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"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Publié le par Christaldesaintmarc

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle pour les tout petits, proposé par le TGB, salle Kiki de Montparnasse

Lors de la séance du mercredi 19 décembre, la Directrice du Théâtre Gaston Bernard, Catherine Miraton,  est venue, avant le spectacle et  en compagnie du metteur en scène, saluer les enfants et leurs parents présents et leur a expliqué que le théâtre ne s'adresse pas qu'aux plus grands !

En effet, les élèves du cycle 1 du territoire sont venus voir, avec un très grand plaisir, le délicieux "A l'ombre d'un nuage" les lundi 17, mardi 18, et vendredi 21 décembre 2018, salle Kiki de Montparnasse.

Mais la séance du mercredi 19  décembre, à laquelle j'ai assisté, s'adressait aux enfants non scolarisés et même aux tout-petits à partir de 18 mois !

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Après cette introduction, les spectateurs sont entrés dans un espace accueillant bercé d'une musique douce et éclairé par une lumière chaleureuse. 

Deux grandes pages blanches se sont entrouvertes et ont laissé  apparaître un souriant conteur qui tenait dans ses mains de très jolis nuages.

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Les nuages  ont cherché à prendre leur envol....

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Le conteur s'est baladé au gré des nuages, du vent, des montagnes et des ruisseaux...

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Une douce pluie est tombée du nuage...

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

et cette  pluie a fait le bonheur des arbres , des torrents et des lacs.

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Grâce aux nuages et la pluie qu'ils leur ont offert, les arbres ont fleuri...

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Un bel  instant de poésie tout en couleur pour les tout-petits, beaucoup apprécié des enfants...mais aussi des parents !

Le conteur a été très applaudi.

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

Un joli échange a suivi entre les spectateurs et le conteur, c'était bien sympathique !

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

N'est-il pas adorable ce décor ??

"A l'ombre d'un nuage", un spectacle qui a ravi les tout petits, a été présenté salle Kiki de Montparnasse

En co-réalisation avec la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais.

Mise en scène : Jean-Philippe Naas

Interprète : Lionel Chenail

Scénographie : Mathias Baudry

Images : Vincent Godeau

Lumières : Nathalie Perrier

Musique : Julie Rey

 

 

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Le pèlerinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

Publié le par Christaldesaintmarc

Le pèlerinage de saint Renobert à Romprey

« D’un aspect extérieur fruste, ce petit oratoire attire à peine l’attention du voyageur qui traverse le hameau isolé…Et pourtant, s’il est un édifice qui mériterait avant bien d’autres d’être classé comme monument historique, c’est bien celui-là.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(La chapelle de Romprey, photo D Masson)

Les premières origines de la chapelle de Romprey semblent se perdre dans la demi-nuit de la légende…Et voici celle qui s’est transmise de père en fils dans notre hameau : saint Renobert qui, au septième siècle, était évêque de Bayeux, prit une part particulièrement brillante au concile de Reims.

Le pape Vitalien, informé de l’influence de ses vertus, chargea son légat de lui en témoigner sa satisfaction auprès de saint Valbert, compagnon du roi Dagobert. Saint Renobert se rendit à Luxeuil pour voir saint Valbert ; il traversa la Champagne, passa à Romprey dont les habitants, plus nombreux qu’aujourd’hui, lui firent grand accueil ; il y fit édifier une chapelle en quelques jours.

Saint Renobert prêcha souvent avec une onction toute-puissante, excita beaucoup de ferveur, ramena nombre d’égarés et gagna tous les cœurs. Romprey était alors peu cultivé et les habitants laissaient errer leurs troupeaux dans les bois, où ils étaient fréquemment décimés par les loups.

Tant que le saint fut là, aucun de ces animaux féroces ne parut. Saint Renobert prêcha à la Croix des Tilleuls. Des maladies violentes contre lesquelles les médecins étaient impuissants furent guéries par lui ; il apaisait les querelles, faisait rentrer dans le devoir ceux qui s’en écartaient et rendait obéissants les plus révoltés. Lors des invasions des Normands, qui détruisaient les églises, les reliques de saint Renobert furent transportées de Bayeux à Besançon : on passa alors par Romprey ; on entreposa quelques jours le corps du saint dans la petite chapelle qu’il avait édifiée.

Beaucoup de conversions s’opérèrent pendant ce temps. Mais, naturellement, de cette première chapelle qui aurait été érigée au septième siècle, il ne reste aujourd’hui pas le moindre vestige. Du fait que la légende nous parle de quelques jours seulement employés pour la construction de la chapelle, on peut, avec beaucoup de vraisemblance, supposer que l’édifice aurait été alors construit en bois.

Antérieurement au quinzième siècle, on sait que, dans nos régions, les constructions rurales de faible importance étaient rarement bâties en pierre et tombaient facilement en ruines.

