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Mise au point au sujet du père Zoungrana

Publié le par Christaldesaintmarc

Lettre écrite par mes soins à la journaliste du Point, responsable d'un article honteux sur le père Albert Zougrana.

Eh bien Madame, jamais je n'aurais pensé que le père Zoungrana serait ainsi traîné dans la boue par vos soins !

Vous aviez promis de me dire quand votre article paraîtrait, je comprends pourquoi vous ne l'avez pas fait.
Voici l'article paru ce matin sur le Bien Public, notre journal local.

Recey-sur-Ource. Le curé est dans la tourmente après la publication d’un article dans Le Point.

Une vraie querelle de clocher

 

L’article s’est en grande partie nourri du quotidien du prêtre bourguignon.

Les paroissiens se divisent en deux groupes : ceux qui reprochent au prêtre des propos qui lui sont attribués dans un article et ceux qui prennent sa défense.

 L’hebdomadaire a suivi le père Albert dans le cadre d’un papier sur l’adaptation des prêtres africains en milieu rural. Accueil. À l’arrivée d’Albert Zoungrana, en 2009, une grand-messe a été célébrée par Mgr Minnerath, archevêque de Dijon.

Trois semaines déjà que l’article est paru, et l’émoi qu’il a provoqué dans la paroisse de Recey-sur-Ource n’est toujours pas retombé. « Il y a les défenseurs du curé et ceux qui lui en veulent », confirme Claude Vinot, maire et conseiller général de Recey. Le père Albert Zoungrana, un prêtre arrivé du Burkina Faso en octobre 2008 afin de palier le manque de vocations, avait accepté de bonne grâce de témoigner dans le cadre d’un papier publié sous le titre : Ces curés africains qui sauvent nos paroisses. Début janvier, la journaliste du Point, Violaine de Montclos, était venue passer quelques jours à ses côtés. Et, si d’autres interlocuteurs sont cités dans l’article, l’auteur y fait la part belle au père Albert. Elle y raconte volontiers la cure, « une solide maison bourguignonne », elle décrit aussi ces églises non chauffées et ces 2 500 kilomètres avalés chaque mois entre les ­dix-sept clochers de la paroisse…

Quelques passages font l’effet d’une bombe

Dans le canton, les quatre pages de l’hebdomadaire étaient très attendues : « Les gens étaient fiers que leur curé soit ainsi mis en avant, explique Martine Hilaire, qui tient l’épicerie de Leuglay. Ils se sont rués sur Le Point, le jour de sa sortie et j’ai vite été en rupture de stock. J’aurais pu vendre beaucoup plus de journaux que je n’en avais ».

Ce que tout le monde ignorait alors, c’est que quelques passages allaient faire l’effet d’une bombe. En particulier, celui où l’auteur évoque, de façon lapidaire, les deux prédécesseurs du père Albert en des termes peu flatteurs. Des propos qui, à tort, ont été bien vite attribués au prêtre. « Jamais, je ne me suis permis, même en privé, de juger l’un de mes amis prêtres, s’indigne le père Zoungrana. Et, chacun d’eux, j’en suis sûr, a assumé sa mission en y mettant le meilleur de lui-même. » Il se dit d’autant plus affecté que l’opprobre s’est abattu sur lui sans que personne ne soit venu lui demander s’il avait effectivement tenu les propos que certains lui prêtent.

Mais au sein du clergé, aussi, la lecture de l’article a fait grincer quelques dents. Là, on lui reproche quelques phrases interprétées comme de la suffisance mal venue. Malgré plusieurs ­lettres de soutien envoyées par des paroissiens, le père Albert reconnaît que la polémique dont il est l’objet, blesse profondément.

Droit de réponse

Mardi, il a décidé de s’éloigner temporairement de sa paroisse ; il est allé chercher un peu de réconfort auprès de membres de sa famille qui vivent en Alsace. Et, afin de tenter de rétablir la vérité, il a fait parvenir à l’auteur de l’article un droit de réponse dans lequel il reprend point par point les passages qu’il estime entachés d’inexactitude. Un courrier argumenté qu’il conclut en affichant son souci de faire en sorte que « ceux qui ont pu être choqués sachent ce que je pense ».

