Quelques bornes anciennes
Une borne de remembrement près de Marcenay :
Borne routière près de Voulaines les Templiers :
Borne routière , Ampilly le Sec :
Aux étangs des Marots :
Aux étangs des Marots :
A Voulaines les Templiers :
A Voulaines, bien mystérieuse :
Sur le mur de soutènement de la mare de Cérilly :
Entre Montmoyen et Aignay le Duc :
A la recherche de la soue de Voulaines les Templiers
Bernard Martin m'avait indiqué qu'une très belle mare se trouvait dans la forêt de Voulaines les Templiers entre Voulaines et La Chaume. Je suis donc allée à sa recherche un jour d'avril...
Le long du chemin j'ai vu beaucoup de terriers de blaireaux...
Des traces de sabots...
Après bien des détours, (j'en ai fait des kilomètres, heureusement un membre de l'ONF qui passait par là, m'a indiqué le bon chemin, merci à lui !), j'ai découvert cette magnifique "soue", construite de main d'homme pour que les troupeaux qui traversaient la forêt puissent se désaltérer.
En revenant à mon point de départ, j'ai vu cette stèle qui m'a intriguée : s'agit-il d'un bûcheron mort ici ? le mystère est entier.
Si quelqu'un sait qui était cet homme, qu'il me le dise en commentaire, merci.
Bernard Martin s'est renseigné près du Maire de Voulaines les Templiers .Celui-ci lui a indiqué que cette stèle est celle d'un chasseur mort à cet endroit
Merci à lui pour le renseignement !
Le point de vue de Bissey la Côte
Lors de la marche cantonale organisée par Georges Morin, j'ai découvert le point de vue de Bissey la Côte...
Lorsqu'on arrive, après avoir suivi les indications, on suit ce petit chemin sans se douter de ce qui nous attend à l'extrémité....
Ce qui nous attend, c'est un magnifique panorama, le plus beau du Châtillonnais à mon avis.
Tout au fond on voit les jumeaux de Massingy et de la Chasseigne, et entre les deux, Châtillon sur Seine.
Une table d'orientation nous indique les villages que l'on aperçoit au loin.
Au pied de la butte, Layer sur Roche :
Au premier plan Brion sur Ource, au deuxième plan Mosson.
Qu'il est bon de se reposer avec un tel panorama en face de soi...
René Drappier nous présente les Marcheurs T'amalous...
Les Marcheurs T’amalous, c'est un groupe de marche, décidé à l' Assemblée Générale de la FNACA du 27 septembre 2002.
Depuis cette date un groupe de joyeux lurons composé de membres de cette association, accompagnés par leurs épouses ou amis (ies), se retrouvent pour une marche de santé en forêt de Châtillon (parcours du cœur) d’une distance de 5 km, parcourue en une heure, ceci 2 fois par semaine.
Malheureusement les années passant, certains nous ont quittés, mais ils restent, malgré tout, dans notre esprit, au cours de cette marche. D'autres ont eu des problèmes de santé, d'autres ont quitté le groupe pour d’autres horizons.
Ainsi les années s’écoulent et ce groupe de joyeux marcheurs existe toujours avec quelques membres et épouses d’anciens de la FNACA.
Le nombre varie selon les caprices du temps et les possibilités de chacun, allant de deux sous la pluie, à presque une vingtaine par beau temps. C’est une balade magnifique où l’on voit les animaux de la forêt allant de la cigogne noire aux chevreuils, aux sangliers et où l'on découvre le chant des petits oiseaux. (Je tombe dans le romantisme).
Cette marche se fait au rythme de chacun, tout en discutant (ça papotte, ça repapotte) sur l’actualité du moment, quelquefois cocasse, ou en essayant de refaire le monde, chose que nous n’avons pas encore réussi à réaliser !
Quelquefois ce groupe se réunit pour un petit repas convivial où règne une joyeuse ambiance et la bonne humeur. Là il n’y a plus de T’amalous.
C’est ainsi qu’il m'est venu l’idée de faire paraître avec la gentillesse de Christaldesaintmarc sur son blog, une rétrospective photo de ce sympathique groupe.
La crypte de la cathédrale Saint Bénigne de Dijon
La cathédrale Saint Bénigne de Dijon possède, dans son sous-sol, une crypte magnifique découverte de 1843 à 1846.
Il s'agit de l'étage souterrain de la rotonde romane, construite en 1002 pour abriter le tombeau de Saint Bénigne.
L'oratoire central, circulaire,est circonscrit par 8 colonnes monolithes.
Les voûtes des collatéraux reposent sur de gros piliers adossés aux murs. Certains sont d'anciens sarcophages.