Vers 1492, Edme Régnier, par son mariage avec Jeanne de la Ferté, était devenu seigneur de Romprey. Le domaine était peu important au début, mais le nouveau seigneur l’avait considérablement agrandi ; il avait construit un petit château et voulut y adjoindre une chapelle.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(Le château de Romprey, photo D Masson)

Mais, pour l’édification de cette dernière, l’autorisation du suzerain, en l’occurrence le grand prieur de Champagne, était nécessaire. Frère Hélie du Boys, grand prieur, au cours de la réunion du chapitre provincial de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem, tenu à Voulaines le 16 juin 1500, autorise Edme Régnier à construire pour sa dévotion une chapelle au lieu de Romprey. 

Il est très possible que ce soit sur l’emplacement où la tradition situait la chapelle primitive que celle qui nous occupe aujourd’hui ait été construite.  

Extérieurement, l’édifice est excessivement simple : rectangulaire de 9 mètres sur 6. Le pignon antérieur est surmonté d’un campanile contenant une petite cloche. La cloche ancienne (hors d’usage sans doute) fut remplacée, en 1757, par le seigneur de Romprey, qui était alors le comte Guy de Chastenay. 

                                                                                                                                    Le 31 août 1757, le curé de Bure, messire Claude Maillard, assisté de messire Claude Roger, prêtre chanoine de l’église collégiale de Saint-Symphorien d’Epoisses, avait procédé à la bénédiction de la cloche aux noms de saint Guy, saint Renobert et saint Louis. La cloche porte l’inscription suivante : l’an 1757, j’ai été bénite et nommée Louise par M. Guy de Chastenay, capitaine au régiment de Marbeuf-Dragons, chevalier de l’ordre royal et militaire de Saint-Louis, et par demoiselle Louise de Chastenay, demoiselle d’Eschallot.

                                                                                                 La porte d’entrée de la chapelle est ornée de la classique sculpture en accolade du quinzième siècle.            Devant la chapelle se trouve une petite esplanade sur laquelle on peut encore voir de gros pavés inégaux : c’était, disent les vieux documents, la place accoustumée à faire acte de justice.                   La chapelle reçoit le jour par deux fenêtres, l’une en ogive au fond, l’autre en plein cintre du côté de l’épître.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(La porte d'entrée de la chapelle, le clocheton et sa cloche, photo D Masson)

Si l’extérieur n’offre d’autre intérêt particulier que sa très simple facture antique, l’intérieur, par contre, est des plus curieux.   

                                                                                       En entrant, les regards du visiteur sont immédiatement frappés par les peintures murales du chœur.

Si l’extérieur n’offre d’autre intérêt particulier que sa très simple facture antique, l’intérieur, par contre, est des plus curieux.                                                                                                     

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(Les fresques du chœur inscrites au titre des Monuments Historiques en 1996, photo D Masson)

Au dix-septième siècle, elles avaient été recouvertes d’un badigeon, puis un grand retable de boiseries avait masqué le tout. Les choses en étaient là, lorsque, en juillet 1933, lors des travaux nécessaires à l’inhumation définitive de Mme la vicomtesse de Chazelle, on fut amené à démonter provisoirement la partie gauche du retable.

On découvrit une première peinture représentant le fondateur de la chapelle, Edme Régnier, facilement identifiable à ses armoiries figurées au-dessus et en avant de lui.

Il est représenté un petit lutrin devant lui, un livre ouvert ; derrière lui, son fils, Bonnaventure.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

  Edme Régnier (blason : d’azur, à trois palmes d’or, les deux du chef adossées) et sa femme, Jeanne de la Ferté (blason : de sable à trois jumelles d’argent, à la bordure de même) Photo D.Masson

 Puis, au-dessus, on apercevait le bas de la robe d’un personnage dont toute la partie supérieure était masquée par le badigeon. On tenta donc de dégager les parties occultées.

L’ange Gabriel fut mis à jour ; drapé dans un costume multicolore, il tient un sceptre à la main ; devant lui, un phylactère portant les premiers mots de la salutation angélique.

Devant ces résultats encourageants, la partie droite du retable fut enlevée à son tour. Le lessivage fit alors apparaître la Vierge ; elle est debout derrière une sellette sur laquelle repose un livre ouvert ; en avant d’elle, une énorme gerbe de lis dans un vase.

Dominant l’Annonciation, Dieu le Père dirige sur la Vierge un faisceau de rayons. L’expression de l’ange est pleine de majesté et de déférence à la fois. Celle de la Vierge d’une remarquable douceur et pureté. Au-dessous de la Vierge, faisant vis-à-vis à Edme Régnier, Jeanne de la Ferté, son épouse, au-dessus et en avant d’elle, l’écusson à ses armes ; derrière elle, sa fille.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(Le retable peint, photo D Masson)

Enfin, directement au-dessus de l’autel, une autre scène : le Christ en croix ; à sa gauche, la Vierge, puis deux personnages : le premier tient un pichet dont il semble verser le contenu dans un hanap que tient le second. A droite de la croix, saint Jean, puis un martyr nu, percé de flèches et attaché à un arbre : saint Sébastien, dira-t-on ?

