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D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

Publié le par Christaldesaintmarc

Déjà l'an dernier les différentes espèces d'oiseaux s'étaient raréfiées, mais cet hiver 2020-2021, ce fut une catastrophe...

Les visiteurs habituels sont venus bien sûr : les mésanges bleues, charbonnières, nonnettes et à grande queue, les chardonnerets, les merles que j'ai présentés dernièrement, mais en beaucoup moins grandes quantités que d'habitude, et ça c'est très inquiétant....

Hélas, je n'ai pu observer, comme autrefois, des gros-becs, des pinsons du nord, des serins cini, des pics épeiches...

Aujourd'hui, voici les seules autres espèces que j'ai pu observer :

Le rouge-gorge :

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

Le moineau domestique :

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

Le verdier :

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

Le pinson des arbres :

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

La tourterelle à collier :

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

Le pigeon ramier :

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

 La pie :

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

 Et hier j'ai eu le grand plaisir de voir des rouges-queues, revenus de migration, pas encore photographiés, mais ça viendra.

Un couple de mésanges bleues a décidé de nicher dans la petite maison bleue, j'espère que cette année la couvée arrivera à terme.

Que  d'allées et venues pour tapisser le nid de mousse !

D'autres oiseaux sont venus visiter mon jardin cet hiver...

L'an dernier les deux nichoirs que j'avais achetés neufs, n'ont pas trouvé preneur...déception  pour moi, mais  pourquoi, alors que tous les ans j'ai des nichées ?

J'ai eu la clé de l'énigme en décrochant les nichoirs en septembre pour les nettoyer et les mettre à l'abri. (je les remets dans les arbres en janvier pour que les mésanges s'habituent à leur présence)

Et savez vous ce que j'ai trouvé à l'intérieur des deux nichoirs  ???

Un sachet de produit chimique destiné sans doute à ce que le bois ne moisisse pas !! ce genre de sachets que des personnes ont trouvé dans des chaussures et qui leur ont occasionné des brûlures terribles...

Je n'avais pas pensé à soulever le toit pour regarder l'intérieur, erreur gravissime !

Au fond du nichoir, sur le sachet, on voyait qu'un peu de mousse avait été déposé par l'oiseau, un tout début de nid douillet....heureusement il a vite compris que ce sachet était maléfique et il s'est sauvé pour nicher ailleurs....

Alors lorsque vous achèterez un nichoir, regardez bien à l'intérieur avant de le suspendre, au cas où un sachet empoisonné de cette sorte s'y trouverait....

 

 

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Savez-vous pourquoi les bouteilles de vin contiennent 75 cl et non 1 litre de liquide ?

Publié le par Christaldesaintmarc

Eulglod nous révèle pourquoi les bouteilles de vin (une pensée pour nos vignerons si touchés par les gelées précoces) ne contiennent pas tout simplement 1 litre du précieux nectar que produisent les vignerons ....

 

Savez-vous pourquoi les bouteilles de vin contiennent 75 cl et non 1 litre de liquide ?

(Extrait d'une miniature réalisée par Jean Pierre)

Pourquoi des bouteilles de vin, dont la contenance aurait été standardisée au XIXème siècle,contiennent-elles 75 centilitres et non 1 litre ?

 Est-ce pour l’une de ces quelques raisons toutes plus ou moins farfelues ?

- « C’est la capacité pulmonaire d’un souffleur de verre » (un petit souffleur alors…)

- « C’est la consommation moyenne au cours d’un repas » (vous avez dit moyenne ?).

 Il est vrai que dans les temps anciens le vin était beaucoup moins alcoolisé que de nos jours.

- « C’est la contenance optimale pour conserver le vin » (par opposition aux « packs » de vins ordinaires ?)

- « Cela facilite le transport » (là les « packs » seraient mieux adaptés)

Teuteuteu… Que nenni !

Alors pourquoi ?

Savez-vous pourquoi les bouteilles de vin contiennent 75 cl et non 1 litre de liquide ?


(Extrait d'une miniature réalisée par le même Jean Pierre)

 Est-ce pour quelques contraintes législatives ?

Cela se pourrait, mais non !

Une directive européenne de 2007 dont tout le monde parle autoriserait 8 volumes différents de 100 ml à 1500 ml.

Pas tout à fait vrai, car s’il y a 8 volumes pourquoi avoir choisi justement celui de 75 cl et non celui de 1 litre ?

Et puis si elle autorise effectivement 8 volumes dans ce qu’elle nomme le « vin tranquille », elle prend également en compte 1 volume dans les « vins jaunes », 5 dans les « mousseux », 7 dans les « liqueurs », 7 dans les « aromatisés » et 9 dans les « spiritueux ».

