Publié le 4 Mai 2009
tant
Publié le 13 Décembre 2008

Après son mariage le jeune capitaine fut affecté à l'ambassade des États-Unis à Tōkyō en tant qu'attaché militaire.
Le Japon était alors en guerre contre la Russie pour un différend sur la zone d'influence de la Mandchourie.
Pershing accompagna, en tant qu'observateur, l'armée du général Kuroki lors de sa marche victorieuse sur la Mandchourie.
Lors de cette expérience japonaise, Pershing fut décoré des mains même du Mikado de l'ordre du Trésor Sacré.
Publié le 8 Décembre 2008

Tant mieux,cela prouve que les ventes ont bien marché !
Et surtout tant mieux puisque le bénéfice des deux journées ira à l'achat de produits pour le resto-bébé !
Publié le 31 Octobre 2008
Publié le 19 Octobre 2008
Publié le 28 Juin 2008
Publié le 15 Avril 2008
Chanson tendre, musique de J. Larmanjat, chantée par Fréhel, en 1935. Carco chanta lui-même cette dernière chanson au Lapin Agile, en 1952.
Paroles: Francis Carco. Musique: Jacques Larmanjat 1935
autres interprètes: Fréhel (1935), Francis Carco (1952), Cora Vaucaire (1952), Monique Morelli (1957), Lucienne Vernay (1959), Patachou, Colette Renard (1961), Luc Barney (1966), Tino Rossi (1971), Francis Lemarque (1989)
Comme aux beaux jours de nos vingt ans, (En souvenir de nos vingt ans)
Par ce clair matin de printemps, (Par ce beau matin de ..)
J'ai voulu revoir tout là-bas,
L'auberge au milieu des lilas.
On entendait sous les branches, (On entendait dans ..)
Les oiseaux chanter dimanche
Et ta chaste robe blanche,
Paraissait guider mes pas.
Tout avait l'air à sa place,
Même ton nom dans la glace,
Juste à la place où s'efface,
Quoi qu'on fasse,
Toute trace..
Et je croyais presqu'entendre
Ta voix tendre murmurer
"Viens plus près"
J'étais ému comme autrefois
Dans cette auberge au fond des bois,
J'avais des larmes dans les yeux (J'avais des larmes pleins ..)
Et je trouvais ça merveilleux.
Durant toute la journée,
Après tant et tant d'années, (Dans la chambre abandonnée)
Dans ta chambre abandonnée, (Depuis tant et tant d'années)
Je nous suis revus tous deux.
Mais rien n'était à sa place;
Je suis resté, tête basse,
À me faire dans la glace
Face à face
La grimace...
Enfin j'ai poussé la porte,
Que m'importe
N. I. NI
C'est fini
Pourtant quand descendit le soir
Je suis allé tout seul m'asseoir (Je suis venu tout seul m'asseoir)
Sur le banc de bois vermoulu
Où tu ne revins jamais plus.
Tu me paraissais plus belle,
Plus charmante, plus cruelle
Qu'aucune de toutes celles
Pour qui mon cœur a battu.
Et je rentrai, l'âme lasse,
Chercher ton nom dans la glace (Tout avait l'air à sa place)
Juste à la place où s'efface (Même ton nom sur la glace)
Quoi qu'on fasse
Toute trace..
Mais avec un pauvre rire (Puis avec un pauvre rire)
J'ai cru lire:
"Après tout,
On s'en fout."