Nous en doutons : il est bien plus vraisemblable que le fondateur de la chapelle ait tenu à faire représenter saint Edme, son saint patron, qui avait subi un martyre identique. Le dernier personnage à droite est sainte Barbe. Cette dernière scène est malheureusement moins bien conservée que les précédentes.

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(saint Nicolas et les croix de consécration, photo D Masson)

On voit encore sur les murs douze marques de consécration réparties sur tout le pourtour.

Notons dans le chœur, du côté de l’épître, une petite crédence ou piscine du quinzième siècle, en forme de niche. Mentionnons encore un bénitier, qui est à l’entrée ; il semble que l’on ait utilisé pour le faire une petite colonne d’une époque très antérieure au quinzième siècle.                                           

Dans un reliquaire, on conserve un fragment des reliques de saint Renobert. Deux vieilles statues en bois du quinzième siècle représentent, l’une saint Renobert, l’autre saint Gond… 

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(saint Renobert, photo D Masson)

       Outre Mme la vicomtesse de Chazelle, plusieurs des anciens seigneurs sont inhumés dans la chapelle. Ce sont : Marie le Compasseur, mère de Jean Fleutelot, morte le 4 septembre 1668 ; Jean Fleutelot, 1672 ; Jeanne Clopin, épouse du précédent, 1704 ; Claudine Fleutelot, 2 décembre 1718 ; Jean Thibaut, 5 mai 1738 ; Guy de Chastenay, 1er floréal an IX (1801). Peut-être d’autres encore : malheureusement on ne peut déterminer l’emplacement du corps de chacun.                                            La fête de saint Renobert (24 octobre) se célébra en grande pompe jusque vers 1912 : à l’issue de la grand’messe, le prêtre procédait à la bénédiction des troupeaux que l’on faisait défiler devant lui. Il bénissait ensuite les semences qui lui étaient présentées.                                                   Hélas ! aujourd’hui, à la place des foules de jadis, seuls quelques fidèles se réunissent. Ceux-là qui ne veulent pas que les belles traditions du passé tombent dans l’oubli, mais qu’elles continuent à se perpétuer toujours vivantes de générations en générations ».

                                                          Vicomte de Chazelle ; La Vie diocésaine, 17 août 1935

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

Le pèlrinage de saint Rénobert à Romprey, un article de Dominique Masson

(La bénédiction des semences et du bétail par le père Nkama, photo D Masson)

La première mention de Romprey date de 1219, date à laquelle l’évêque de Langres, Guillaume de Joinville, notifie que Thomas de Nogent, chevalier, sa femme et son fils, ont engagé aux templiers de Bure leurs parts de dîmes sur les terres de Bure, Terrefondrée et Romprey.

Mais, bien que seigneurs de Bure, les templiers n’étaient pas les seuls détenteurs de terres à Romprey. Il existait également des seigneurs laïcs ; le premier connu semble être Barthélémy de Billy, vers 1300 ; en 1376, on trouve Jean Davon et Jaquot d’Avellanges, puis, en 1380, le même à côté de Jean de Rochefort.

Au milieu du XVe siècle, c’est Guyot de la Ferté, notaire royal et coseigneur de Besançon, qui est seigneur de Monnoy et Romprey ; de son mariage avec Catherine, il aura Guillaume, conseiller du duc Charles en 1472, dont sera issue Jeanne Catherine, qui héritera de Romprey et l’amènera, par son mariage, vers 1490, à Edme Régnier.

C’est lui qui aurait fait construire alors un château à Romprey, ainsi que la chapelle, en 1500, et réunit plusieurs portions de la seigneurie en 1513, car il y eut plusieurs autres seigneurs sur ces terres ; il fut lieutenant général du bailliage de la Montagne de 1505 à 1540.                                                                                                            A la fin du XVIe siècle, par mariage, la seigneurie passa aux Fleutelot puis, à la fin du XVIIe siècle, toujours par mariage, aux Chastenay.

Guy, né à Echalot le 7 septembre 1716, seigneur de Romprey, d’Echalot et de Charmoilles, racheta, le 22 frimaire an V (12 décembre 1796), pour 3800,66 livres, des bâtiments, ainsi que 8,94 ha de terres et 3,22 ha de prés, lors de la vente des biens des Hospitaliers ou ordre de Malte de Bure.

Décédé le premier floréal an IX, sans enfants, le château fut racheté par Charles-Marguerite Simon de Calvi et, par mariages, il passa aux Dupré de Boulois, puis aux Perrot de Chazelle.

