Un village châtillonnais et ses écarts : Essarois
ESSAROIS
1177 Henricus de Esseroy
1186 Esserrei
1187 Esserroi ou Essaroy
1211 Essereium
1288 Essarretum
1296 Essaroi
1301 Esseretum
1315 Essaroy
1345 Esserroy
1371 Essarois
1576 Essarois
1684 Esseroys
(Origine des sources principales consultées et citées par A.Roserot : Chartreuse de Lugny. Archives de la Côte d’Or)
Ce village qui posséda une maison-forte, dépendait, en 1789, de la province de Bourgogne, bailliage de la Montagne.
Son église, sous le vocable de saint Médard, était le siège d’une cure du diocèse de Dijon, du doyenné de Minot, après avoir été de celui de Selongey et, avant 1731, du diocèse de Langres, doyenné de Grancey, à la pleine collation de l’évêque (A.Roserot 1924).
LES ÉCARTS
-La Cour, maison détruite à Essarois (A.Roserot 1924)
1391 La Court (Archives de la Côte d’Or)
-La Forge, ferme, 2km au nord-est, 1 feu, 6 habitants (Insee 1951)
1783 : La Forge (Nouvel état général)
-Le Fourneau, usine, 3km au nord-nord-est.0 feu 0 habitant (Insee 1951)
1783 Le Fourneau (Nouvel état général)
-Logerot, métairie détruite (A.Roserot 1924)
1783 : la métairie Logerot (Nouvel état général)
AUTRES LIEUX
-La Cave, fontaine. Substructions gallo-romaines (A.Roserot 1924)
-Le Calmins, ruisseau qui coule au territoire d’Essarois (Garnier, cité par A.Roserot 1924)