Publié le 11 Décembre 2018

Voici ce que disait Dominique Masson de son aïeul Jean Lagorgette , lors de l'exposition sur la fin du conflit de 14-18:

Louis, Jules, Jean-Baptiste dit Jean Lagorgette naquit en 1881 et disparut en 1942.

C'était un homme engagé et passionné.

Agrégé de Droit, il a œuvré pour la sociologie, la paix et le pacifisme, l'archéologie, l'aviation, la botanique, la géologie, l'hydrologie.

Il était de ceux qui ont permis l'ouverture du premier champ d'aviation, la station d'aéroplanes au lieu dit "le Bec à Vent".

Il est l'inventeur du site de Vix.

Cette salle a été principalement renseignée par ses documents provenant de son travail pour le Camp Retranché de Paris, CRP

Germanophile,, il est encore reconnu aujourd'hui pour sa compétence sur l'aviation Allemande de cette période.

J'ai demandé à Dominique Masson s'il possédait des photos de Jean Lagorgette et s'il voulait bien me les donner pour les publier sur le blog.

Il a accepté très gentiment, etje l'en remercie donc vivement.

 La première photo a été prise probablement à Paris, au poste de guet de Paris, au printemps 1916.

De gauche à droite :Jean Lagorgette (avec une grande barbe), le soldat Haberkorn (dans le civil : boursier) , le planton Tambouret , le sergent Lefebvre (dans le civil : antiquaire) , le soldat Guilbert, dactylo (dans le civil : secrétaire à Châtillon-Commentry) .

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La seconde photo nous montre Jean Lagorgette lors de fouilles, peut-être à Vertault ou à Vix :

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La troisième est un dessin humoristique de Pierre Garnier !

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La quatrième photo a été découverte par Jean Millot qui l'a présentée lors de sa conférence sur Poinçon les Larrey, Jean Lagorgette est en compagnie de Maurice Moisson, l'autre inventeur du site de Vix.

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

Au sujet de Jean Lagorgette, un article avait déjà été publié sur ce blog, avec des documents fournis par Michel Diey, le voici :

http://www.christaldesaintmarc.com/un-enfant-de-chatillon-sur-seine-jean-lagorgette-a501515

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 11 Décembre 2018

Voici ce que disait Dominique Masson de son aïeul Jean Lagorgette , lors de l'exposition sur la fin du conflit de 14-18:

Louis, Jules, Jean-Baptiste dit Jean Lagorgette naquit en 1881 et disparut en 1942.

C'était un homme engagé et passionné.

Agrégé de Droit, il a œuvré pour la sociologie, la paix et le pacifisme, l'archéologie, l'aviation, la botanique, la géologie, l'hydrologie.

Il était de ceux qui ont permis l'ouverture du premier champ d'aviation, la station d'aéroplanes au lieu dit "le Bec à Vent".

Il est l'inventeur du site de Vix.

Cette salle a été principalement renseignée par ses documents provenant de son travail pour le Camp Retranché de Paris, CRP

Germanophile,, il est encore reconnu aujourd'hui pour sa compétence sur l'aviation Allemande de cette période.

J'ai demandé à Dominique Masson s'il possédait des photos de Jean Lagorgette et s'il voulait bien me les donner pour les publier sur le blog.

Il a accepté très gentiment, etje l'en remercie donc vivement.

 La première photo a été prise probablement à Paris, au poste de guet de Paris, au printemps 1916.

De gauche à droite :Jean Lagorgette (avec une grande barbe), le soldat Haberkorn (dans le civil : boursier) , le planton Tambouret , le sergent Lefebvre (dans le civil : antiquaire) , le soldat Guilbert, dactylo (dans le civil : secrétaire à Châtillon-Commentry) .

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La seconde photo nous montre Jean Lagorgette lors de fouilles, peut-être à Vertault ou à Vix :

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La troisième est un dessin humoristique de Pierre Garnier !

