vie

Samedi 1er Août,une joyeuse bande de jeunes filles parcourait les rues de Châtillon sur Seine..

C'était l'enterrement de la vie de jeune-fille de Céline, une de mes anciennes élèves !!

Qu'elle était jolie Céline avec son beau sourire..

C'était mon clin d'oeil du jour !

Robert tient ici les maquettes de l’Abbaye de Molesme et de l’Abbaye de Citeaux qu’il a créées)

Dix-huit mois après le départ de Robert , les moines de Molesme , se repentant de leur vie dissolue, demandèrent au Pape Urbain II son retour en terre Châtillonnaise.

Robert fut contraint de se soumettre et d'abandonner Cîteaux.

Mais toutefois, il n'aura pas renoncé à ses rêves de vie parfaite , et il profitera de son retour pour réformer Molesme, dans la mesure du possible.

Bruno qui deviendra Saint Bruno, sera auprès de Robert à Molesme en 1080 , il fondera ensuite le Monastère de la Grande Chartreuse.

La Lyre Châtillonnaise va donner un concert gratuit :

SAMEDI 18 AVRIL

DANS L'EGLISE D'AMPILLY le SEC à 21 heures.

Venez nombreux y écouter nos artistes !

Quelques informations sur cette célèbre formation musicale Châtillonnaise,m'ont été données par son président Denis Bourtequoy,les voici :

La Lyre Chatillonnaise est née en 1886,sous la direction de Gustave Morizot .

Sa création est due au besoin de vie associative d’une population à l’époque beaucoup plus nombreuse, dont les moyens d’évasion et de communication n’étaient pas comparables à ceux d’aujourd’hui.

La musique était et reste encore maintenant une des grandes activités attrayantes que partagent beaucoup de passionnés.

Depuis plus d’un siècle, la Lyre Chatillonnaise sert de drapeau à tous les Chatillonnais amateurs de musique et de vie associative.

Elle a toujours répondu présente aux manifestations locales et a su se faire connaitre bien au- delà de notre cité.

D’ailleurs, les musiciens du corps philarmonique de Chatillon ( Val d’Aoste .Italie ),la Fanfare Royale de La Neffe ( Belgique ) font partie de nos amis.

Cette vaste enquête de Claude Lévi-Strauss prolonge, en quelque sorte, l’étude des systèmes de parenté qui sont aussi des systèmes de symboles offrant un terrain privilégié pour saisir la spécificité de l’esprit humain.

Conjointement, à travers l’analyse structurale, sa recherche amène à cette constatation majeure : tout système mythologique est le reflet d’une structure sociale indissociable d’un système de valeurs déterminé.

Étudier et comparer les mythes, c’est découvrir comment, dans une société donnée, les techniques, l’art, les croyances religieuses, l’économie, l’organisation politique, les liens de parenté sont des aspects interdépendants de la vie sociale et constituent des domaines qui se répondent à des niveaux différents d’une même structure.

Toute la vie de Julie Pissarro-Vellay était racontée et illustrée par des photographies inédites,des reproductions de tableaux...

Les documents,très bien choisis, étaient joliment encadrés,c'était un plaisir de suivre la vie de cette femme exeptionnelle...

J'ai dit de Julie qu'elle était une femme exceptionnelle.

En suivant sa vie ,on voit que ce fut une "mère-courage"....

Son époux Camille Pissarro,ne commença à bien faire vivre sa famille qu'à l'âge de...62 ans !

Camille Pissarro était Danois..

A la fin de sa vie,Julie prit la nationalité danoise...Voici son passeport.

Une surprenante révélation,un "scoop" obtenu par Jenry Camus auprès de Lionel Pissarro !!

Jenry Camus a travaillé comme un fou pour réaliser cette superbe exposition:,il s'est mis en relation avec les descendants de Camille et Julie,qui sont éparpillés dans le monde entier..

Ce n'était pas un mince travail,et il ne désespère pas de rencontrer le conservateur du musée de New-York,encore un descendant de ce couple exceptionnel...

Qu'il soit remercié pour cette magnifique exposition qui nous a permis de connaître la vie d'une Châtillonnaise oubliée et aussi l'oeuvre d'un très grand peintre,que peut-être certains ne connaissaient pas...

Qu'y a-t-il derrière ces deux portes dans le soubassement de la tour ??

peut-être le mystérieux souterrain dont on m'a dit qu'il reliait le château à sa ferme ?

je cite quelques lignes du merveilleux livre de Francis Carco :Mémoires d'une autre vie..

"cette tour qu'on apercevait de la ville,avec sa panse aux festons de lierre et ses créneaux,nous inspirait une légitime terreur,car personne n'en avait exploré le fond.On racontait que plusieurs souterrains y ouvraient leurs gueules béantes et,en effet,à chaque voyage que nous faisions,pour y précipiter des tibias ou des crânes,nous avions beau prêter l'oreille à la chute des dépouilles,nous ne les entendions s'écraser sur le sol qu'après un bon moment."

Que j'aimerais que l'on m'ouvre ces portes....

Ainsi pourrait-on dire que l’iris tout comme la déesse assure la continuité de la vie en établissant un rapport constant entre la terre et le ciel.

Voilà de très belles peintures à l'huile...