souvenirs

Publié le 3 Juin 2010

Un diaporama-souvenir de ce salon qui aura vu beaucoup de visiteurs..

Cinq minutes avant la fin de l'exposition,il y avait encore des amateurs de peinture !

-Des cadrans solaires en Châtillonnais

-Des cadrans solaires en Châtillonnais

Et pour terminer, voici une photo de mon "collaborateur" Pierre Magès , devant ses oeuvres.
C'est une de ses peintures qui a été reproduite sur les affiches,car elle représente à merveille notre Châtillonnais ..Un monument médiéval : Saint Vorles,un  vestige antique unique au monde : le vase de Vix ,un très beau site naturel  : la Douix et la vigne qui produit le crémant , bien supérieur au Champagne !!...

-Des cadrans solaires en Châtillonnais

 

-Des cadrans solaires en Châtillonnais

Alors à  l'année prochaine pour une encore plus grande et plus belle exposition, car depuis quelques jours plusieurs artistes sont venus rejoindre les peintres des Amis du Châtillonnais !

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #amis, #peintres, #premier, #salon, #souvenirs

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Publié le 18 Janvier 2010

Aujourd'hui:

Les métiers de bouche

Comme d'habitude, je compte sur vous pour nous dire qui sont toutes ces personnes photographiées..
souvenirs, souvenirs....

Photo numéro 1:

Des villages décorés pour les fêtes

Commentaire de Michel Diey:

C'est le départ en retraite de M. et Mme Henri GAUNIN, qui ont tenu la Brasserie pendant plus de 30 ans. Ils sont assis devant leur personnel

Commentaire de Claudie Hardouin:

Sur la photo n°1 à côté de monsieur Gaunin, c'est un fils Gueu qui était serveur chez eux et le 5ème en partant de la gauche un fils Monny il me semble.

Commentaire de JYves:

Sur la photo n° 1, de gauche à droite :
Monsieur Cecchi "Lolol" . Monsieur Gueu, Monsieur Gaunin  Guy, Monsieur Jeannot Philippe, les autres je ne les reconnais pas, par contre le dernier à droite avec la barbe est un autre fils Gaunin "Gégé".

Photo numéro 2 :

Des villages décorés pour les fêtes

Commentaire de Michel Diey:

Les mêmes derrière leur comptoir

Photo numéro 3 :

Des villages décorés pour les fêtes

(ne serait-ce pas le Père Caillet ,en spectateur de cette course de garçons de café ??)
Commentaire de Michel Diey:

Je ne pense pas qu'il y ait le père Caillet. A gauche Lucien Pastoret, le petit homme au centre, montrant du doigt, est Pierre Bienaimé, Henri Gaunin est de dos, à droite Georges Drezet qui vient de disparaître.


Photo numéro 4 :

Des villages décorés pour les fêtes

Commentaire de Michel Diey:

A l'Hôtel de la Côte d'Or, Lucien Pastoret découpe le gâteau devant Mme Thérèse Sordel et Michel Sordel

La suite au prochain numéro !

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #collection, #cuzin, #numero, #photo, #souvenirs

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Publié le 18 Mai 2009

Mon amie Sylvie a réalisé cette jolie vidéo,où elle nous montre les tableaux "Rossignol" que nous utilisions dans nos classes primaires pour faire les leçons de "langage"ou d'histoire...

Un peu de nostalgie ...qui n'a pas vu dans son école ces célèbres illustrations si pleines de réalisme et oserais-je le dire..de poésie ??

Je la place tout naturellement dans le chapitre "Châtillon s/S:l'Ecole d'autrefois",elle y a toute sa place...

Vidéo Youtube

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #autrefois, #ecole, #place, #rossignol, #souvenirs

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Publié le 2 Février 2009

Voici la suite des souvenirs de notre typographe...

Une belle photo de M.M.,prise dans l'atelier de "Châtillon-Presse" en 1974..

Ecoutons René:

Ici l’on voit Jean-Philippe Cuzin préparant l'habillage du cylindre avant impression.


Sur cette photo nous voyons des cordons sur des galets : ces cordons étaient en tissu et parfois s'usaient et finissaient par casser.


Là aussi on faisait appel à moi et c'était moi qui faisait la « petite main » ..


Une fois , M.Matrat ancien directeur de la Lyre avait été très intéressé de me voir manier l'aiguille et avait bien ri...

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #cordons, #faisait, #photo, #souvenirs, #typographe

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Publié le 2 Février 2009

Voici la dernière photo de M.M. ,représentant René,notre typographe occupé au collage des bandes-adresses du journal "Châtillon-Presse" !

M.M. a réalisé une superbe photo où l'on voit les mains de René en pleine action !!! Quelle dextérité...