De son côté, Claude Vinot dit apporter son soutien au prêtre de la paroisse. « Il est notamment membre du bureau d’aide sociale de la commune et il y joue pleinement son rôle », indique-t-il. Et le maire de regretter que la journaliste du Point n’ait pas cité les auteurs des points les plus délicats de son article.

(David Régazzoni )

La journaliste s'est excusée auprès de moi du tort qu'elle avait, avec son article, causé au père Zoungrana, en me demandant de faire part de ses excuses sur le blog.

Mais elle m'a demandé plus tard  que le mail contenant ses excuses soit retiré de mon article...

Chacun jugera de la pertinence de sa demande ....

Publié dans albert, pere, point, pretre, zoungrana

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L'Assemblée Générale de la MJC Lucie Aubrac...

Publié le par Christaldesaintmarc

Monsieur Julien,président de la Communauté de Communes répondit point par point aux questions posées par Chantal Contant.

Il proposa une visite prochaine des bâtiments pour faire le point sur les différentes demandes d'aménagement,et annonça que

« le directeur sera un professionnel expérimenté avec une conception des liens fonctionnels empreints d'éducation populaire ».

Publié dans assemblee, aubrac, generale, lucie, point

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La couture des motifs…

Publié le par Christaldesaintmarc

Le couture faite finement au point devant sera ensuite pliée,mais non ouverte.

Publié dans couture, faite, finement, motifs, point

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Une formation de qualité….

Publié le par Christaldesaintmarc

Jusqu'en 1873, John Pershing alla à l'école tout en travaillant à la ferme de son père.

Il travailla également quelque temps en tant qu'enseignant dans une école pour noirs : le salaire versé lui permit d'intégrer la Normal School Kirksville d'où il sortit diplômé d'une licence d'art en 1880.

En 1882, une annonce de concours pour entrer à l'Académie militaire de West Point attira son attention.

Bien que peu enclin à s'engager dans une carrière militaire, West Point lui offrait la chance de bénéficier d'une formation de grande qualité.

Soutenu par sa sœur, John réussit le concours d'entrée à West Point.

Publié dans ecole, formation, point, qualite, west

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Dernières mises au point...

Publié le par Christaldesaintmarc

Quelques modélistes terminaient la préparation de leur avion ....
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Une autre mise au point....

Publié le par Christaldesaintmarc

Un autre modéliste inspectait son avion avant le vol...

Publié dans autre, inspectait, mise, modeliste, point

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Le point de fond….

Publié le par Christaldesaintmarc

(assise avec "point de fond")

Tout d’abord,il pose des sangles croisées sous l’assise, sur ces sangles il ajoute des ressorts et des cordes de « guindage ».

Il coud de la « toile forte » de jute sur les ressorts et passe ensuite un lacet par-dessus.

Du crin végétal est ensuite passé sous ce lacet.

Une toile de rembourrure est ensuite posée au-dessus du crin,(toile plus aérée que la toile forte),le tapissier apointe cette toile sur la ceinture de la chaise.

Il réalise ensuite un point de fond.Ce point permet de relier la toile de rembourrure à la toile forte.


Publié dans ensuite, fond, forte, point, toile

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La piqure au point droit….

Publié le par Christaldesaintmarc

Il rabat la toile sur la ceinture de la chaise et la fixe,tous les 1,5 cm avec de fines pointes appelées « semences ».

Ensuite il lui faudra faire une piqure au point droit à l’aide d’une aiguille courbe.C’est ce qu’il faisait lorsque je suis arrivée…

Publié dans droit, fixe, piqure, point

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Une intellectuelle Châtillonnaise:Victorine de Chastenay

Publié le par Christaldesaintmarc

Une intellectuelle Châtillonnaise:Victorine de Chastenay

La maison à Châtillon sur Seine où elle mourut...

Elle ne réalisa pas la prophétie de Bernardin de Saint-Pierre, qui avait vu en elle un futur grand écrivain.

Après la publication de De l’Asie, elle rentra dans l’ombre et, de plus en plus souvent, vécut en province, à Châtillon ou à Essarois,et ne fit plus que de brefs séjours dans la capitale.
Elle se consacra à l’entretien et à l’amélioration des propriétés familiales et aux bonnes oeuvres, laissant dans la région le souvenir de son inépuisable charité.