Henry Marie Joseph Albéric, né à Flée le 29 août 1891, élève à Saint-Cyr où il fut un ami de Charles de Gaulle, fut blessé durant la première guerre et, lors d’un séjour à l’hôpital, s’éprit de Juliette Vernerey, qu’il épousa, ce qui ne fut pas du goût de sa famille. Juliette décéda en 1933 et, en hommage à celle-ci, il composa un poème, en octobre 1933 :                                                                                                  

Ces lignes sont pour les amis de celle que je pleure                                                                

Selon sa volonté dernière, elle repose dans cette chapelle                                                             

Qu’elle affectionnait beaucoup.   

Cet antique oratoire est à présent pour moi un très cher reliquaire                                             

Et le seul but de ma vie brisée aujourd’hui                                                                                

Est d’en être le gardien fidèle.                                                                                                   

Amis, lorsqu’à mon tour la mort viendra me prendre,                                                                    

 Ne me plaignez point, ne me pleurez pas                                                                                     

Que Louise la petite cloche de la chapelle                                                                                

 Ne sonne point alors de glas funèbre 

Mais au contraire son plus joyeux carillon,                                                                                   

Ma mort ne sera pour moi que la fin de l’exil,                                                                                

 Ce sera pour moi un jour de fête,                                                                                                    

Le dernier, le plus grand, 

                                                                                                     Puisque je m’en irai retrouver pour toujours                                                                           Celle que j’aimais tant. 

                                                                                                           Sans enfants, Henry mourra le 15 décembre 1980 à Aisy-sous-Thil.

Le château passera alors à la famille Prouvost, descendants de riches marchands lainiers du Nord au XIXe siècle, et ceux-ci ont voulu continuer à perpétuer la tradition de la fête de saint Renobert, célébrée le dernier dimanche d’octobre.                                                                            Après la messe dite dans la chapelle par le père Amédée Nkama, suivi d’un magnifique Salve Régina, les enfants de Christian et Brigitte Prouvost ont accueilli les pèlerins dans la grande salle du château.

 

                                        Dominique Masson

 

 

 

 

 

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Zen et Zoo au magasin Aquar'Aile de Sainte Colombe sur Seine...

Publié le par Christaldesaintmarc

Zen et Zooau magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Marylène Lavey qui a créé une association nommée Zen et Zoo, se trouvait samedi 8 décembre à l'intérieur du magasin Aquar'Aile de Sainte Colombe sur Seine, pour nous présenter ses petits pensionnaires et pour recueillir des dons en nature destinés les nourrir ou à participer à leur bien-être.

L' association Zen et Zoo propose des Activités Assistées par l'Animal à but Thérapeutique, organisées  à partie de projets individualisés au service d'un public fragilisé par la vie, la maladie ou le handicap qu'il soit enfant, adulte ou personne âgée.

Zen et Zoo se déplace avec ses adorables animaux : cochons d'Inde, lapins, chiens, hamster, poules, chinchilla etc... dans les maisons de retraite, les écoles...

Nous avons pu en voir quelques uns, les caresser, les admirer au rayon animalerie du magasin Aquar'Aile .

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Quel adorable trio !

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Le hamster dormait dans sa cage mais il s'est réveillé pour nous permettre de l'admirer...

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Qu'il a grandi le superbe berger Shetland de Marylène !

Zen et Zoo au magasin Aquar'aile de Sainte Colombe sur Seine...

Le voici l'an dernier :

Zen et Zoo au magasin Aquar'Aile de Sainte Colombe sur Seine...

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"Love Box", un délicieux spectacle de mime et d'acrobaties, a ravi les spectateurs du TGB...

Publié le par Christaldesaintmarc

"Love Box"

Suite de saynettes drôles et absurdes,“Love Box” est un spectacle fin et attachant, qui nous a parlé, sans paroles, de la vie à deux.

Avec, comme uniques objets, 18 briques de bois, un vocabulaire issu du mime, de la danse, et du cirque.

Nous avons assisté avec beaucoup de plaisir à ces péripéties de deux êtres déterminés à s'aimer.

Ils se voient.  Ils se ressemblent. Ils sont attirés. Ils s'aiment. C'est le destin

"Love Box"

Ils ont le même désir : ensemble, construire leur vie. La construire l'un pour l'autre, avec  élan, avec bonne volonté… Réunir leurs goûts, leurs habitudes, leurs visions...

"Love Box"

Elle c'est une acrobate...

"Love Box"

Lui c'est un clown....

"Love Box"

Elle aime le vide, Il aimerait la combler,remplir leur petit univers de briques et de blocs.

"Love Box"

Elle apprécie les courbes, Il affectionne les angles. Dans cet espace exigu, Il se sent un peu à l' étroit.

"Love Box"

Elle, elle y est à son aise. Elle jubile au contact de ses murs, elle danse même...

