Publié le 17 Mai 2025

Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 16 Mai 2025

Etudiante, Sabine de Courtilles a été bouleversée par la découverte des œuvres de Camille Claudel.

Elle apprend la taille de pierre puis se lance dans la réalisation de bronzes pour lesquels elle utilise des éléments naturels (branches, écorces, bourgeons etc...)

Elle vit dans la région de Limoges, près d'une fonderie où elle peut faire couler ses œuvres dans le bronze.

Voici quelques uns de ses  bronzes magnifiques de finesse et de beauté, exposés à la galerie d'Art et d'Or jusqu'à fin mai.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 15 Mai 2025

 Tatsuo Jikumaru, peintre, est né au Japon, mais il est arrivé en France à l'âge de 17 ans.

Diplômé de l'Ecole des Beaux Arts de Versailles il donne des cours de dessin, peinture et modelage,dans son atelier à Ancy-le libre (89) .

Tatsuo a déjà exposé à la Galerie d'Art et d'Or de Châtillon-sur-Seine, en 2017,uniquement des portraits.

 Cette année, Tatsuo célèbre le culte de la nature à travers des paysages, des plantes sauvages et cultivées ..

Ses peintures sont nimbées de halos de lumière qui nous invitent à entrer dans ses tableaux, tels Alice traversant le miroir, l'effet est magique....

 

 

 

 

 

Quelques portraits tout de même...

et un superbe paon blanc nimbé d'or et de lumière...

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 14 Mai 2025

Deux grands artistes exposent jusqu'à fin juin 2025 leurs œuvres à la Galerie d'Art et d'Or de Châtillon-sur-Seine.

Sabine de Courtilles, sculptrice, présente des bronzes très originaux et Tatsuo Jikumaru des peintures bucoliques et oniriques.

Le vernissage de cette exposition a eu lieu à la galerie d'Art et d'Or, en présence des deux artistes, du galériste Patrick Dupressoir, de l'écrivain Michel Lagrange et de Christian Noorbergen, critique d'Art.

Patrick Dupressoir a présenté aux visiteurs les deux artistes qu'il  a invités à exposer dans sa superbe galerie.

Sabine de Courtilles :

Tatsuo Jikumaru :

 

Michel Lagrange  a composé  de très beaux textes qui sont le reflet de son impression artistique et émotionnelle au sujet des œuvres  de ces deux artistes.

Et le critique d'Art Christian Noorberghen a fait remarquer la beauté des œuvres exposées et le talent de leurs auteurs...

Dans deux articles séparés, je montrerai prochainement les peintures de Tatsuo Jikumaru et les bronzes de Sabine de Courtilles.

Vous trouverez plus de photos de ce vernissage sur le site de la Galerie d'Art et d'Or, et vous pourrez lire les textes de Michel Lagrange sur le travail des deux artistes :

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 13 Mai 2025

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 12 Mai 2025

OBTREE

A.Roserot écrit : Obtree, mieux : Aubetrée

1208 Albestrées

1275 Arbetrées ou Aibetrées

1337 albetrées

1381 Aubetrée

1689 Aubetrey

1779 Obtrée ou Aubtrée

18ème siècle Aubtrée ou Obetrée

(Origine des sources principales consultées et citées par A.Roserot : abbaye de Pothières. Archives de Côte d’Or : Clairvaux. Archives de Haute-Marne.Denis,XXXII. Cassini.Courtépée)

En 1789, le bourg dépendait de la province de Champagne, bailliage de Chaumont, élection de Langres.

Son église, sous le vocable de Notre-Dame (ou de Saint-Claude) était succursale de celle de Chaumont-le-Bois.

Pendant la période intermédiaire, Obtrée fit partie du canton de Villers-Patras.

LES ÉCARTS

-L’Youse, rû, commune d’Obtrée, qui se jette dans la Vieille-Rivière. Près de la source, il y a eu un ermitage (A.Roserot 1924)

18ème siècle : Hermitage de Liouze (Cassini)

19ème siècle Fontaine de l’Youse (Etat-major)

-Saint-Claude, chapelle détruite (Courtépée)

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 11 Mai 2025

 

Engagé volontaire en 1792, il fait ses premières armes sur le front pyrénéen, puis dans l'armée d'Italie où, général de brigade, il est remarqué par Bonaparte lors de la bataille du pont d'Arcole.