C’est au point qu’elle se vit peu à peu oubliée et que certaines notices biographiques la disent décédée peu après le retour des Bourbons.

C’est qu’elle eut des malheurs, et que les quarante dernières années de sa vie ne lui ménagèrent pas les difficultés. Elle perdit son père , sa mère , son frère , demeurant ainsi la dernière de sa famille.

Pis encore, elle commença à perdre la vue .

La musique, la lecture, l’écriture lui furent bientôt interdites.

Elle continua pourtant à noircir des centaines de pages, souvent illisibles, quand elles ne furent pas recopiées vaille que vaille par un ami. Elle se décida à subir la pénible opération de la cataracte, qui lui valut de vivre quelques mois dans une obscurité absolue, mais lui permit de recouvrer l’usage d’un oeil.

Deux ans plus tard, elle songea à une seconde opération, mais les médecins la lui déconseillèrent, un échec risquant d’affecter l’oeil déjà traité et il lui fallut se résigner à vivre dans un clair-obscur qui dura jusqu’à sa fin.

En dépit de ces difficultés, elle poursuivit la rédaction de la seconde partie de ses mémoires, demeurée inédite, et d’un journal où elle suit jour par jour les événements politiques.

Vieillissante, elle a perdu les illusions libérales de sa
jeunesse, redoute maintenant la montée des socialismes. Elle a vu s’effondrer la dynastie des Bourbons, puis le règne de Louis-Philippe. La révolution de 1848 la remplit d’effroi : elle y voit l’amorce d’une désastreuse anarchie, encouragée par des hommes ambitieux dont elle dénonce la trahison ou l’arrivisme. Lamartine qui avait salué en vers le sacre de Charles X, lui semble devenu un dangereux démagogue.

Elle s’indigna du discours où le poète annonce bruyamment
son virage à gauche et son passage à l’opposition :

Le mal que produira ce discours n’est pas dans ce qui a été dit, mais en cela qu’il a été dit, en cela que M. de Lamartine, le grand poète, le grand homme du siècle,
l’honnête homme par excellence, s’est vu forcé de déclarer que le patriotisme et les lumières n’étaient que dans l’opposition ; que l’empire et la restauration n’avaient croulé que faute d’y prendre leurs conseils, et que le régime actuel allait avoir le même sort.

Émule de M. de Lamennais, M. de Lamartine nous montre une démocratie
croissante comme l’arrêt du destin, comme le programme, comme le devoir de la révolution de Juillet. Il nous montre, non comme une menace, mais comme belle, une révolution terrible, où toute aristocratie doive être anéantie, où tous les intérêts, où toutes les jouissances de la vie sont étouffés. Mais alors, je le demande, où serait
la liberté ? Car la société n’a d’autres fins que la conservation des intérêts privés de ceux qui la composent – l’intérêt général, c’est cette conservation.

M. de Lamartine n’a pas songé à quel point il avait fait l’apologie du terrorisme.
L’avenir selon Lamartine, c’est à ses yeux l’avènement d’une utopie totalitaire qui épouvante celle qui a vécu la grande Révolution et ses débordements sanglants.

Hugo, qui lui aussi se mêle de politique, n’est pas mieux traité. Ses oeuvres, son théâtre surtout, ont corrompu une jeunesse exaltée. Elle note :

« M. Victor Hugo aspire ouvertement à la survivance de M. Ledru-Rollin. Il ne
l’obtiendra pas, car il n’est qu’un acteur qui parle sur des planches. On l’honore du
titre de poète. On a tort, il n’a point de verve. On a prétendu que Napoléon aurait
fait de Corneille un ministre. Je crois qu’il eût été surpris de voir combien
l’élévation du génie, à l’appel de l’imagination, est de l’élévation d’âme, ou de
pensée, qui doit planer au-dessus de la sphère d’action. […] Je n’approche
d’aucune manière Corneille de M. Victor Hugo. Le théâtre de M. Victor Hugo
est, d’un bout à l’autre, détestable. Les moeurs, les goûts, les sentiments, la
versification même, tout y est perverti, corrompu, faux enfin, et ainsi odieux. Il a
tout abaissé ; il n’est aujourd’hui qu’un courtisan de la Montagne. »