Ecoutons encore ce dernier commenter cet ultime cliché:

Votre collaborateur en pleine action de mise sous bande.

Il est vrai, ce n'est pas pour me vanter j'avais une grande dextérité et tous ceux qui m'ont vu étaient surpris de la rapidité des mains et des doigts et bien souvent me demandaient de décomposer le geste.

Au pliage du journal, quand celui-ci se faisait encore à la main, c'était pareil le geste était très rapide, à l'époque nous n'avions pas d'arthrose dans les mains et les doigts.

Quand je vois l'état de l'atelier de cette époque et que je le compare avec celui que j'ai quitté en 1996, c'était un palace.

Que d'efforts et de progrès a apporté Mme Cuzin !

La casserole que nous voyons était en cuivre et servait à faire cuire la
colle le travail d'Odette Viard qui est sur le point d'être en retraite.

Le petit pot que nous apercevons c'était de la farine qui nous servait à
épaissir la colle si nous trouvions celle-ci un peu liquide.


Je voudrais dire encore merci à M.M. pour le don de ses photos,et pour les commentaires que René a faits pour le blog..

Tout cela étant des souvenirs Châtillonnais de grande valeur,ne croyez-vous pas ??

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #chatillonnais, #mains, #rene, #souvenirs, #typographe

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Publié le 16 Décembre 2008

(Photo où l’on voit de gauche à droite François Da Ros,René Drappier et Jean-Philippe Cuzin)

L’époque Cuzin vit de nombreuses transformations typographiques :

-L’abandon de la typographie courante,seule resta l’imprimerie en plomb pour les travaux de ville

-Les débuts de l’ancêtre la Typographe

-Le passage à la Linotype

-L’arrivée des ordinateurs dans les années 1980,les clavistes entrèrent en piste avec le montage sur film.

Que de chemin parcouru pour René Drappier,et à quelle vitesse !

La photo ci-dessus est tirée du site de François Da Ros qui collabora au journal Châtillonnais ,et qui travaille maintenant pour les éditions Anakatabase dont voici l’adresse internet :

http://www.anakatabase.com/index.htm

En consultant son site vous pourrez lire ses souvenirs de typographe Châtillonnais,et ses souvenirs d’enfant à Massingy !

(cliquer sur "Châtillon-Presse")

La suite...au prochain numéro !!

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #cuzin, #drappier, #journal, #site, #souvenirs

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Publié le 16 Novembre 2008

Mon grand-père reçut aussi la Croix de Guerre avec palmes,à titre posthume bien entendu.

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #croix, #grand-pere, #personnels, #recut, #souvenirs

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Publié le 16 Novembre 2008

Et pour ne pas l'oublier,ma grand-mère fit réaliser ce cadre que nous nous passons de génération en génération,exposé ,toujours présent devant notre regard.

N'oublions jamais ceux qui donnèrent leur vie pour préserver la nôtre.

Merci encore aux Amis du Châtillonnais pour leur superbe évocation de cette guerre sanglante.

Elle est encore visible aujourd'hui ,salle des Bénédictines de 14 à 18 heures.

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #generation, #personnels, #present, #souvenirs, #toujours

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Publié le 10 Juillet 2008

Les monuments...


Les Prussiens furent aussi nombreux à périr ce 19 Novembre 1870…

Ils furent 14 à perdre la vie.

L’armée d’occupation Allemande éleva un monument dans une concession de 15 mètres sur laquelle on transporta les pierres tombales des soldats.

La colonne fut surmontée d’un aigle.(il n'y est plus actuellement)

Les monuments...

Curieusement les deux monuments voisinent au cimetière Saint Jean…
Les combattants de 1870 sont-ils réconciliés pour l’éternité ?

Les monuments...

Si vous voulez en savoir plus,je recommande les excellents cahiers du Châtillonnais sur cette époque troublée et méconnue :

1870-1871 :La guerre oubliée dans le Châtillonnais par Michel diey N°151 (une mine !)

Souvenirs de Monsieur Achille Maître ancien Maire de Châtillon sur Seine

19 Novembre 1870 :La surprise de Châtillon (souvenirs d’un Franc-Tireur)

Compléments fournis par Monsieur Jean-Paul Blanchard : 

 Le 19 novembre 1870 au combat de Châtillon sur Seine des prussiens ont été tués, 14 sont morts, et 2 autres, les jours suivants, des suites de leurs blessures

Pour les prussiens, la ville était simplement une étape où ils laissaient leurs approvisionnements et surtout où ils avaient installé un hôpital de campagne dans lequel sont décédés environ 120 des leurs, de novembre 1870 à mars 1871. Une quarantaine (souvent des officiers supérieurs) furent exhumés à la fin de la guerre et rapatriés en Allemagne.

