Publié le 30 Septembre 2020
Publié le 30 Septembre 2020
Les Faiseurs d’Or est une fabuleuse histoire d’amour entre Estelle et Jaume, le berger à la langue perdue. C’est un seul et même conte, inspiré par cinq contes de tradition orale et un travail de collectage effectué sur le territoire de la Provence. Ce sont deux artistes sur scène, une conteuse et un musicien. Onze personnages bien campés. Des chants traditionnels recréés et des créations musicales originales . Des pas de danse et des clins d’œil clownesques. Une complicité joyeuse entre Florence et Éric et une relation directe avec le public.
Vendredi 2 octobre à 20 h |
Inscrivez vous vite, il reste quelques places libres !
Publié le 29 Septembre 2020
Monsieur Sébastien Bécourt, Principal du Collège Fontaine des Ducs à Châtillon sur Seine me communique :
Ce vendredi 25 septembre 2020, les élèves de 6 ème du Collège Fontaine Des Ducs ont vécu des Olympiades dans le cadre de la semaine du sport scolaire.
Après que le foyer du collège ait offert à chaque participant un bandana noir au nom du Collège Fontaine des Ducs, les classes-équipes ont participé à divers ateliers: Tir à l'arc, Travaux d'Hercules, Relais Flambeau, Athlétisme, Quiz sur l'Olympisme et réalisation d'un fanion pour représenter l'équipe.
Tout au long de la journée, les élèves se sont affrontés au travers de ces épreuves.
L’événement s'est conclu par l'annonce du palmarès de ces Olympiades devant des élèves enthousiasmés par cette belle journée qui a véhiculé les valeurs du sport en dépit de la météo automnale.
Publié le 27 Septembre 2020
Robert raconte la légende de sa naissance au public présent, chapitre par chapitre.
Légende, car, au fil de sa vie, il a réécrit ses origines...
Son père étant parfois inconnu, parfois mort, parfois un proche de la famille, il se l'est finalement inventé....
Depuis tout petit, Robert n’a donc pas de père.
Il l’a bien vécu, car sa mère était très aimante.
Et puis il est entré dans un groupe de gars bien branchés: Goldorak, Albator, Luke Skywalker...entre autres !
Mais quelle version pouvons nous croire ? pouvons nous faire confiance à Robert ?
A-t-il hérité de sa famille le sens de la fable, l’art de mener les autres en bateau...on le dirait bien !
Mais le copain DJ qui l’accompagne, et qui diffuse sans cesse des disques de variété française, semble mieux connaitre les événements que lui.
Ce personnage a une théorie bien à lui.
Dans la lignée des grands héros occidentaux sans père, il s’est trouvé des pères de substitution.
Il y eut bien sûr des membres masculins de la famille, des profs, des supérieurs, mais aussi Barbapapa et surtout, surtout.... des chanteurs de variété française.
D’autant plus, que pendant plusieurs années, il a cru être le fils d’un chanteur finissant accumulant les tournées de province.
De ce fait il a fait des études musicales...
Quand on a été élevé à travers les chansons de Michel Sardou, Jean-Jacques Goldman, Joe Dassin, Daniel Balavoine, ou Claude François, n’est-on pas le pur produit d’une époque, le fils d’une pop-culture, d’une génération ?
D'ailleurs les deux compères ont su parfaitement imiter les Clodettes !
La mère de Robert pourra enfin le rassurer sur son géniteur....
Finalement réconciliés, mère et fils seront encore plus unis...
Beaucoup d'applaudissements ont salué les fougueux acteurs-chanteurs d'une évocation bien tendre (et souvent désopilante) de situations hélas bien actuelles...une vie sans savoir qui est son père c'est souvent difficile à vivre...
Mise en scène et écriture : Robert Sandoz
Collaboration à l’écriture : Adrien Gygax
Avec : Adrien Gygax, Robert Sandoz et avec la participation d’Yvette Théraulaz
Une vidéo du spectacle :
Publié le 26 Septembre 2020
Chers adhérents et amis,
Pour tenir compte des mesures de précaution connues au 25 septembre 2020 et qui restent susceptibles d’évoluer, nous naviguerons à vue pour les conférences des mois d’octobre et de novembre 2020.
À cette heure, nous pouvons annoncer que le cycle de conférences est maintenu et dédoublé, c’est-à-dire que toutes les conférences prévues en octobre et novembre : les lundis 5 octobre, 19 octobre, 23 novembre, 30 novembre, à 14h30 à la salle des conférences de la Mairie de Châtillon seront limitées à 30 personnes, et redonnées le même jour, même lieu, à 16h30.
