a entraînés dans la superbe salle de l'ancien Archevêché de Sens, qui abrite le Musée d'Art de la Ville.

Aux fenêtres, on admire encore les armes de l'ancien Archevêché !

Madame Schmitt nous présente un tableau de jeunesse de Jacques Louis David, que ce dernier réalisa en 1771, alors qu'il avait une vingtaine d'années.

Beaucoup plus tard il réalisera entre autres le sacre de Napoléon Ier.

Ce tableau s'intitule "Jupiter et Antiope".

Ce qui renforce l'originalité de cette œuvre de jeunesse de David, c'est la présence, au dos de la toile, d'une esquisse de jeune femme, une suivante portant un plateau de poissons.

Monsieur Dejean nous présente ensuite une toile de Stanislas Edouard Lepine.

Ce peintre a travaillé plusieurs années dans l'atelier de Jean-Baptiste Corot, elle s'intitule "Le pont de Villeneuve-la-Garenne".

Un immense tableau occupe tout un mur du Musée....

Mika nous apprend que cette immense toile est l'œuvre de Louis Watteau, dit de Lille.

Louis Watteau était le neveu d'Antoine Watteau.

Son tableau s'intitule : "La visite à la ferme" (1792), il représente une châtelaine et sa suite rendant visite à une famille de fermiers.

En montant les escaliers du Musée nous avons remarqué une grande peinture biblique :

Monsieur Cabane nous la présente : cette peinture qui représente les Noces de Cana, a été peinte par François Lemoyne (1688-1737).

Cette toile fut commandée à Lemoyne par les Cordeliers d'Amiens, en compagnie de 8 autres scènes bibliques , destinées à décorer le réfectoire de leur couvent.

Une partie "sculptures et céramiques" du Musée de Sens nous a été présentée par monsieur Dodet.

Il nous fait admirer cette statue de Rodin, le fameux "L'Âge d'airain" qui fit scandale à l'époque, et pourtant quelle beauté !

Le Musée de Sens possède également quelques œuvres du célèbre céramiste Jean Mayodon qui travailla à Sèvres.

En parcourant le Musée de Sens, on peut aussi voir cette représentation de Christophe Colomb par Bartholdi (qui créa "la Liberté éclairant le monde" de New-York).

et cette statue d'Anatole Guillot, dont le modèle doré surmonte  la façade de l'Hôtel de Ville de Sens, il s'agit sans doute du fameux Brennus  dont nous a parlé l'historien Bernard Brousse...

Le château de Bussy-Rabutin présente jusqu'au 24 septembre une magnifique exposition extrêmement originale, alliant la création artistique de l'atelier George de Mont-Saint-Jean en Côte d'Or, et la sublimation des plantes locales qui existent dans le jardin du château.

Cette exposition  s'intitule "Ruissellements".

C'est une œuvre en verre constituée de trois installations réalisées par Eve George et Laurent Fichot, de l'atelier George .

L'exposition nous a été présentée par François-Xavier Verger, Administrateur du château de Bussy Rabutin, accompagné par Anne-Isabelle Vignaud, Cheffe du département des manifestations culturelles au Centre des Monuments Nationaux et  d'Eric Fanzy, Conseiller en Arts Plastiques à la D.R.A.C. de Côte d'Or.

Anne-Isabelle Vignaud a dit son plaisir de faire découvrir au public "Ruissellements", une exposition tellement originale .

Le projet de l'atelier George a été retenu par le Ministère de la Culture pour son programme de soutien à la Création artistique intitulé "Mondes Nouveaux"

Le but de "Mondes Nouveaux" est de sélectionner des œuvres de grande valeur artistique, mais  qui ne pourraient peut-être pas être connues  du grand public faute de sponsors, et de les présenter dans les monuments Nationaux  comme le merveilleux château de Bussy Rabutin.

Eve George a pris ensuite la parole pour présenter l'atelier qu'elle anime avec Laurent Fichot, à Mont Saint Jean.

Eve George est designer, Laurent Fichot souffleur de verre. Tous deux ont synthétisé leur complémentarité en hybridant un atelier de verre soufflé et un studio de design.

Eve et Laurent ont débuté un travail de recherche autour de l'empreinte végétale en figeant dans des objets de haute facture,  soufflés en verre, des fleurs et des feuilles ramassées près de chez eux, puis ensuite dans le jardin du château de Bussy Rabutin, labellisé "remarquable".

En effet, tous deux ont découvert que le Comte de Sarcus, celui qui a sauvé et restauré le château, était un naturophile  de grande valeur   qui confectionnait un herbier.

Près du bassin du jardin, Eve George a montré le lieu où pousse un Ginko Biloba , appelé couramment "l'arbre aux quarante écus". 

En automne ses feuilles ont été récoltées  et leurs empreintes ont été obtenues par coulée de verre en fusion, directement sur le végétal.

Ces écus de verre dorés à l'or fin sont visibles dans la pièce d'au....

Ils sont présentés au sommet de  tubes de verre posés sur le fond du bassin....

L'eau affleure le sommet du tube et ainsi on a l'impression que ces "écus d'or" flottent à la surface...c'est magique.

Cette partie de l'exposition se nomme Sublimation...

Eve nous conduit ensuite près du bassin du jardin, près duquel poussent  de nombreuses espèces végétales  que l'atelier George a aussi utilisées dans une autre partie de sa création.

De retour au château...

Eve nous entraîne....

près de l'escalier voisin de la salle des Illustres.

Sur l'escalier sont disposés des empreintes de feuilles de hêtre, de frêne et de charme,  récoltées elles aussi dans le parc du château, obtenues par coulée de verre en fusion directement sur le végétal.

Cette seconde partie de l'exposition se nomme "Précipitation"

Nous traversons ensuite le premier étage de  l'aile Sarcus, ses salons, ses chambres  superbement restaurés, et nous arrivons dans la tour  qui se nomme maintenant la Tour Sarcus et c'est un éblouissement !

Des feuilles de lierre, récoltées près du réservoir qui collecte les eaux des sources du vallon, ont été elles aussi obtenues par coulée de verre en fusion, directement sur le végétal.

L'originalité de cette présentation est qu'elle est éclairée par derrière, les blocs de verre  dévalant de l'âtre  comme une cascade brûlante, c'est superbe !

L'idée première d'Eve et de Laurent était de l'installer sur les arêtes  de la voûte de la tour, mais le poids était trop important et aurait menacé le bâtiment.

Cette partie de l'exposition se nomme "Evaporation"

Les personnes présentes ont spontanément applaudi les artistes Eve George et Laurent Fichot, pour leurs créations tellement belles et originales !

Qui savait qu'en Haute Côte d'Or existait l'atelier George, un atelier de création artistique exceptionnel ?

Alors merci à ceux qui nous l'ont fait découvrir : Anne-Isabelle Vignaud, Eric Fanzy et François-Xavier Verger.

Vous pourrez admirer les créations de l'atelier George au château de Bussy Rabutin jusqu'au 24 septembre, ne vous en privez pas !