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La quatrième photo a été découverte par Jean Millot qui l'a présentée lors de sa conférence sur Poinçon les Larrey, Jean Lagorgette est en compagnie de Maurice Moisson, l'autre inventeur du site de Vix.

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

Au sujet de Jean Lagorgette, un article avait déjà été publié sur ce blog, avec des documents fournis par Michel Diey, le voici :

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Voici ce que disait Dominique Masson de son aïeul Jean Lagorgette , lors de l'exposition sur la fin du conflit de 14-18:

Louis, Jules, Jean-Baptiste dit Jean Lagorgette naquit en 1881 et disparut en 1942.

C'était un homme engagé et passionné.

Agrégé de Droit, il a œuvré pour la sociologie, la paix et le pacifisme, l'archéologie, l'aviation, la botanique, la géologie, l'hydrologie.

Il était de ceux qui ont permis l'ouverture du premier champ d'aviation, la station d'aéroplanes au lieu dit "le Bec à Vent".

Il est l'inventeur du site de Vix.

Cette salle a été principalement renseignée par ses documents provenant de son travail pour le Camp Retranché de Paris, CRP

Germanophile,, il est encore reconnu aujourd'hui pour sa compétence sur l'aviation Allemande de cette période.

J'ai demandé à Dominique Masson s'il possédait des photos de Jean Lagorgette et s'il voulait bien me les donner pour les publier sur le blog.

Il a accepté très gentiment, etje l'en remercie donc vivement.

 La première photo a été prise probablement à Paris, au poste de guet de Paris, au printemps 1916.

De gauche à droite :Jean Lagorgette (avec une grande barbe), le soldat Haberkorn (dans le civil : boursier) , le planton Tambouret , le sergent Lefebvre (dans le civil : antiquaire) , le soldat Guilbert, dactylo (dans le civil : secrétaire à Châtillon-Commentry) .

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La seconde photo nous montre Jean Lagorgette lors de fouilles, peut-être à Vertault ou à Vix :

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La troisième est un dessin humoristique de Pierre Garnier !

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La quatrième photo a été découverte par Jean Millot qui l'a présentée lors de sa conférence sur Poinçon les Larrey, Jean Lagorgette est en compagnie de Maurice Moisson, l'autre inventeur du site de Vix.

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

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Voici ce que disait Dominique Masson de son aïeul Jean Lagorgette , lors de l'exposition sur la fin du conflit de 14-18:

Louis, Jules, Jean-Baptiste dit Jean Lagorgette naquit en 1881 et disparut en 1942.

C'était un homme engagé et passionné.

Agrégé de Droit, il a œuvré pour la sociologie, la paix et le pacifisme, l'archéologie, l'aviation, la botanique, la géologie, l'hydrologie.

Il était de ceux qui ont permis l'ouverture du premier champ d'aviation, la station d'aéroplanes au lieu dit "le Bec à Vent".

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Germanophile,, il est encore reconnu aujourd'hui pour sa compétence sur l'aviation Allemande de cette période.

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Il a accepté très gentiment, etje l'en remercie donc vivement.

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De gauche à droite :Jean Lagorgette (avec une grande barbe), le soldat Haberkorn (dans le civil : boursier) , le planton Tambouret , le sergent Lefebvre (dans le civil : antiquaire) , le soldat Guilbert, dactylo (dans le civil : secrétaire à Châtillon-Commentry) .

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La seconde photo nous montre Jean Lagorgette lors de fouilles, peut-être à Vertault ou à Vix :

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La troisième est un dessin humoristique de Pierre Garnier !

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La quatrième photo a été découverte par Jean Millot qui l'a présentée lors de sa conférence sur Poinçon les Larrey, Jean Lagorgette est en compagnie de Maurice Moisson, l'autre inventeur du site de Vix.

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

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Voici ce que disait Dominique Masson de son aïeul Jean Lagorgette , lors de l'exposition sur la fin du conflit de 14-18:

Louis, Jules, Jean-Baptiste dit Jean Lagorgette naquit en 1881 et disparut en 1942.