Nota bene : les affiches, déjà imprimées, ne mentionnent que la première heure.
Grâce à l’exceptionnel engagement de nos Conférenciers, c’est donc avec optimisme et détermination que nous continuerons notre activité !
Les réservations seront notées à réception du courriel que vous nous enverrez sur accutb@yahoo.fr, en précisant la date de la conférence, l’heure choisie (14h30 ou 16h30) et le nombre de places demandées. À titre exceptionnel, vous pourrez aussi téléphoner au numéro 06 71 84 80 86.
Par obligation, la clôture des inscriptions se fera sans préavis...
L’entrée dans la salle des conférences s’effectuera comme d’habitude, par le perron de la Mairie rue du Président Carnot et la sortie se fera par l’avant de la salle des conférences.
Le placement restera libre, mais en respectant l’écart viral, c’est-à-dire en laissant une chaise vide entre auditeurs qui ne se fréquentent pas quotidiennement.
Les prix d’entrée restent inchangés pour la 16e année consécutive.
Le pointage des auditeurs à l’accueil est indispensable. Il permettra, éventuellement, de rembourser les abonnements en fin d’année 2020–2021, au prorata des conférences éventuellement annulées par mesure administrative qui s’imposerait à nous.
La bonne gestion financière de l’Association Culturelle Châtillonnaise lui permet d’assumer seule le surcoût généré par ces contraintes nouvelles, pour l’année 2020- 2021.
La Présidente remercie les fidèles adhérents, le conseil d’administration et les bénévoles de l’Association Culturelle Châtillonnaise, la Mairie de Châtillon sur Seine et les Conférenciers qui ont tous accepté immédiatement de doubler leur prestation.
Elle souhaite vivement qu’un éventuel confinement de l’Agglomération Dijonnaise ne soit pas imposé au CHATILLONNAIS distant de 80 km !
Bien cordialement.
Jacqueline SIMON
Publié le 26 Septembre 2020
Pierre Pothérat me transmet une étude très intéressante sur l'état de la Seine en aval de Châtillon sur Seine, puisse ce texte faire comprendre aux instances dirigeantes, l'état catastrophique de nos rivières.
L’assèchement de la petite Seine à Pothières
Dans la deuxième quinzaine d’aout 2020, la petite Seine qui passe à Pothières et rejoint la Seine à l’Enfourchure de Charrey a été asséchée (fig.1).
Je n’avais jamais vu un tel phénomène et de mémoire d’habitants rien de tel ne s’était jusqu’alors produit, ni n’avait été relaté dans les annales régionales.
Les précipitations à Chatillon, bien que très faibles en juillet/août (40 mm cumulés relevés à Thoires), ont été largement excédentaires lors du premier semestre 2020 : 523 mm à Chatillon.
Mieux encore, si nous ajoutons à ces chiffres les précipitations de l’automne 2019 (433 mm) nous obtenons 956 mm en neuf mois soit largement plus que la moyenne annuelle.
A titre de comparaison, lors de la sécheresse de 1976, il n’était tombé que 150 mm de pluie lors des six premiers mois et pourtant les pêcheurs ont continué de fréquenter la petite Seine pendant l’été.
En raison de l’écoulement de la Seine sur les marnes imperméables de l’Oxfordien moyen à partir d’une ligne Etrochey/Courcelles, il ne s’agit probablement pas d’un manque d’eau dû à la sécheresse qui sévit depuis deux mois car les eaux de l’aquifère karstique en charge sous les marnes fournissent des apports à la rivière.
Une vérification de terrain et une enquête ont donc été effectuées.
Nous avons vu précédemment que le cours de la Seine a subi des modifications importantes après la révolution.
Modifications révélées par la comparaison des cartes de Cassini (feuille de Dijon datant de 1758) et de l’État-major, publiée vers le milieu du XIXème siècle (fig. 2, 3 et 4)
La figure 3 est sans équivoque : la Seine passait à Pothières au XVIIIème siècle et le ru de Courcelles la rejoignait peu avant le moulin de Charrey.
La figure 4 montre en revanche que le raccordement de la Seine au ru de Courcelles existait au moment de la publication de la carte de l’Etat-major.
Les travaux, effectués entre la publication de ces deux cartes, ont consisté en la création d’un bras de raccordement de la Seine en direction du ru de Courcelles.
Le but de ces travaux a été vraisemblablement d’augmenter le débit du ru de Courcelles juste à l’amont du moulin de Villers-Patras (le moulin Cholet) afin d’accroître la puissance de ce dernier.