"Love Box"

Alors, résolument, il faut maintenir l' équilibre, s'aimer !

"Love Box"

"Love Box"

"Love Box"

Beaucoup d'applaudissements ont salué ce délicieux et charmant spectacle de mime et d'acrobaties, un vrai régal !

"Love Box"

Mais les adultes, comme moi, n'ont pas été les seuls à savourer cet adorable et délicieux spectacle !

En effet, comme chaque fin d’année, c’est la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais, qui a offert ce spectacle à tous les enfants du territoire.

Les enfants ont été très touchés par "Love Box", ils le disaient tous à la fin des représentations.

Il faut se dire que c'était, pour Catherine Miraton, la  Directrice du Théâtre Gaston Bernard, un vrai défi que de les inviter à la découverte d’une forme artistique aussi exigeante que le mime : 45 minutes  sans paroles, face à des salles pleines d’enfants attentifs (du CP au CM2).

Mais la magie du spectacle et le grand talent des artistes ont opéré.

 Et c’est formidable de se dire que plus de 1100 enfants ont pu assister à " Love Box " (sans compter le tout public). Venus des quatre coins du Pays Châtillonnais, pour certains, c’était la première fois qu’ils franchissaient la porte d'un théâtre.

 Grâce à la Communauté de Communes , tous pourront assister à au moins un spectacle dans la saison. C’est un magnifique coup de pouce à l’accessibilité de la culture pour les plus jeunes.

Ainsi, est aussi programmé, le spectacle « A l’ombre d’un nuage  (du 17 au 21 décembre) pour les Tout-petits et la comédie musicale « Misérables » pour les collégiens (début janvier).

Comme à chaque fois, des bords de scène ont été organisés avec les artistes  à l’issue des représentations scolaires de  "Love Box". Et  les questions ont fusé.

"Love Box", un délicieux spectacle de mime et d'acrobaties, a ravi les spectateurs du TGB...

Les enfants étaient fascinés notamment de découvrir que Miriam de Sela était américaine, qu’elle avait débuté les arts du cirque à leur âge (9 ans) , que le duo d’artistes s’aimait vraiment.... et qu’il avait deux grands enfants !

La compagnie Flying Fish est basée non loin, à Avallon. Elle joue en France mais également dans le monde entier.

 Auteurs-interprètes :

Miriam de Sela (équilibriste et acrobate)

Joël Colas (clown)

Compagnies Cies A et O et Flying Fish

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Des "Assises de la Santé" ont été présentées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

Publié le par Christaldesaintmarc

 Yolaine de Courson, Députée de la 4ème Circonscription de Côte d'Or est venue présenter le lundi 3 décembre 2018, à Châtillon sur Seine, les résultats des Assises Citoyennes qu'elle a initiées.

L'opuscule qu'elle a distribué aux personnes présentes se nomme :

"Du désert médical à une nouvelle république sanitaire citoyenne"

Des "Assises de la Santé" ont été initiées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

Voici ce que madame la Députée, Yolaine de Courson, déclare au début de son livre blanc  :

La quatrième circonscription est la plus rurale du Département de la Côte d’Or On peut dès lors la qualifier de désert médical Le Conseil de l’Ordre la classifie d’ailleurs comme « défavorisée à très défavorisée ».

La démographie médicale est en baisse et les médecins, souvent proches de la retraite. Sur les six établissements hospitaliers cinq sont regroupés en Centre Hospitalier de la Haute Côte d’Or et posent de gros problèmes depuis des années. : fermeture de services, fusions et réorganisations incessantes, gabegie financière, gestion chaotique des personnels ce qui dramatise d’autant plus la perception de désert médical.

Le sixième établissement médical, situé à Semur-en-Auxois, fonctionne comme Centre Hospitalier référent et est apprécié d’autant plus qu’il est bien coordonné avec le CHU de Dijon.

Face à l’inquiétude des habitant(es) et aux réelles difficultés rencontrées (à force d’être loin de tout, près d’un tiers des personnes les plus fragiles ont tendance à ne plus se soigner), nous avons décidé de mener les Assises de la Santé en Haute Côte d’Or au second trimestre 2018.

Cinq cents questionnaires en porte à porte, cinq ateliers thématiques regroupant associations et professionnels, des visites d’établissements et des interview d’experts.

Ces Assises Citoyennes ont eu pour but de se mettre à l’écoute du territoire sur ces questions, de trouver ensemble des propositions innovantes que nous avons d’ores et déjà présentées à l’Agence Régionale de Santé (ARS) qui a déjà repris certaines de nos propositions.

Plutôt que de constater une situation et de nous en désoler, nous avons choisi de participer à la réflexion, d’agir collectivement, et d’apporter notre point de vue singulier sur la santé en ruralité.