C'était un homme engagé et passionné.

Agrégé de Droit, il a œuvré pour la sociologie, la paix et le pacifisme, l'archéologie, l'aviation, la botanique, la géologie, l'hydrologie.

Il était de ceux qui ont permis l'ouverture du premier champ d'aviation, la station d'aéroplanes au lieu dit "le Bec à Vent".

Il est l'inventeur du site de Vix.

Cette salle a été principalement renseignée par ses documents provenant de son travail pour le Camp Retranché de Paris, CRP

Germanophile,, il est encore reconnu aujourd'hui pour sa compétence sur l'aviation Allemande de cette période.

J'ai demandé à Dominique Masson s'il possédait des photos de Jean Lagorgette et s'il voulait bien me les donner pour les publier sur le blog.

Il a accepté très gentiment, etje l'en remercie donc vivement.

 La première photo a été prise probablement à Paris, au poste de guet de Paris, au printemps 1916.

De gauche à droite :Jean Lagorgette (avec une grande barbe), le soldat Haberkorn (dans le civil : boursier) , le planton Tambouret , le sergent Lefebvre (dans le civil : antiquaire) , le soldat Guilbert, dactylo (dans le civil : secrétaire à Châtillon-Commentry) .

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La seconde photo nous montre Jean Lagorgette lors de fouilles, peut-être à Vertault ou à Vix :

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La troisième est un dessin humoristique de Pierre Garnier !

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

La quatrième photo a été découverte par Jean Millot qui l'a présentée lors de sa conférence sur Poinçon les Larrey, Jean Lagorgette est en compagnie de Maurice Moisson, l'autre inventeur du site de Vix.

Jean Lagorgette a été évoqué  de bien belle façon lors de l'exposition sur la guerre 1914-1918, pour ses travaux sur l'aéronautique

Au sujet de Jean Lagorgette, un article avait déjà été publié sur ce blog, avec des documents fournis par Michel Diey, le voici :

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Publié le 11 Décembre 2018

Meeting international de  Roanne

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

 Alphajet de la Patrouille de France et l'alphajet de l'école de Tour :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

 Falcon 50 de la marine

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Le Tigre :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

 Danielle enchaîne les figures acrobatiques sur les ailes de l'avion :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Les planeurs :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Un moment de poésie avec Christian Moulec et ses oies :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Hélicoptère Aérospatiale AS 565 :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Belle démonstration de sauvetage :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

L'hélicoptère L HG 120 :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Les pilotes de la Patrouille de France revêtent le pantalon anti G :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

 Beau croisement du box arrière  :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Après 25 minutes de démonstration les mécaniciens vérifient chaque Alphajet :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Le Rafale :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Fin d'un très beau meeting :

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Le meeting de Roanne vu par Nicole Prévost

Un grand merci aux organisateurs et bravo aux chevaliers du ciel

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 11 Décembre 2018

L'association "Un jour, une église" a proposé, durant l'été 2018, la visite d'une série impressionnante d'églises du Châtillonnais.

Je n'ai pu en voir que quelques unes que je vous montrerai au cours de l'hiver 2018-2019.

Aujourd'hui je vous présente l'église Saint-Didier de Montliot.

Le début de la construction de l'église Saint-Didier a eu lieu en 1676, s'est poursuivie ensuite du XVIIème au XVIIIème siècles.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

C'est  madame Fleurot, guide bénévole, qui s'est proposée à "Un jour une église", pour faire connaître l'église de son village.