Au début du XIXème siècle, la Seine à Pothières est donc devenue la petite Seine qui emprunte l’ancien bief d’accès au moulin de Pothières, contourne ce moulin au droit du vieux pont de Pothières et rejoint la Seine une centaine de mètres plus loin (fig. 5).
Il s’agit donc du tracé primitif et historique du fleuve qui rejoint l’autre bras de Seine quelques 3 km plus bas, à l’approche de Charrey.
Un seuil équipé de deux vannages permettait de répartir de façon probablement équitable l’eau en direction du moulin Cholet et du moulin de Pothières.
Cet état de fait a perduré pendant deux cent ans à la satisfaction générale jusqu’ à ce que, le vannage étant fortement dégradé aujourd’hui, une brèche se produise dans le seuil, laissant passer toute l’eau dans le cours principal de la Seine (fig. 6) .
Une rapide enquête réalisée auprès de la population m’a informé que devant ce problème une tentative de colmatage de la brèche, avant travaux de réfection du seuil, a été effectuée par le propriétaire du moulin de Pothières en posant des blocs béton (fig. 7).
Cette tentative aurait été stoppée par des agents de l’EPAGE Sequana qui a proposé des travaux de reconstruction ainsi que la création d’une passe à poissons pour une somme astronomique à la charge de la commune.
Signalons que cet aménagement très ancien est situé à cheval sur les communes de Pothières et de Vix.
Est-ce aux communes ou aux propriétaires actuels de financer ces travaux pour un ouvrage vieux de 200 ans ?
L’état ne doit-il pas garantir la circulation de l’eau simultanément dans les deux bras de Seine ?
Quoiqu’il en soit la petite Seine, haut lieu de la pêche à la truite dans la région, qui possédait de belles frayères encore fréquentées, a été asséchée, provoquant une catastrophe écologique sans précèdent dans ce secteur, sans que les services de l’état proposent une solution provisoire.
Tous les organismes vivants, notamment de nombreuses truitelles, ont péri sur un linéaire de 3 km au nom du débit minimum réservé et de la continuité écologique, sensée, parait-il, faire revenir les poissons dans nos rivières.
Cet épisode, qui s’ajoute à bien d’autres, notamment celui de l’Ource quasiment à sec de Brion à Voulaines et bientôt Recey rend compte que pour l’instant nous ne pouvons faire qu’un constat très négatif de la politique de gestion de l’eau dans notre région, politique qu’il faudra bien un jour reconsidérer sous peine d’avoir à très court terme, quatre à cinq mois de l’année, des oueds à la place de nos rivières et, malgré de belles passes à poissons, plus de poissons du tout.
Les études et observations effectuées depuis une dizaine d’années montrent en effet que, en dépit d’un taux annuel de précipitations globalement excédentaire, la recharge des nappes alluviales, déjà très problématique à la fin du siècle dernier, ne se fait plus à l’heure actuelle.
Ce phénomène impacte directement la recharge de la nappe du jurassique moyen en amont de Chatillon et Brion, dans les secteurs ou les nappes communiquent entre elles et interagissent.
En cause les grands curages et travaux des années 1960 puis, plus récemment, l’effacement de nombre de seuils et vannages ayant induit une augmentation du débit des cours d’eau lors des périodes pluvieuses, favorisant ainsi le soutirage et l’abaissement du niveau des nappes phréatiques.
Thoires, le 10 septembre 2020
(Pierre Potherat Ingénieur en Chef des Travaux Publics de l'Etat, retraité)
Publié le 26 Septembre 2020
Lors de la soirée d'ouverture de la saison 2020-2021 du Théâtre Gaston Bernard, l'orchestre de la Compagnie des Gens, "The Babardackni Occidental Orchestra", plus simplement appelé "The BOO", a enthousiasmé le public par sa pétulance, sa gaieté , son professionnalisme...
Les présentations des spectacles par la Directrice du TGB étaient entrecoupées par des prestations superbes de musiques, de chansons et d'évolutions, un vrai bonheur !
"Les Sisters" ont ouvert le concert de The BOO par un boogie-Woogie endiablé !
Les musiciens :
Patrick Pompon et Jacques Senelet
Julien Thierry
Jérôme Roubeau
Benoît Jayot
Vincent Marziali
Les Blue-Brothers sur la scène du TGB !
Brigitte Bardot, Bardot
Brigitte Bardot, bravo !
Ludovic Mathiot a endossé le costume de Dario Moréno pour "Brigitte Bardot", mais aussi celui de Jacques Dutronc en interprétant "Les Cactus" !
"Dans la vie, il y a qu'des cactus
Moi je me pique de le savoir…"
Benoît Jayot dans une chanson pop-rock de "Prince"
"Les Sisters" ont enfourché leur moto...