Nous ne sommes pas des spécialistes de santé publique mais nous nous situons en pleine synergie du plan « Ma santé 2022 » du Ministère de la Santé dont nous rapportons les principaux actes en annexe de ce document.

Ce livre blanc porte la parole des citoyennes et des citoyens, une parole sensible dans toute sa complexité. Il contient le résultat des ateliers tels qu’ils se sont déroulés et les propositions qu’ils nous ont inspirés

Les 343 communes de notre territoire représentent plus de 60% de la superficie du département, c’est dire si les distances sont importantes et les personnes isolées. Leur première demande a été d’être écoutées.

Nous espérons que tel aura été le cas, grâce à cet important travail collectif et citoyen.

Des "Assises de la Santé" ont été initiées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

Les Assises comprennent quatre parties, tout d'abord les propositions concrètes issues de la consultation.

Les voici :

Écouter et rassurer

-Créer une ligne téléphonique /hotline pour répondre aux questions d'urgence avec le 15 ( ?).

-Organiser des ateliers/formation à l'écoute active qui seraient  proposés aux personnels de santé.

-Éditer un guide de santé en Haute Côte d'Or annuel (Papier et/ou numérique) disponible dans toutes les mairies.

-Créer une application personnelle pour gérer sa santé et trouver des réponses.

-Communiquer (l'ARS) sur les urgences, les changements à la direction des hôpitaux etc... avant de laisser s'amplifier des rumeurs infondées : réunions publiques avec l'ARS une fois ou deux par an.

Des "Assises de la Santé" ont été initiées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

 Prévenir et impliquer

-En partenariat avec l'EN, développer des programmes intergénérationnels et de prévention dans les écoles.

-Créer un fab-lab virtuel sur la prévention qui fédère les initiatives locales et encourage la collaboration.

-Initiative circo de deux actions pilotes : prévention dans les communes rurales avec les habitants/personnels de santé animés par la facilitatrice de La LREM, et formation UMDPC avec des élus sur l'organisation des soins dans leur territoire.

-Recrutement de patients expérimentés et les reconnaître dans toutes les instances avec un statut.

Des "Assises de la Santé" ont été initiées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

Organiser et coordonner

-Créer un véritable statut de directeur-trice de maison de santé qui aurait pour mission de promouvoir une véritable politique locale de santé dans toutes ses formes, au delà de la gestion des soins dispensés dans la maison de santé par les professionnels.

-Assurer la permanence des soins dans ces maisons.

-Adosser la maison de santé à une plate-forme de mobilité sociale et solidaire pour aller chercher les plus fragiles et les plus démunis.

-Créer une maison de santé mobile/cabine de télémédecine mobile dont la mission serait de détecter les problèmes de santé, couplée à une maison de santé virtuelle.

-Faire des mairies des relais de santé publique.

-Créer des maisons de convalescence gériatriques, sas entre l'hospitalisation et l'institution.

-Former les professionnels de santé tout au long de leur carrière notamment au maintien à domicile.

-Repenser les études de médecine avec stage obligatoire en ruralité.

-Adapter l'offre de soin à chaque territoire et proposer une équipe d'accueil diversifiée des nouveaux médecins et communiquer avec les populations sur ces sujets.

La consultation citoyenne

Les Assises sont le résultat d'une consultation citoyenne par le biais d'un questionnaire administré en porte-à-porte aux habitants de la Haute Côte d'Or.

Un millier de questionnaires a été distribué, plus de 500 ont été recueillis et analysés quantitativement et qualitativement.

Ils ont permis de déterminer les problèmes et attentes des citoyens et ont servi de base pour réaliser les ateliers

Tables rondes thématiques

L'organisation de tables-rondes thématiques réunissant des professionnels de santé, des associations et différents citoyens de la circonscription a eu lieu.

Ces ateliers ont réuni en moyenne 15 personnes et se sont déroulées avec la participation active des citoyens autour des cinq thèmes qui ont émergé de l'analyse des questionnaires,soit :

-Atelier 1 : Vieillir n'est pas une maladie

-Atelier 2 :L'urgence de l'urgence

-Atelier 3 : La prévention à la campagne

-Atelier 4 : La maison de santé idéale

-Atelier 5 : Jeunes médecins, comment leur donner l'envie de s'installer.

Auditions d'experts

Ces auditions d'experts ou de personnes ayant mené des expériences intéressantes de santé et de médecine de campagne ainsi qu'une analyse documentaire. Mais également un travail avec des étudiants en médecine sur leur vision de la médecine de campagne de demain.

L'audition du syndicat représentatif des personnels du Centre Hospitalier de Haute Côte d'Or (CH HCO) et la visite des 6 hôpitaux de la circonscription.

Paroles de patients

Lors de nos questionnaires les personnes se sont exprimées de façon souvent percutante et poignante.

 Quelques personnes ont, à la fin de l'exposé de la Députée, posé des questions.