Mais , avant de nous faire entrer dans l'église, elle a tenu à nous montrer les dégâts occasionnés dans l'ancien  cimetière par la tornade violente de juin 2013 : de nombreux monuments funéraires se sont effondrés.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Notre guide nous a fait également découvrir cette mystérieuse "pierre des morts" chargée de signes énigmatiques.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

J'avais déjà présenté cette étrange pierre sur le blog :

http://www.christaldesaintmarc.com/la-mysterieuse-dalle-de-montliot-a505180

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église Saint-Didier est en forme de croix latine, elle possède un chœur et deux chapelles latérales.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Fonts baptismaux du XVIIème siècle :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Deux bénitiers du XVIème siècle :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Le Christ, derrière l'autel, date du XVIIIème siècle :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Ce Christ serait plus ancien que le précédent, du XVIème sans doute.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Une croix de procession :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

La chapelle de gauche, sur l'autel un tabernacle du XVIIème siècle.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

La chapelle de droite possède un haut-relief représentant la Cène....

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Ce haut-relief a été réalisé au 19e siècle, il s'agit peut-être d'un devant d'autel, sans doute la copie de l'original.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

et des statues :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

l'Immaculée Conception :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

une sainte :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Sur les piliers on remarque des sculptures ....

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Dans les vitraux modernes, on a inclus des fragments de vitraux anciens.

 

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Cet écu armorié présenté dans un chapeau de triomphe est celui de Michel Boudet, évêque de Langres de 1511 à 1529.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

 

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Les armoiries de la famille Dubois d'Aizy (XVIème siècle)

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Un emblème de confrérie :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Le vitrail sud présente en son centre une croix. Dans la partie supérieure, on distingue un motif quadrilobé, et sur les côtés une enfilade de colonnes créant un effet de perspective.

L'église de Montliot

Une belle piscine où le prêtre procédait à ses ablutions :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église Saint-Didier de Montliot possède trois dalles funéraires.

Cette dalle est celle de Louis Berthault, seigneur des châteaux de Courcelles et Commissaire des guerres, mort le 17 août 1680

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Cette autre dalle  est celle d'un chevalier, capitaine du Roi, non identifié, mort le 5 mai 1585

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

La dernière est malheureusement illisible.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Au plafond de l'église un texte mystérieux...

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

et une jolie clé de voûte :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Le confessionnal est du XIXème siècle.

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

Plusieurs très jolis lustres éclairent l'église :

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

L'église de Montliot et la chapelle de Courcelles-Les-Rangs

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Publié le 10 Décembre 2018

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle pour les tout petits, proposé par le TGB, salle Kiki de Montparnasse

Lors de la séance du mercredi 19 décembre, la Directrice du Théâtre Gaston Bernard, Catherine Miraton,  est venue, avant le spectacle et  en compagnie du metteur en scène, saluer les enfants et leurs parents présents et leur a expliqué que le théâtre ne s'adresse pas qu'aux plus grands !

En effet, les élèves du cycle 1 du territoire sont venus voir, avec un très grand plaisir, le délicieux "A l'ombre d'un nuage" les lundi 17, mardi 18, et vendredi 21 décembre 2018, salle Kiki de Montparnasse.

Mais la séance du mercredi 19  décembre, à laquelle j'ai assisté, s'adressait aux enfants non scolarisés et même aux tout-petits à partir de 18 mois !

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Après cette introduction, les spectateurs sont entrés dans un espace accueillant bercé d'une musique douce et éclairé par une lumière chaleureuse. 

Deux grandes pages blanches se sont entrouvertes et ont laissé  apparaître un souriant conteur qui tenait dans ses mains de très jolis nuages.

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Les nuages  ont cherché à prendre leur envol....

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Le conteur s'est baladé au gré des nuages, du vent, des montagnes et des ruisseaux...

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Une douce pluie est tombée du nuage...

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

et cette  pluie a fait le bonheur des arbres , des torrents et des lacs.

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Grâce aux nuages et la pluie qu'ils leur ont offert, les arbres ont fleuri...

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Un bel  instant de poésie tout en couleur pour les tout-petits, beaucoup apprécié des enfants...mais aussi des parents !

Le conteur a été très applaudi.

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Un joli échange a suivi entre les spectateurs et le conteur, c'était bien sympathique !

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

N'est-il pas adorable ce décor ??