"Je n'ai besoin de personne
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personne
En Harley Davidson "....
Marie-Laure Tridon
Emma Clément
Elisabeth Hoornaert
Beaucoup d'applaudissement pour The Babardackni Orchestra qui a véritablement enflammé le Théâtre Gaston Bernard...
Des soirées pareilles on en redemande ! pourquoi pas un grand concert pour toute une soirée ?, ce serait génial !
Publié le 26 Septembre 2020
Hubert Brigand, Maire de Châtillon sur Seine, a lancé, avec son adjoint à la Culture François Gaillard, la nouvelle saison 2020-2021 du Théâtre municipal Gaston Bernard de Châtillon sur Seine .
Hubert Brigand a rappelé que le nombre des abonnements avait atteint en 2019-2020 un résultat jamais égalé auparavant : 525 abonnés.
Tous les publics sont concernés et le programme touche toutes les générations. Il espère que le public sera toujours fidèle durant la saison nouvelle, les mesures sanitaires seront strictes, il n'y a aucun risque à venir au théâtre durant cette nouvelle saison, les spectacles seront parfois doublés.
La programmation du TGB draine aussi un public venu des départements limitrophes : Aube, Haute Marne, Yonne...certains spectateurs viennent même de Dijon , c'est dire combien le programme est attractif par son contenu, par ses tarifs, et est ainsi destiné au plus grand nombre.
Monsieur le Maire a tenu également à remercier le personnel du théâtre pour son travail et tous les sponsors pour leur soutien.
François Gaillard a encouragé les spectateurs à se procurer l'album récapitulatif des spectacles, à s'abonner, et il nous a régalés d'un charmant poème automnal....
La Directrice du TGB, Catherine Miraton est apparue devant la belle première page du catalogue, projetée sur le fond de scène, ornée cette année d'une mésange très colorée.
Les oiseaux, qui, à l'instar des artistes confinés, ont continué de faire entrer couleurs et poésie dans nos vies, l'ont consolée de tous les rendez-vous manqués.
Ce sont ces oiseaux qui lui ont inspiré cette nouvelle saison plurielle nourrie d'espoirs, de talents, de rêves et d'humanité, c'est pourquoi elle a tenu à ce que cette superbe mésange colorée figure sur la première page du livret.
Au moment où Catherine Miraton allait commencer, à l'aide de projections, de détailler le programme 2020-2021 du TGB, un trublion l'a apostrophée depuis la salle....puis il est monté sur scène....
Qui était donc ce personnage , masqué comme il se doit ?
Eh bien, c'était Jacques Senelet, le metteur en scène, écrivain, comédien, musicien, chanteur ...de notre troupe Châtillonnaise "La Compagnie des Gens" !
Jacques Senelet est venu présenter la pièce de théâtre que la Compagnie des Gens va interpréter cette saison au TGB.
Cette pièce s'intitule "Six heures au plus tard", elle a été écrite par Marc Perrier et jouée il y a longtemps à Paris par Jacques Piéplu qui était un ami de Jacques Senelet.
On les voit d'ailleurs tous les deux sur cette photo :
Cette pièce superbe contant la rencontre de deux hommes que tout oppose, sera mise en scène par Jacques Senelet et interprétée par deux comédiens : Patrick Pompon et Benoit Jayot.
Catherine Miraton, après cette joyeuse présentation, nous permit de connaître le programme du TGB pour l'année 2020-2021, par des projections, parfois accompagnées de quelques extraits de vidéos.
Le Théâtre
"Mon père est une chanson de variétés" (Compagnie l'outil de la ressemblance)
le vendredi 9 octobre 2020 à 20 heures.
"Les Facheux" de Molière
le vendredi 6 novembre à 14h et à 20h :
"Que tout s'enflamme, nous attendrons" (compagnie Idem Collectif)
le jeudi 26 novembre 2020 à 20 heures :
"Les caprices de Marianne"d'Alfred de Musset (A2R Compagnie)
le mercredi 24 février à 20h heures, et le jeudi 25 février à 14 heures.
"George et Sarah" avec Marie-Christine Barrault
le jeudi 8 avril 2021 à 20 heures :
"Fracasse"(Compagnie des Ô)
le mardi 18 mai 2021 à 15heures et à 18h30
Théâtre musical et Humour
"La claque" de et avec Fred Radix
mardi 9 mars 2021 à 20h30 :
Humour
"Vous couperez, la Bajon"
le vendredi 11 décembre 2020 à 20 heures :
"La Sextape de Darwin", texte et mise en scène de Brigitte Mounier
le vendredi 29 janvier 2021, à 20 heures
Musique et concerts
"Toi tu te tais", de et avec Narcisse
vendredi 16 octobre 2020 à 20 heures
"Parenthèse 2" Yves Jamait
les mardi 17 et mercredi 18 novembre 2020 à 20h.