On ne s’étonnera donc pas de la voir saluer comme un bienfait l’arrivée de
Louis-Napoléon Bonaparte à une présidence qui n’était pour lui qu’un marchepied
vers l’empire. Elle dit à propos de l’élection présidentielle au suffrage universel :

« On veut Napoléon, parce que ce nom a été grand pour la
France, et que la France a été grande avec celui qui le portait. Le nom de
Napoléon était sur les chapeaux. On a même entendu crier vive l’empereur. Les
campagnes ne veulent point de république. […] Les campagnes n’ont point voté
contre le général Cavaignac, elles ont voté pour Napoléon et l’empire. »

Elle le voit comme un rempart contre la montée d’une gauche niveleuse dont elle dit :

« Je considère les meneurs socialistes comme des traîtres à leur pays. » Puis elle écrit :

« Que d’événements en si peu de jours ! Mais ne craignons point de le dire, l’ordre social entier était bloqué par le socialisme et la plus désastreuse anarchie. Le complot existait. »

Elle vivra pourtant assez longtemps pour prévoir que l’empire à son tour ne répondrait pas à ses voeux. Du fond de sa province, elle suit avec anxiété les péripéties de la guerre de Crimée, où l’Angleterre, l’ennemie héréditaire qu’elle déteste, lui paraît avoir entraîné la France.

Elle lui consacrera les dernière lignes de son journal:


« On ne peut comprendre une guerre sans but et sans objet. La mer Noire détruit
nos vaisseaux. Chaque jour, il faut y envoyer des milliers d’hommes. »


Victorine de Chastenay, qui avait eu son heure de gloire dans les salons du
Directoire, du Consulat, de l’Empire et de la Restauration, s’éteignit, oubliée, à
Châtillon sur Seine.

Elle avait depuis longtemps renoncé à ses rêves de réussite
sociale et littéraire, se bornant à faire la charité autour d’elle et heureuse d’être
pour les paysans la bonne dame d’Essarois.

C’est pourquoi elle souhaitait que l’on grava seulement sur sa tombe : Transiit bene faciendo — elle a passé en faisant le bien.


[Copyright Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique.

Auteur que je remercie :Raymond Trousson, Une mémorialiste oubliée : Victorine de Chastenay ]

Marmont,Carco,Nisard et Cailletet ont donné leurs noms à des Ecoles de la ville de Châtillon...
Quel dommage que l'on ait pas pensé à cette si charmante Victorine de Chastenay,pour nommer une école Maternelle par exemple...
Elle aurait pourtant bien mérité cet honneur posthume que je me suis permis de lui rendre,avec l'aide précieuse de Raymond Trousson....

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Le Montespan

Publié le par Christaldesaintmarc

"Le Montespan " de Jean Teulé


Je viens de teminer « Le Montespan » de Jean Teulé,un auteur que j’aime depuis que j’ai lu son premier ouvrage « Rainbow pour Raimbaud »…
J’avais beaucoup aimé également, »longues peines », »le magasin des suicides » et surtout « Je,François Villon »

On retrouve dans « le Montespan » toute la truculence de Teulé,son ton assez leste,mêlant langage d’autrefois et expressions d’aujourd’hui..
L’histoire de ce cocu magnifique ,ce personnage hors du commun est passionnante..J’ai été enchantée…


MAIS …oh déception !,en cherchant sur le net ,un site sur l’ histoire de Louis-Henri de Pardaillan,marquis de Montespan,je suis tombée sur un ouvrage qui raconte exactement le même récit, point par point ..

Teulé n’a eu qu’a apporter sa touche personnelle par son style original ,certes..
Il n’a pas eu à se « fouler » et faire des recherches historiques,tout était déjà écrit…

Je suis un peu déçue,dommage,je n’aurais pas dû regarder Internet !

Voici le site :

http://www.gascogne.fr/histoire/pardaill.htm

le livre -source est:"Gloires de Gascogne" de Robert CASTAGNON

Ceux qui ont lu le livre de Teulé seront à coup sûr surpris comme je l’ai été.

Publié dans livre, montespan, ouvrage, point, teule

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