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

En co-réalisation avec la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais.

Mise en scène : Jean-Philippe Naas

Interprète : Lionel Chenail

Scénographie : Mathias Baudry

Images : Vincent Godeau

Lumières : Nathalie Perrier

Musique : Julie Rey

 

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 9 Décembre 2018

Le pèlerinage de saint Renobert à Romprey

« D’un aspect extérieur fruste, ce petit oratoire attire à peine l’attention du voyageur qui traverse le hameau isolé…Et pourtant, s’il est un édifice qui mériterait avant bien d’autres d’être classé comme monument historique, c’est bien celui-là.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(La chapelle de Romprey, photo D Masson)

Les premières origines de la chapelle de Romprey semblent se perdre dans la demi-nuit de la légende…Et voici celle qui s’est transmise de père en fils dans notre hameau : saint Renobert qui, au septième siècle, était évêque de Bayeux, prit une part particulièrement brillante au concile de Reims.

Le pape Vitalien, informé de l’influence de ses vertus, chargea son légat de lui en témoigner sa satisfaction auprès de saint Valbert, compagnon du roi Dagobert. Saint Renobert se rendit à Luxeuil pour voir saint Valbert ; il traversa la Champagne, passa à Romprey dont les habitants, plus nombreux qu’aujourd’hui, lui firent grand accueil ; il y fit édifier une chapelle en quelques jours.

Saint Renobert prêcha souvent avec une onction toute-puissante, excita beaucoup de ferveur, ramena nombre d’égarés et gagna tous les cœurs. Romprey était alors peu cultivé et les habitants laissaient errer leurs troupeaux dans les bois, où ils étaient fréquemment décimés par les loups.

Tant que le saint fut là, aucun de ces animaux féroces ne parut. Saint Renobert prêcha à la Croix des Tilleuls. Des maladies violentes contre lesquelles les médecins étaient impuissants furent guéries par lui ; il apaisait les querelles, faisait rentrer dans le devoir ceux qui s’en écartaient et rendait obéissants les plus révoltés. Lors des invasions des Normands, qui détruisaient les églises, les reliques de saint Renobert furent transportées de Bayeux à Besançon : on passa alors par Romprey ; on entreposa quelques jours le corps du saint dans la petite chapelle qu’il avait édifiée.

Beaucoup de conversions s’opérèrent pendant ce temps. Mais, naturellement, de cette première chapelle qui aurait été érigée au septième siècle, il ne reste aujourd’hui pas le moindre vestige. Du fait que la légende nous parle de quelques jours seulement employés pour la construction de la chapelle, on peut, avec beaucoup de vraisemblance, supposer que l’édifice aurait été alors construit en bois.

Antérieurement au quinzième siècle, on sait que, dans nos régions, les constructions rurales de faible importance étaient rarement bâties en pierre et tombaient facilement en ruines.

Vers 1492, Edme Régnier, par son mariage avec Jeanne de la Ferté, était devenu seigneur de Romprey. Le domaine était peu important au début, mais le nouveau seigneur l’avait considérablement agrandi ; il avait construit un petit château et voulut y adjoindre une chapelle.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(Le château de Romprey, photo D Masson)

Mais, pour l’édification de cette dernière, l’autorisation du suzerain, en l’occurrence le grand prieur de Champagne, était nécessaire. Frère Hélie du Boys, grand prieur, au cours de la réunion du chapitre provincial de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, tenu à Voulaines le 16 juin 1500, autorise Edme Régnier à construire pour sa dévotion une chapelle au lieu de Romprey. 

Il est très possible que ce soit sur l’emplacement où la tradition situait la chapelle primitive que celle qui nous occupe aujourd’hui ait été construite.  

Extérieurement, l’édifice est excessivement simple : rectangulaire de 9 mètres sur 6. Le pignon antérieur est surmonté d’un campanile contenant une petite cloche. La cloche ancienne (hors d’usage sans doute) fut remplacée, en 1757, par le seigneur de Romprey, qui était alors le comte Guy de Chastenay. 