(Une liste d'attente sera proposée, Yves Jamait pourra peut-être revenir une troisième fois .)
"Escale en Argentine", Migoya Dos"
le mercredi 3 mars 2021 à 18h30, et le mercredi 28 avril 2021 à 18h30
"Clara, une passion romantique (Le Stagioni)
vendredi 26 mars 2021 à 20 heures
"Une nuit à l'Opéra"(Orchestre Dijon Bourgogne)
le vendredi 7 mai 2021 à 20heures
Danse
"Mètre carré" (Compagnie Alfred Alerte)
jeudi 4 février 2021 à 14 heures et à 20 heures.
"Répliques"(Compagnie Le grand jeté !)
le jeudi 3 juin 2021 à 15 heures et à 19 heures
Arts du cirque
"Parbleu !" (Atelier Lefeuvre et André)
mardi 16 mars 2021 à 14 heures et à 20 heures.
Jeunesse
Une résidence à venir :
La compagnie Amaranta, déjà applaudie dans "La vieille qui lançait des couteaux", reviendra en résidence salle Kiki de Montparnasse.
Entre les grandes catégories théâtrales présentées par Catherine Miraton, le Babardackni orchestra (the BOO) de la Compagnie des gens a enflammé le TGB (des photos dans le prochain article).
Et de joyeux intermèdes, par les comédiens de la Compagnie des Gens, ont bien fait rire le public !
Cette présentation du programme 2020-2021 du Théâtre Gaston Bernard fut magnifique avec une animation hors-pair, le temps a passé beaucoup trop vite au goût des spectateurs ravis !
A noter la parfaite organisation du TGB : des hôtesses ont placé les spectateurs masqués ( qui avaient désinfecté leurs mains au gel hydroalcoolique à l'entrée du théâtre), selon les règles sanitaires en vigueur.
Les sorties ont été réalisées avec un protocole rigoureux, par groupes espacés et par des issues différentes.
Le TGB ne sera ouvert qu'à une demi jauge pour chaque spectacle, il faudra donc très vite réserver ses places.
Vous pouvez donc venir assister à tous les spectacles en toute tranquillité et sûreté, le programme est superbe, ne vous en privez surtout pas, les distractions sont si rares en ces temps difficiles !
Publié le 22 Septembre 2020
Publié le 22 Septembre 2020
Sylvain Beuchot nous conte l'histoire de la Vierge au Rocher de Prusly sur Ource :
LA STATUE DE NOTRE DAME DE LOURDES AU ROCHER
Au sud du village, à l’orée de la forêt, on découvre sur les hauteurs une Vierge en bronze sur un rocher artificiel fait de pierres de rocaille.
Cette statue fut édifiée en 1899 à l’initiative et aux frais de Révérende Mère Marie Isaïe Mathieu, supérieure générale du couvent de la Providence de Vitteaux.
Cette statue de l’Immaculée Conception fut dédiée à Notre-Dame de Lourdes.
De nombreux ex-voto sont apposés sur le socle fait de pierres percées.
Placée sur les hauteurs du village, elle était censée veiller sur les populations de Prusly sur Ource et ses environs.
Le terrain appartenait à une fille Mathieu, épouse de Jean-Baptiste Matrat.
En 1954, sur la demande de monsieur Matrat Marcel, cet emplacement a été maintenu dans les propriétés. Lors de cette vente, un accord verbal a été donné à madame Girardot pour que l’entretien du site soit assuré par monsieur Matrat Marcel.
Depuis, la famille Matrat, de père en fils, entretient le site.
Dès l’origine de l’édification jusqu’aux années d’après guerre, la Vierge du Rocher était fêtée , tous les 15 août, par une célébration de la messe.
L’évolution de la religiosité dans la société et le recul des vocations chez les prêtres ont provoqué le quasi abandon de cette pratique.
Cependant en 1999, l’idée de fêter le centenaire de cette édification a mobilisé la paroisse de Châtillon sur Seine et ses participants.
Encore aujourd’hui, tous les 14 août, une procession éclairée par des lampions part de l’église à la nuit tombante et rejoint la statue en chantant.
Une vue du village de Prusly sur Ource depuis le rocher de la Vierge...
et de son "écart", le lotissement du Conroy :
(suivant les témoignages d’Annie Fournier et d’Henri Matrat, recueillis par Sylvain Beuchot)