A l'entrée de la crypte, on voit le tombeau de Saint Bénigne.
De très belles mosaïques entourent le sarcophage de Saint Bénigne.
Les chapiteaux des colonnes sont décorés simplement :
Mais d'autres sont sculptés magnifiquement....
Un petit clin d'œil à notre saint local, Saint Bernard...
Avant de descendre à la crypte, on admire ce tableau qui représente Saint Bénigne au centre, entouré de l'arbre des saints du diocèse de Langres.
Cette statuette représente Saint Bénigne martyrisé.
La cathédrale Saint-Bénigne de Dijon
La cathédrale Saint-Bénigne de Dijon n'est cathédrale que depuis 1792. Elle était auparavant l'abbatiale du monastère qui est devenu, à présent, le Musée archéologique de Dijon.
En 989, l'évêque de Langres Brunon de Roucy chargea l'Abbé Guillaume de Volpiano de lancer les travaux de la troisième abbatiale.
L'abbatiale fut incendiée en 1137, sa reconstruction fut terminée en 1147.
L'église romane fut ensuite remplacée par l'église gothique que nous voyons aujourd'hui.
Vue du ciel, on peut admirer les toitures de la cathédrale, recouvertes en tuiles vernissées, caractéristiques de la Bourgogne.
La flèche culmine à 93 mètres au dessus du sol.
Le porche principal de la Cathédrale saint Bénigne a été martelé pendant la Révolution Française.
Sur le portail ouest, lui aussi détruit en 1794, fut mis en place, en 1813, un bas-relief représentant la lapidation de Saint Etienne. Ce bas-relief dû au sculpteur Bouchardon provient de l'ancienne cathédrale Saint-Etienne dont il ornait le portail.
Au dessus du portail latéral, on voit un curieux petit animal fantastique, à visage humain, qui se cache dans l'embrasure d'une fenêtre.
Les dimensions de la cathédrale Saint Bénigne sont assez modestes : 68 mètres de longueur, 29 mètres de largeur et 26 mètres de hauteur sous voûtes.
L'intérieur est d'un aspect sévère, sans décorations. Seuls les bustes des douze apôtres ornent les piliers de part et d'autre de la nef.
Le maître autel date de 1792, c'est une cuve de marbre blanc entourant des panneaux de marbre rose. Il a été exécuté sur des dessins de François Devosge. Le bas-relief en bronze doré est l'œuvre de Claude-François Attiret, il date de 1773.
Les stalles proviennent de l'ancienne abbaye cistercienne de la Charité près de Neuvelle (Haute saône).
L'orgue de chœur a été inauguré en 1894.
Le grand orgue a été construit en 1740 par Karl-Joseph Riepp et son frère Rupert, suite à la demande des moines bénédictins de l'abbaye. Le buffet, en chêne, est de style Louis XV. l'évolution du goût musical aboutit à la reconstruction de l'orgue en 1788.Il fut de nombreuses fois restauré (1846, 1860, 1902, 1953, 1887,inauguré en 1996).
La cathèdre épiscopale, siège de l'évêque et de deux de ses assistants :
La chapelle de la Vierge :
Les fonts baptismaux datent de 1903, ils ont été sculptés par Xavier Schanosky.
La chaire:
De nombreux tombeaux sculptés se trouvent à l'intérieur de la cathédrale Saint Bénigne .
Claude Fremyot, cousin germain de Sainte Jeanne de Chantal (grand-mère de la marquise de Sévigné), il fut Président au Parlement de Bourgogne en 1670 :
JB Legoux, seigneur de la Berchère, premier Président de Bourgogne, décédé en 1631 :
Marguerite Brulard, épouse de J B Legoux:
Monseigneur Rivet, évêque de Dijon de 1838 à 1884 :
Un tableau de la cathédrale : le mariage de la Vierge.
Ces portraits des anciens évêques de Dijon se trouvent dans le couloir menant à la crypte :
Une Vierge à l'Enfant :
Saint Aignan
Saint André
Saint Etienne :
Saint Jean l'Evangéliste
Saint Médard :
Une des nombreuses pierres tombales de la cathédrale :
Il ne reste rien des verrières d'origine ou antérieures à la Révolution. Les verrières actuelles datent de 1897 à 1902.
Les anges soutenant la Croix :
Châteaux d'eau châtillonnais
Les châteaux d'eau font aussi partie de notre patrimoine !
Certains se ressemblent, mais d'autres font preuve d'originalité...
Chemin d'Aisey :
Coulmier le Sec :
Louesme :
Ampilly le Sec :
Saint Germain le Rocheux :
Laignes :
Montliot :
Châtillon sur Seine :
Châtillon sur Seine :
Recey sur Ource :