                                                                                                                                    Le 31 août 1757, le curé de Bure, messire Claude Maillard, assisté de messire Claude Roger, prêtre chanoine de l’église collégiale de Saint-Symphorien d’Epoisses, avait procédé à la bénédiction de la cloche aux noms de saint Guy, saint Renobert et saint Louis. La cloche porte l’inscription suivante : l’an 1757, j’ai été bénite et nommée Louise par M. Guy de Chastenay, capitaine au régiment de Marbeuf-Dragons, chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis, et par demoiselle Louise de Chastenay, demoiselle d’Eschallot.

                                                                                                 La porte d’entrée de la chapelle est ornée de la classique sculpture en accolade du quinzième siècle.            Devant la chapelle se trouve une petite esplanade sur laquelle on peut encore voir de gros pavés inégaux : c’était, disent les vieux documents, la place accoustumée à faire acte de justice.                   La chapelle reçoit le jour par deux fenêtres, l’une en ogive au fond, l’autre en plein cintre du côté de l’épître.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(La porte d'entrée de la chapelle, le clocheton et sa cloche, photo D Masson)

Si l’extérieur n’offre d’autre intérêt particulier que sa très simple facture antique, l’intérieur, par contre, est des plus curieux.   

                                                                                       En entrant, les regards du visiteur sont immédiatement frappés par les peintures murales du chœur.

Si l’extérieur n’offre d’autre intérêt particulier que sa très simple facture antique, l’intérieur, par contre, est des plus curieux.                                                                                                     

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(Les fresques du chœur inscrites au titre des Monuments Historiques en 1996, photo D Masson)

Au dix-septième siècle, elles avaient été recouvertes d’un badigeon, puis un grand retable de boiseries avait masqué le tout. Les choses en étaient là, lorsque, en juillet 1933, lors des travaux nécessaires à l’inhumation définitive de Mme la vicomtesse de Chazelle, on fut amené à démonter provisoirement la partie gauche du retable.

On découvrit une première peinture représentant le fondateur de la chapelle, Edme Régnier, facilement identifiable à ses armoiries figurées au-dessus et en avant de lui.

Il est représenté un petit lutrin devant lui, un livre ouvert ; derrière lui, son fils, Bonnaventure.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

  Edme Régnier (blason : d’azur, à trois palmes d’or, les deux du chef adossées) et sa femme, Jeanne de la Ferté (blason : de sable à trois jumelles d’argent, à la bordure de même) Photo D.Masson

 Puis, au-dessus, on apercevait le bas de la robe d’un personnage dont toute la partie supérieure était masquée par le badigeon. On tenta donc de dégager les parties occultées.

L’ange Gabriel fut mis à jour ; drapé dans un costume multicolore, il tient un sceptre à la main ; devant lui, un phylactère portant les premiers mots de la salutation angélique.

Devant ces résultats encourageants, la partie droite du retable fut enlevée à son tour. Le lessivage fit alors apparaître la Vierge ; elle est debout derrière une sellette sur laquelle repose un livre ouvert ; en avant d’elle, une énorme gerbe de lis dans un vase.

Dominant l’Annonciation, Dieu le Père dirige sur la Vierge un faisceau de rayons. L’expression de l’ange est pleine de majesté et de déférence à la fois. Celle de la Vierge d’une remarquable douceur et pureté. Au-dessous de la Vierge, faisant vis-à-vis à Edme Régnier, Jeanne de la Ferté, son épouse, au-dessus et en avant d’elle, l’écusson à ses armes ; derrière elle, sa fille.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(Le retable peint, photo D Masson)

Enfin, directement au-dessus de l’autel, une autre scène : le Christ en croix ; à sa gauche, la Vierge, puis deux personnages : le premier tient un pichet dont il semble verser le contenu dans un hanap que tient le second. A droite de la croix, saint Jean, puis un martyr nu, percé de flèches et attaché à un arbre : saint Sébastien, dira-t-on ?