 D’ailleurs, si cette contenance de 75 cl a été standardisée au XIXème siècle, la directive européenne aurait « un peu » de retard, elle n’a donc fait que reprendre et officialiser une évidence.

 Voir ici le texte de cette fameuse directive :

Directive 2007/45/CE du Parlement européen et du Conseil du 5 septembre 2007 fixant les règles relativesaux quantités nominales des produits en préemballages, abrogeant les directives 75/106/CEE et 80/232/CEEdu Conseil, et modifiant la directive 76/211/CEE du Conseil.

 Les produits et volumes y sont décrits en annexe page 4.

(Entrée en vigueur : 11/10/2007; Fin de validité : 99/99/9999 ; Transposition: 11/10/2008)

 Est-ce pour une raison historique ?

Nous approchons !

En 1152, par son mariage avec Henri II Plantagenêt futur roi d’Angleterre, Aliénor d’Aquitaine transféra sa province à la couronne anglaise.

En 1254, Henri III et le Duc d’Aquitaine accordèrent quelques privilèges aux Bergeracois en leur permettant d’expédier leur vin depuis le port de Libourne et cela sans aucune concurrence ni taxe (la « prise des vins »).

Ce commerce favorisé par l’occupation anglaise dura 3 siècles.

Après le départ des anglais, chacun chercha à garder ou combattre ces privilèges jusqu’à ce que François 1er les abolisse.

Le Bordelais est donc resté longtemps anglais 

 Est-ce pour le transport ? Le commerce ?

Nous y sommes presque !

A cette époque, le vin que les Anglais achetaient sur « Continent » (pour ne pas dire en France car précédemment il venait… d’Angleterre), était acheminé dans de grandes barriques.

L’invention des fours à charbon qui conduisit à la fabrication de la bouteille en verre remonte au XVIIIème siècle.

Après quelques essais, les Anglais comprirent deux choses :

1- Le vin se gardait mieux dans des bouteilles de verre que dans des tonneaux

2- Une bouteille était plus facile à vendre qu’un tonneau.

Savez-vous pourquoi les bouteilles de vin contiennent 75 cl et non 1 litre de liquide ?

 (Miniature de Jean-Pierre)

Cette pratique ne serait venue en France qu’en toute fin du XVIIIème siècle et aurait été reprise par d’autres régions viticoles.

Lors de l’exposition universelle de 1889, le célèbre foudre « Mercier » (transporté par les galvachers du Morvan) était présenté entouré de nombreuses bouteilles.

Bon, mais alors ?

Nous touchons au but !

Plus concrètement, il faut regarder les systèmes de mesure français et surtout anglais.

Chez nos voisins qui utilisent toujours un système différent du nôtre, le gallon anglais sec et liquide devrait être égal à 277,2 pouces cubes, soit très précisément 4,5424941408 litres.

Toutefois, pour diverses raisons, les Anglais ont retenu 4,546090 litres pour valeur officielle et légale du gallon, soit 3,5958592 ml supplémentaires (+ 0,079 %).

 Ah ! Enfin ! Voilà !

L’histoire ne précise pas qui des Anglais ou des Français a eu le premier l’idée lumineuse de transporter le vin en barriques de 225 litres, soit 50 gallons (arrondis).

En effet, 225 litres c’est précisément ce que représentent 300 bouteilles de 75 centilitres, et 300 c’est beaucoup plus pratique pour les calculs que 225 :

1 barrique = 50 gallons = 300 bouteilles et 6 bouteilles = 1 galon (soit les 4,546 090 litres ci-dessus…).

Il en reste aujourd’hui des caisses de vin vendues par 6 ou par 12 bouteilles soit 1 ou 2 galons.

Quelques informations supplémentaires…

Origine du mot bouteille

L’origine du mot « bouteille » viendrait de l’ancien français « botele » signifiant « récipient ».

La première bouteille de vin

Elle serait apparue en Gaule à l’époque Gallo-romaine, importée des verreries italiennes (Que croire alors de la nécessité de disposer des fours adaptés inventés au XVIIIème  ?).

Sa forme, proche de la forme actuelle, remonterait au IVème siècle.

Ce serait le VIIIe siècle qui aurait imposé la bouteille comme le récipient le mieux approprié pour conserver le vin.

Quelle est l’origine du culot creux ?

Ce renfoncement appelé « piqûre » garantit la stabilité de la bouteille posée debout.

