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Cette photo vous la reconnaissez , si vous avez lu le chapitre :
 "patrimoine Châtillonnais , mégalithes et pierres dressées" ..
Il s'agit de la photo des tumulus de Magny-Lambert.
Et bien figurez vous que j'ai retrouvé ma photo  sur le Bien Public du 13 juillet à la page "vacances (page 06), et elle  ne portait  pour mention que : photo SDR ...
J'ai écrit au Rédacteur en Chef du Bien Public pour protester en lui disant que cette  photo m'avait été volée, bien que je possède un copyright... et j'ai reçu une réponse, la voici :

Bonjour,

Tout d'abord, je vous présente les excuses de la rédaction du Bien Public. Nous avons effectivement été chercher une photo sur votre blog et non seulement nous ne vous avons pas contacté pour vous demander l'autorisation de la reprendre, mais nous avons oublié le copyright.

La confrère secrétaire de rédaction qui a fait cela est désolée. Elle a travaillé dans l'urgence et n'a pas respecté les formes.

Souhaitez-vous que nous republiions votre photo en mentionnant l'existence de votre blog ? C'est possible et cela me semblerait un juste retour des choses.

Merci de me dire si cette proposition vous agréée.

Frank Mauerhan
Rédacteur en chef adjoint du Bien Public

J'ai bien sûr accepté la proposition , en demandant d'ajouter  que le blog valorise le Châtillonnais ,région souvent inconnue même des Dijonnais !..

Un peu de pub pour notre petit coin de Bourgogne  ça ne fait pas de mal, n'est ce pas ?

Donc la photo paraîtra  Vendredi (tout au moins je l'espère,c'est ce que Frank Mauerhan m'a dit hier ) dans la page" vacances" du Bien Public..

 

Et j'espère que ce vol ne se reproduira plus...

Kiki de Montparnasse fut un des soleils de l'âge d'or de Montparnasse.
Menant vie de bohème, entre le Dôme et la Coupole, elle a côtoyé de nombreux artistes, posé pour certains peintres. Ils avaient pour noms Soutine, Utrillo, Kisling, Foujita, Modigliani, Derain, Desnos et autres surréalistes.
Kiki a peint, chanté, conciliant vie précaire et vie de fête, ne redoutant pas les excès de l'alcool et les voies de la drogue.
Voici ses souvenirs qui glissent, des temps de l'enfance à la découverte de Paris. Un livre, écrit en 1939, qui se clôt en 1932 : des souvenirs écrits au fil de la plume, avec la gouaille qui était la sienne.
C'est un document de première main, indispensable pour qui voudrait mieux connaître cette époque, un livre d'un drôle d'oiseau de nuit dont le cœur tendre semble battre à chaque page. Un beau livre que les nombreuses illustrations rendent plus précieux encore – des documents intimes aux superbes photos de Man Ray. Un livre qui fait revivre le passé et croire en l'avenir.

Pierre Hild, Page, avril 2005