Nous en doutons : il est bien plus vraisemblable que le fondateur de la chapelle ait tenu à faire représenter saint Edme, son saint patron, qui avait subi un martyre identique. Le dernier personnage à droite est sainte Barbe. Cette dernière scène est malheureusement moins bien conservée que les précédentes.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(saint Nicolas et les croix de consécration, photo D Masson)

On voit encore sur les murs douze marques de consécration réparties sur tout le pourtour.

Notons dans le chœur, du côté de l’épître, une petite crédence ou piscine du quinzième siècle, en forme de niche. Mentionnons encore un bénitier, qui est à l’entrée ; il semble que l’on ait utilisé pour le faire une petite colonne d’une époque très antérieure au quinzième siècle.                                           

Dans un reliquaire, on conserve un fragment des reliques de saint Renobert. Deux vieilles statues en bois du quinzième siècle représentent, l’une saint Renobert, l’autre saint Gond… 

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(saint Renobert, photo D Masson)

       Outre Mme la vicomtesse de Chazelle, plusieurs des anciens seigneurs sont inhumés dans la chapelle. Ce sont : Marie le Compasseur, mère de Jean Fleutelot, morte le 4 septembre 1668 ; Jean Fleutelot, 1672 ; Jeanne Clopin, épouse du précédent, 1704 ; Claudine Fleutelot, 2 décembre 1718 ; Jean Thibaut, 5 mai 1738 ; Guy de Chastenay, 1er floréal an IX (1801). Peut-être d’autres encore : malheureusement on ne peut déterminer l’emplacement du corps de chacun.                                            La fête de saint Renobert (24 octobre) se célébra en grande pompe jusque vers 1912 : à l’issue de la grand’messe, le prêtre procédait à la bénédiction des troupeaux que l’on faisait défiler devant lui. Il bénissait ensuite les semences qui lui étaient présentées.                                                   Hélas ! aujourd’hui, à la place des foules de jadis, seuls quelques fidèles se réunissent. Ceux-là qui ne veulent pas que les belles traditions du passé tombent dans l’oubli, mais qu’elles continuent à se perpétuer toujours vivantes de générations en générations ».

                                                          Vicomte de Chazelle ; La Vie diocésaine, 17 août 1935

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(La bénédiction des semences et du bétail par le père Nkama, photo D Masson)

La première mention de Romprey date de 1219, date à laquelle l’évêque de Langres, Guillaume de Joinville, notifie que Thomas de Nogent, chevalier, sa femme et son fils, ont engagé aux templiers de Bure leurs parts de dîmes sur les terres de Bure, Terrefondrée et Romprey.

Mais, bien que seigneurs de Bure, les templiers n’étaient pas les seuls détenteurs de terres à Romprey. Il existait également des seigneurs laïcs ; le premier connu semble être Barthélémy de Billy, vers 1300 ; en 1376, on trouve Jean Davon et Jaquot d’Avellanges, puis, en 1380, le même à côté de Jean de Rochefort.

Au milieu du XVe siècle, c’est Guyot de la Ferté, notaire royal et coseigneur de Besançon, qui est seigneur de Monnoy et Romprey ; de son mariage avec Catherine, il aura Guillaume, conseiller du duc Charles en 1472, dont sera issue Jeanne Catherine, qui héritera de Romprey et l’amènera, par son mariage, vers 1490, à Edme Régnier.

C’est lui qui aurait fait construire alors un château à Romprey, ainsi que la chapelle, en 1500, et réunit plusieurs portions de la seigneurie en 1513, car il y eut plusieurs autres seigneurs sur ces terres ; il fut lieutenant général du bailliage de la Montagne de 1505 à 1540.                                                                                                            A la fin du XVIe siècle, par mariage, la seigneurie passa aux Fleutelot puis, à la fin du XVIIe siècle, toujours par mariage, aux Chastenay.