La difficulté d’obtenir un fond parfaitement plat a été palliée en maintenant la bouteille en fusion sur une forme convexe. Cette méthode permet de réaliser ce fameux culot concave dont les bords sont eux tout à fait plats. Cette technique date du IVème siècle.

Une exception toutefois, le champagne Roederer, cuvée Cristal.

En 1855, le Tsar Alexandre II craignant que l’on y cacha quelque explosif, exigea que le fond soit (parfaitement ?) plat.

Moyen mnémotechnique

Un petit « truc » permettant de mémoriser les noms des principales tailles de bouteilles.

Au-dessus d’ 1,5 litres et dans l'ordre croissant de leur contenance, prenez les 2 premières lettres de chaque mot (source Wikipédia) :

« Car de bon matin je remarquais mal sa banalité naturelle »

(quart, demi, bouteille, magnum, jéroboam, réhoboam, mathusalem, salmanazar, balthazar, nabuchodonosor).

Quelques prix records

- Une bouteille « Impérial » de 6 litres de « Cheval-Blanc 1947 », seule bouteille de ce type pour ce millésime Saint-Emilion, adjugée à 224.000 euros en 2010.

- Plus récemment, une bouteille de vin blanc de Bordeaux « Château Yquem 1811 » a été vendue 85.000 euros.

 

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Stand ByMe nous emmène visiter d'autres villages Châtillonnais....

Publié le par Christaldesaintmarc

 Au volant de sa belle auto Stand ByMe nous emmène visiter d'autres villages Châtillonnais....  Stand ByMe nous fait visiter trois charmants villages Châtillonnais...

Merci à lui pour toutes ses vidéos qui valorisent notre territoire !

Chaumont le Bois

 

Noiron sur Seine

 

Aisey sur Seine

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L'Association G.R.E.N. a tenu son Assemblée Générale 2021, en visio-conférence.

Publié le par Christaldesaintmarc

Voici le compte-rendu de l'Assemblée Générale de G.R.E.N. 2021.

( Pour lire les pages les unes après les autres, cliquer en bas sur la flèche descendante. )

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Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvert la vitalité théâtrale châtillonnaise !

Publié le par Christaldesaintmarc

 A l’invitation du TGB, quatorze élèves du Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR de Dijon) sont venus assister à la sortie de résidence professionnelle Molière !, à la salle Kiki de Montparnasse.
 
 
Ces étudiants de 3e cycle et de COP (Cycle à Orientation Professionnelle) étaient accompagnés de leur professeur Alain Meneust. 
Il est prévu qu’ils suivent une Master Class avec l’auteur, comédien et metteur en scène Martin Petiguyot (compagnie Amaranta), en mai prochain à Dijon.
 Dans le cadre de leur cursus pédagogique, après ce bel aperçu des coulisses de création du nouveau spectacle qui sera programmé en octobre prochain à Châtillon-sur-seine, les étudiants sont descendus au centre ville.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Accueillis par Catherine Miraton, directrice du Théâtre Gaston Bernard, ils ont pu visiter le lieu et son projet professionnel exigeant développé en milieu rural.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Enchantés de cet après-midi  "au vert" en Pays Châtillonnais, ces derniers ont été très surpris de découvrir une telle émulation artistique et culturelle dans une petite ville.
 « Cette sortie, dans le contexte sanitaire actuel, a été une véritable véritable bouffée d’air frais pour les élèves », a commenté leur professeur Alain Meneust.  

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 
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Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvert la vitalité théâtrale châtillonnaise !

Publié le par Christaldesaintmarc

 A l’invitation du TGB, quatorze élèves du Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR de Dijon) sont venus assister à la sortie de résidence professionnelle Molière !, à la salle Kiki de Montparnasse.
 
 
Ces étudiants de 3e cycle et de COP (Cycle à Orientation Professionnelle) étaient accompagnés de leur professeur Alain Meneust. 
Il est prévu qu’ils suivent une Master Class avec l’auteur, comédien et metteur en scène Martin Petiguyot (compagnie Amaranta), en mai prochain à Dijon.
 Dans le cadre de leur cursus pédagogique, après ce bel aperçu des coulisses de création du nouveau spectacle qui sera programmé en octobre prochain à Châtillon-sur-seine, les étudiants sont descendus au centre ville.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Accueillis par Catherine Miraton, directrice du Théâtre Gaston Bernard, ils ont pu visiter le lieu et son projet professionnel exigeant développé en milieu rural.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Enchantés de cet après-midi  "au vert" en Pays Châtillonnais, ces derniers ont été très surpris de découvrir une telle émulation artistique et culturelle dans une petite ville.
 « Cette sortie, dans le contexte sanitaire actuel, a été une véritable véritable bouffée d’air frais pour les élèves », a commenté leur professeur Alain Meneust.  