Jean-Lou Germain, Président de l'Association des Usagers du CH HCO, a apprécié l'étude et le fait de vouloir travailler ensemble pour avancer.

Des "Assises de la Santé" ont été initiées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

Le médecin Urgentiste du CH de Châtillon sur Seine a voulu dissocier le travail réalisé dans une maison de Santé et celui qui se fait aux Urgences.

Des "Assises de la Santé" ont été initiées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

D'autres questions ont porté sur l'hélicoptère du Samu.

Gilles Seytre a évoqué les conférences faites par le SIVU.

Une personne de Montbard a  révélé que des jeunes en Service Civique vont visiter les personnes isolées.

Une autre question a porté sur la santé psychique de nombreux habitants des zones rurales.

Jérémie Brigand, Président de la Communauté de Communes du Pays Châtillonnais a demandé à la Députée de faire pression sur l'ARS  pour obliger les jeunes médecins à venir en milieu rural.

Après l'exposé, une coordinatrice de laREM a demandé aux personnes présentes si elles voulaient se retrouver par ateliers pour pouvoir échanger sur les thématiques de l'enquête.

Je ne sais si certains l'ont fait, car je me suis éclipsée rapidement.

Des "Assises de la Santé" ont été initiées par Yolaine de Courson, Députée de la circonscription de Haute Côte d'Or

Je précise que cet article n'a été écrit que pour faire connaître aux citoyens les résultats de l'enquête menée par Madame la Députée de la Circonscription, ce blog étant absolument apolitique.

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"Mariage, Concubinage et PACS" une conférence de Catherine Lopard pour l'ACC

Publié le par Christaldesaintmarc

La famille est toujours apparue comme un domaine  dans lequel le droit a tenu à imprimer sa marque. Il en est ainsi de sa cellule de base qu'est le couple dont l'organisation juridique a considérablement évolué en fonction , notamment, des changements de mentalités.

Le législateur s'est adapté à cette évolution de deux manières : d'une part en offrant différents types de "conjugalité" et d'autre part en les ouvrant aux couples homosexuels.

En 1804, année du code civil, seul le mariage était proposé donnant ainsi un statut aux personnes et aux  biens grâce au régime matrimonial.

En 1999 une loi a fait entrer dans le code le concubinage et le PACS (pacte civil de solidarité).

Un seul texte présente le concubinage, n'en donnant que sa seule définition,  laissant ainsi un certain vide juridique en ce qui concerne son fonctionnement, vide que les tribunaux ont du combler.

Le PACS, quant à lui, est plus encadré par le droit notamment en ce qu'une convention doit être rédigée  permettant aux partenaires du PACS d'organiser le statut de leurs biens.    

La constitution d'un couple est donc le résultat d'un choix  qu'il peut être intéressant d'éclairer en ayant une vision comparative des  différents modèles existants.

C'est cette approche générale du couple qui vous est proposée dans une conférence donnée  par Catherine Lopard, ancienne enseignante à la Faculté de Droit de Dijon.

Cette conférence, organisée par l'Association Culturelle Châtillonnaise, aura lieu le lundi 10 décembre 2018  à 14 heures 30 dans la salle de conférences de la Mairie de Châtillon sur Seine. (Les droits d'entrée aux conférences sont : 5 € par adhérent - 6€ par non adhérent ).

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"Mariage, Concubinage et PACS" une conférence de Catherine Lopard pour l'ACC

Publié le par Christaldesaintmarc

La famille est toujours apparue comme un domaine  dans lequel le droit a tenu à imprimer sa marque. Il en est ainsi de sa cellule de base qu'est le couple dont l'organisation juridique a considérablement évolué en fonction , notamment, des changements de mentalités.

Le législateur s'est adapté à cette évolution de deux manières : d'une part en offrant différents types de "conjugalité" et d'autre part en les ouvrant aux couples homosexuels.

En 1804, année du code civil, seul le mariage était proposé donnant ainsi un statut aux personnes et aux  biens grâce au régime matrimonial.

En 1999 une loi a fait entrer dans le code le concubinage et le PACS (pacte civil de solidarité).

Un seul texte présente le concubinage, n'en donnant que sa seule définition,  laissant ainsi un certain vide juridique en ce qui concerne son fonctionnement, vide que les tribunaux ont du combler.

Le PACS, quant à lui, est plus encadré par le droit notamment en ce qu'une convention doit être rédigée  permettant aux partenaires du PACS d'organiser le statut de leurs biens.    

La constitution d'un couple est donc le résultat d'un choix  qu'il peut être intéressant d'éclairer en ayant une vision comparative des  différents modèles existants.

C'est cette approche générale du couple qui vous est proposée dans une conférence donnée  par Catherine Lopard, ancienne enseignante à la Faculté de Droit de Dijon.