En 1876 de part la loi du 4 avril 1873, sur ordre du gouvernement français, les 84 corps allemands qui restaient, furent regroupés dans une concession acheté par la France et un monument fut élevé par une souscription allemande (je ne connais pas la date)

Une situation identique a été effectuée pour les 6 francs tireurs français tués le 19 novembre 1870

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #1870, #chatillonnais, #monuments, #novembre, #souvenirs

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Publié le 13 Juin 2008

(autographe de Kiki,(1929)à son éditeur et amant Henri Broca qu'elle appelait "Bébé")

Préfacés par Hemingway, censurés aux États-Unis en même temps que l'Ulysse de Joyce et publiés une première fois en 1929, le manuscrit de ces Souvenirs remanié en 38 avait disparu dans les années 50 avec son auteur.

Il est réapparu récemment, étiqueté de la mention " infiniment précieux ".

Précieux, le témoignage de Kiki, modèle et peintre dans le Montparnasse des années 20, l'est sans nul doute à travers ses anecdotes.

Avant de se mettre au travail, Foujita, dont


"l' accent japonais (...) lui interdit de prononcer les "r" ", inspectait ses modèles pour vérifier si elles hébergeaient des " molpions ".


Modigliani, l'homme aux

" trois maîtresses dont il n'arrivait pas à se dépêtrer (...) mangeait d'une main et de l'autre dessinait ".

Pour Kisling,

" très sensible sous une écorce rude ", toutes les filles s'appelaient " salope " et il l'accueillait d'un " magnifique coup de pied au cul " si elle arrivait en retard pour la pose.

Man Ray, Soutine, Desnos... la " grande famille d'affamés " se retrouvait dans les cafés de Montparnasse.

" C'est là que nous nous réunissons tous, là que s'échafaudent les grands espoirs "

écrit Kiki dans des élans de nostalgie à nous arracher des larmes, nous qui voyons arts et lettres désormais se produire sur les plateaux télévisés.

Mais qu'on ne se méprenne pas : ce n'est pas pour se prévaloir d'avoir fréquenté des célébrités qu'elle offre à chacun son chapitre mais plutôt pour remercier ces amis de ne l'avoir jamais laissée tomber.

Car l'égérie des Montparnos avait du coeur. Parfois un peu trop et au détriment de ces Souvenirs retrouvés.

" Si j'avais été un tout petit peu grue, qu'est-ce que je pouvais avoir !... Pouah ! Faire ça pour de l'argent !... Je suis restée la fille très sentimentale et pleine d'affection que j'ai dû comprimer toute ma jeunesse. "

Mais comment devient-on égérie ?

Bâtarde recueillie par sa grand-mère, Alice Prin quitte sa Bourgogne natale pour Paris où, à 13 ans, on lui confie son premier travail intéressant : relier le Kama-sutra.

Les belles images inspirent à ses " entre-cuisses des mouvements d'oiseau qui n'arrive pas à s'envoler " mais rendent la réalité amoureuse bien fade en comparaison, d'autant qu'une anomalie physiologique la prive longtemps de son dépucelage.

Une fois cet obstacle franchi, la faim et un goût certain pour l'art

" Poète, peintre ou théâtreux. En dehors de ces trois professions, je n'admettais aucun autre mortel "

la conduisent tout naturellement à devenir modèle, unique alternative à l'atelier ou au métier de " boniche " pour une jeune fille pauvre et déracinée.

Quand Alice devient Kiki. Kiki de Montparnasse parce que c'est là que tout se joue.

" Je vais la gueule au vent et fais ma visite à tous les bistros du coin "

La Rotonde, Le Dôme, La Coupole... Le Jockey, aussi, cabaret où elle entame une carrière de chanteuse quand les kilos l'obligent à se recycler.

Mais la fin des années vingt et la Grande crise sonnent bientôt le glas de cette terre de bohème intra-muros.

Tournées à Saint-Tropez et à Berlin, sa mère et son amant devenu fou meurent, drogues et alcools, l'étoile de Kiki commence à pâlir.

Les surréalistes, " ces grands gamins crédules ", prennent possession des lieux.

La cote des peintres réunis sous l'appellation École de Paris s'envole.

On retape les cafés.

" Montparnasse ne se signale pas spécialement "

conclut Kiki en épitaphe.

Fin d'une époque, début d'une légende.


(préface de Serge Plantureux)



(Souvenirs retrouvés
Kiki de Montparnasse
Éditions José Corti)

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Rédigé par Christaldesaintmarc

Publié dans #annees, #kiki, #montparnasse, #retrouves, #souvenirs

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