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 
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Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvert la vitalité théâtrale châtillonnaise !

Publié le par Christaldesaintmarc

 A l’invitation du TGB, quatorze élèves du Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR de Dijon) sont venus assister à la sortie de résidence professionnelle Molière !, à la salle Kiki de Montparnasse.
 
 
Ces étudiants de 3e cycle et de COP (Cycle à Orientation Professionnelle) étaient accompagnés de leur professeur Alain Meneust. 
Il est prévu qu’ils suivent une Master Class avec l’auteur, comédien et metteur en scène Martin Petiguyot (compagnie Amaranta), en mai prochain à Dijon.
 Dans le cadre de leur cursus pédagogique, après ce bel aperçu des coulisses de création du nouveau spectacle qui sera programmé en octobre prochain à Châtillon-sur-seine, les étudiants sont descendus au centre ville.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Accueillis par Catherine Miraton, directrice du Théâtre Gaston Bernard, ils ont pu visiter le lieu et son projet professionnel exigeant développé en milieu rural.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Enchantés de cet après-midi  "au vert" en Pays Châtillonnais, ces derniers ont été très surpris de découvrir une telle émulation artistique et culturelle dans une petite ville.
 « Cette sortie, dans le contexte sanitaire actuel, a été une véritable véritable bouffée d’air frais pour les élèves », a commenté leur professeur Alain Meneust.  

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 
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Publié le par Christaldesaintmarc

 A l’invitation du TGB, quatorze élèves du Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR de Dijon) sont venus assister à la sortie de résidence professionnelle Molière !, à la salle Kiki de Montparnasse.
 
 
Ces étudiants de 3e cycle et de COP (Cycle à Orientation Professionnelle) étaient accompagnés de leur professeur Alain Meneust. 
Il est prévu qu’ils suivent une Master Class avec l’auteur, comédien et metteur en scène Martin Petiguyot (compagnie Amaranta), en mai prochain à Dijon.
 Dans le cadre de leur cursus pédagogique, après ce bel aperçu des coulisses de création du nouveau spectacle qui sera programmé en octobre prochain à Châtillon-sur-seine, les étudiants sont descendus au centre ville.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Accueillis par Catherine Miraton, directrice du Théâtre Gaston Bernard, ils ont pu visiter le lieu et son projet professionnel exigeant développé en milieu rural.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Enchantés de cet après-midi  "au vert" en Pays Châtillonnais, ces derniers ont été très surpris de découvrir une telle émulation artistique et culturelle dans une petite ville.
 « Cette sortie, dans le contexte sanitaire actuel, a été une véritable véritable bouffée d’air frais pour les élèves », a commenté leur professeur Alain Meneust.  

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 
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Publié le par Christaldesaintmarc

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Ces étudiants de 3e cycle et de COP (Cycle à Orientation Professionnelle) étaient accompagnés de leur professeur Alain Meneust. 
Il est prévu qu’ils suivent une Master Class avec l’auteur, comédien et metteur en scène Martin Petiguyot (compagnie Amaranta), en mai prochain à Dijon.
 Dans le cadre de leur cursus pédagogique, après ce bel aperçu des coulisses de création du nouveau spectacle qui sera programmé en octobre prochain à Châtillon-sur-seine, les étudiants sont descendus au centre ville.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Accueillis par Catherine Miraton, directrice du Théâtre Gaston Bernard, ils ont pu visiter le lieu et son projet professionnel exigeant développé en milieu rural.

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Publié le par Christaldesaintmarc

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Il est prévu qu’ils suivent une Master Class avec l’auteur, comédien et metteur en scène Martin Petiguyot (compagnie Amaranta), en mai prochain à Dijon.
 Dans le cadre de leur cursus pédagogique, après ce bel aperçu des coulisses de création du nouveau spectacle qui sera programmé en octobre prochain à Châtillon-sur-seine, les étudiants sont descendus au centre ville.

Une classe du Conservatoire régional de Dijon a découvrert la vitalité théâtrale châtillonnaise

 Accueillis par Catherine Miraton, directrice du Théâtre Gaston Bernard, ils ont pu visiter le lieu et son projet professionnel exigeant développé en milieu rural.

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 Enchantés de cet après-midi  "au vert" en Pays Châtillonnais, ces derniers ont été très surpris de découvrir une telle émulation artistique et culturelle dans une petite ville.
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