Cette conférence, organisée par l'Association Culturelle Châtillonnaise, aura lieu le lundi 10 décembre 2018  à 14 heures 30 dans la salle de conférences de la Mairie de Châtillon sur Seine. (Les droits d'entrée aux conférences sont : 5 € par adhérent - 6€ par non adhérent ).

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Publié le par Christaldesaintmarc

La famille est toujours apparue comme un domaine  dans lequel le droit a tenu à imprimer sa marque. Il en est ainsi de sa cellule de base qu'est le couple dont l'organisation juridique a considérablement évolué en fonction , notamment, des changements de mentalités.

Le législateur s'est adapté à cette évolution de deux manières : d'une part en offrant différents types de "conjugalité" et d'autre part en les ouvrant aux couples homosexuels.

En 1804, année du code civil, seul le mariage était proposé donnant ainsi un statut aux personnes et aux  biens grâce au régime matrimonial.

En 1999 une loi a fait entrer dans le code le concubinage et le PACS (pacte civil de solidarité).

Un seul texte présente le concubinage, n'en donnant que sa seule définition,  laissant ainsi un certain vide juridique en ce qui concerne son fonctionnement, vide que les tribunaux ont du combler.

Le PACS, quant à lui, est plus encadré par le droit notamment en ce qu'une convention doit être rédigée  permettant aux partenaires du PACS d'organiser le statut de leurs biens.    

La constitution d'un couple est donc le résultat d'un choix  qu'il peut être intéressant d'éclairer en ayant une vision comparative des  différents modèles existants.

C'est cette approche générale du couple qui vous est proposée dans une conférence donnée  par Catherine Lopard, ancienne enseignante à la Faculté de Droit de Dijon.

Cette conférence, organisée par l'Association Culturelle Châtillonnaise, aura lieu le lundi 10 décembre 2018  à 14 heures 30 dans la salle de conférences de la Mairie de Châtillon sur Seine. (Les droits d'entrée aux conférences sont : 5 € par adhérent - 6€ par non adhérent ).

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Publié le par Christaldesaintmarc

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Le législateur s'est adapté à cette évolution de deux manières : d'une part en offrant différents types de "conjugalité" et d'autre part en les ouvrant aux couples homosexuels.

En 1804, année du code civil, seul le mariage était proposé donnant ainsi un statut aux personnes et aux  biens grâce au régime matrimonial.

En 1999 une loi a fait entrer dans le code le concubinage et le PACS (pacte civil de solidarité).

Un seul texte présente le concubinage, n'en donnant que sa seule définition,  laissant ainsi un certain vide juridique en ce qui concerne son fonctionnement, vide que les tribunaux ont du combler.

Le PACS, quant à lui, est plus encadré par le droit notamment en ce qu'une convention doit être rédigée  permettant aux partenaires du PACS d'organiser le statut de leurs biens.    

La constitution d'un couple est donc le résultat d'un choix  qu'il peut être intéressant d'éclairer en ayant une vision comparative des  différents modèles existants.

C'est cette approche générale du couple qui vous est proposée dans une conférence donnée  par Catherine Lopard, ancienne enseignante à la Faculté de Droit de Dijon.

Cette conférence, organisée par l'Association Culturelle Châtillonnaise, aura lieu le lundi 10 décembre 2018  à 14 heures 30 dans la salle de conférences de la Mairie de Châtillon sur Seine. (Les droits d'entrée aux conférences sont : 5 € par adhérent - 6€ par non adhérent ).

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Le législateur s'est adapté à cette évolution de deux manières : d'une part en offrant différents types de "conjugalité" et d'autre part en les ouvrant aux couples homosexuels.

En 1804, année du code civil, seul le mariage était proposé donnant ainsi un statut aux personnes et aux  biens grâce au régime matrimonial.

En 1999 une loi a fait entrer dans le code le concubinage et le PACS (pacte civil de solidarité).

Un seul texte présente le concubinage, n'en donnant que sa seule définition,  laissant ainsi un certain vide juridique en ce qui concerne son fonctionnement, vide que les tribunaux ont du combler.

Le PACS, quant à lui, est plus encadré par le droit notamment en ce qu'une convention doit être rédigée  permettant aux partenaires du PACS d'organiser le statut de leurs biens.    

La constitution d'un couple est donc le résultat d'un choix  qu'il peut être intéressant d'éclairer en ayant une vision comparative des  différents modèles existants.

C'est cette approche générale du couple qui vous est proposée dans une conférence donnée  par Catherine Lopard, ancienne enseignante à la Faculté de Droit de Dijon.

Cette conférence, organisée par l'Association Culturelle Châtillonnaise, aura lieu le lundi 10 décembre 2018  à 14 heures 30 dans la salle de conférences de la Mairie de Châtillon sur Seine. (Les droits d'entrée aux conférences sont : 5 € par adhérent - 6€ par non adhérent ).

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