Il participe ensuite à la campagne d'Égypte et est élevé au rang de général de division.

Lors de la seconde campagne d'Italie (1799-1800), il dirige l'avant-garde de l'armée française. Il remporte son plus grand succès à la bataille de Montebello le 9 juin 1800. Son intelligence et son aptitude au combat sont confirmées lors de la bataille de Marengo cinq jours plus tard. Il est ensuite ministre plénipotentiaire au Portugal où il se heurte aux diplomates britanniques et portugais. En 1804, Napoléon l’élève à la dignité de maréchal d'Empire et lui donne le commandement du cinquième corps de l'armée des côtes de l'Océan.

Il participe à la campagne d'Allemagne achevée à Austerlitz (décembre 1805). Ayant quitté l'armée à la dissolution de la Troisième Coalition, il est rappelé par Napoléon lorsque la Prusse déclare la guerre à la France et suit l'Empereur dans sa campagne de Prusse et de Pologne : après la bataille d'Iéna (octobre 1806), il est chargé de pourchasser l'armée russe de Bennigsen, qu'il écrase à la bataille de Pułtusk. Il prend part à la bataille de Friedland où il combat encore en infériorité numérique. Le 15 juin 1808, il est fait duc de Montebello

 

Il est  envoyé en Espagne où il remporte la bataille de Tudela, puis mène le second siège de Saragosse.

En 1809, il participe à la deuxième campagne d'Autriche, durant laquelle Vienne est de nouveau prise par les Français.

Il participe à la bataille d'Essling.

Mais le 22 mai 1809, durant la bataille d’Essling, le maréchal Lannes, après avoir vu son ami le général Pouzet se faire tuer d'une balle perdue, est frappé à son tour par un boulet de trois livres qui le blesse gravement aux jambes.

La blessure est grave : il est amputé de la jambe gauche. Malgré cette intervention, il agonise pendant plusieurs jours avant de mourir le 31 mai 1809.

Peu de temps avant sa mort, Napoléon, ému, a recueilli les dernières paroles de cet ami frère d'armes. De Sainte-Hélène , il lui rendra un dernier hommage : 

« Lannes, le plus brave de tous les hommes... était assurément un des hommes au monde sur lesquels je pouvais le plus compter... L'esprit de Lannes avait grandi au niveau de son courage, il était devenu un géant ».

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 10 Mai 2025

 Un Bacchus « pérégrin »

 En juin 1880, était créée la Société archéologique du Châtillonnais, avec comme président Victor Deheurle.

Elle fut approuvée par le préfet de la Côte d’Or le 17 novembre de la même année.

Son but était de rechercher, de conserver, et d’étudier les vestiges qui rappellent la vie des générations préhistoriques et tous les monuments de l’histoire locale.

Devenue, en 1888, la Société Archéologique et Historique du Châtillonnais, elle se lança dès ses débuts dans l’exploration de tumuli et, à partir de 1882, dans la reprise des fouilles à Vertillum, fouilles abandonnées par la Commission des Antiquités de la Côte d’Or une dizaine d’années auparavant.

Les rapports de cette fouille furent faits, d’abord par Gustave Lapérouse, puis par Théophile Habert, et enfin par Henri Lorimy.

Les objets retrouvés étaient transportés dans le musée créé par la Société, rue Bourée.

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Figure 1 :Le musée de Châtillon rue Bourée Châtillon (C.P. H. Bogureau)

C’est sous la direction d’Henri Lorimy qu’en 1894, la veille même de la clôture des fouilles de l’année, quelques coups de pioche mettaient à jour, à une faible profondeur (0m40 à 0m50, dans un terrain acheté par la Société), au milieu d’une terre fine et meuble, un jeune Bacchus gallo-romain, en bronze…

Ce n’est pas seulement une pièce rare, c’est une pièce unique jusqu’à ce jour.

Présentée à l’Académie des Inscriptions et Belles-lettres par notre éminent compatriote M. Louis Cailletet, elle a été jugée d’une haute valeur artistique par les archéologues les plus compétents de cette assemblée.