Guy, né à Echalot le 7 septembre 1716, seigneur de Romprey, d’Echalot et de Charmoilles, racheta, le 22 frimaire an V (12 décembre 1796), pour 3800,66 livres, des bâtiments, ainsi que 8,94 ha de terres et 3,22 ha de prés, lors de la vente des biens des Hospitaliers ou ordre de Malte de Bure.

Décédé le premier floréal an IX, sans enfants, le château fut racheté par Charles-Marguerite Simon de Calvi et, par mariages, il passa aux Dupré de Boulois, puis aux Perrot de Chazelle.

Henry Marie Joseph Albéric, né à Flée le 29 août 1891, élève à Saint-Cyr où il fut un ami de Charles de Gaulle, fut blessé durant la première guerre et, lors d’un séjour à l’hôpital, s’éprit de Juliette Vernerey, qu’il épousa, ce qui ne fut pas du goût de sa famille. Juliette décéda en 1933 et, en hommage à celle-ci, il composa un poème, en octobre 1933 :                                                                                                  

Ces lignes sont pour les amis de celle que je pleure                                                                

Selon sa volonté dernière, elle repose dans cette chapelle                                                             

Qu’elle affectionnait beaucoup.   

Cet antique oratoire est à présent pour moi un très cher reliquaire                                             

Et le seul but de ma vie brisée aujourd’hui                                                                                

Est d’en être le gardien fidèle.                                                                                                   

Amis, lorsqu’à mon tour la mort viendra me prendre,                                                                    

 Ne me plaignez point, ne me pleurez pas                                                                                     

Que Louise la petite cloche de la chapelle                                                                                

 Ne sonne point alors de glas funèbre 

Mais au contraire son plus joyeux carillon,                                                                                   

Ma mort ne sera pour moi que la fin de l’exil,                                                                                

 Ce sera pour moi un jour de fête,                                                                                                    

Le dernier, le plus grand, 

                                                                                                     Puisque je m’en irai retrouver pour toujours                                                                           Celle que j’aimais tant. 

                                                                                                           Sans enfants, Henry mourra le 15 décembre 1980 à Aisy-sous-Thil.

Le château passera alors à la famille Prouvost, descendants de riches marchands lainiers du Nord au XIXe siècle, et ceux-ci ont voulu continuer à perpétuer la tradition de la fête de saint Renobert, célébrée le dernier dimanche d’octobre.                                                                            Après la messe dite dans la chapelle par le père Amédée Nkama, suivi d’un magnifique Salve Régina, les enfants de Christian et Brigitte Prouvost ont accueilli les pèlerins dans la grande salle du château.

 

                                        Dominique Masson

 

 

 

 

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 9 Décembre 2018

Zen et Zooau magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Marylène Lavey qui a créé une association nommée Zen et Zoo, se trouvait samedi 8 décembre à l'intérieur du magasin Aquar'Aile de Sainte Colombe sur Seine, pour nous présenter ses petits pensionnaires et pour recueillir des dons en nature destinés les nourrir ou à participer à leur bien-être.

L' association Zen et Zoo propose des Activités Assistées par l'Animal à but Thérapeutique, organisées  à partie de projets individualisés au service d'un public fragilisé par la vie, la maladie ou le handicap qu'il soit enfant, adulte ou personne âgée.

Zen et Zoo se déplace avec ses adorables animaux : cochons d'Inde, lapins, chiens, hamster, poules, chinchilla etc... dans les maisons de retraite, les écoles...

Nous avons pu en voir quelques uns, les caresser, les admirer au rayon animalerie du magasin Aquar'Aile .

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Quel adorable trio !

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Le hamster dormait dans sa cage mais il s'est réveillé pour nous permettre de l'admirer...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Qu'il a grandi le superbe berger Shetland de Marylène !

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Le voici l'an dernier :

Zen et Zoo au magasin Aquar'Aile de Sainte Colombe sur Seine...

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