M. Héron de Villefosse, conservateur des antiques au musée du Louvre, considère ce bronze comme étant du plus haut intérêt, tant par son état parfait de conservation que comme un échantillon précieux de l’art gallo-romain (la même année, fut trouvée à Vertault la statue des déesses mères).

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Figure 2 : Photographie de la statue de Bacchus insérée dans le bulletin de la Société Archéologique et Historique du Châtillonnais (1896). Il en sera fait ultérieurement un autre tirage avec la même taille mais entouré d'une marge blanche importante, l'ensemble de la feuille faisant 36cmx27,5 cm

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Figure 3 : Plan des fouilles à Vertault en 1894. Au numéro 145 la croix indique l'emplacement de la statue de Bacchus (bulletin de la SAHC op cit)

Cette statue fut trouvée dans la parcelle n° 145, dans un vaste espace clos de murs, rempli d’une terre noire et fine et sans mélange de pierres, sur une épaisseur moyenne de 0m70 ...

Ce petit Bacchus y était à peine enfoui, jeté là comme au hasard et sans aucune protection….

Et M. Lorimy ajoute :Cet emplacement était bien un jardin et le Bacchus, seul objet recueilli en cet endroit, a dû y être caché précipitamment au moment de l’invasion.

Cet espace devait être un jardin, avec un impluvium ou un bassin en forme de U, car il était bordé de deux côtés par des rigoles en pierre.

Cette statue, selon madame Simone Deyts, sur le plan stylistique, est proche de deux autre bronzes, l’un trouvé à Reims, l’autre provenant peut-être de Pompéi, conservé au British Museum, ce qui dénote un modèle commun copié avec plus ou moins de variantes, sans doute d’origine italienne.

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Figure 4 : la statuette de Bacchus, Reims

C’est donc que ce n’est pas à partir de cette date de la découverte qu’a commencé le voyage du Bacchus enfant.

Se pose alors la question de savoir où il a été fabriqué et comment, et pour qui il a pu être acheminé pour se retrouver dans la maison d’un riche propriétaire de Vertillum, une ville secondaire gallo-romaine, et donc peu connue pour la grande richesse de ses habitants.

De plus, il avait connu par le passé quelques malheurs.

Des traces de coups reçus dans l’antiquité sont apparents sur la main et le poignet gauches.

Le bras gauche a été brisé dans l’antiquité, puis rajusté, et pareil accident semble être arrivé à la main droite : lepouce a été cassé puis rajusté à l’aide d’un goujon.

Lors de sa découverte, en 1894, il reçut un coup de pioche sur le bras gauche.   

Il ne resta pas longtemps au musée de Châtillon car, le 30 novembre 1894, M. Cailletet l’emmenait à Paris, où il fut présenté à l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres, puis il revint à Châtillon.

Il refera un nouveau voyage à Paris, en 1937, à l’occasion de l’exposition universelle (exposition internationale des arts et techniques dans la vie moderne) ; il sera exposé au Palais national des Arts (palais de Tokyo), car c’est l’époque où l’on redécouvrit, en France, les richesses des musées de province et l’exposition universelle constituera l’apogée de ce mouvement de redécouverte des collections provinciales.

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Figure 5 : Carton du menu du 27 mai 1957 à l'occasion du XXVIIIème congrès de l'Association Bourguignonne des Sociétés Savantes, réalisé par Pierre Garnier

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Figure 6 : Dans sa première présentation, la statue était fixée sur un socle de marbre veiné. Cliché Chambon 1950

Il restera ensuite au musée de Châtillon, rue Docteur Bourée, jusqu’après la deuxième guerre mondiale, bien qu’il ait failli être vendu, en 1926, au musée du Louvre.

Puis il déménagera en 1949 dans la « maison Philandrier », acquise en 1928 par l’Association pour la sauvegarde de l’Art français.

C’est là que, dans la nuit du 18 au 19 décembre 1973, la statue fut volée.

Commence alors pour la statue un long voyage, dans le temps et dans l’espace, dans les frontières et probablement hors des frontières de l’Union européenne.

Finalement, elle sera achetée, en 2019, par un collectionneur autrichien, qui accepta en fin de compte de restituer la statue à Châtillon.

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Figure 7 : Détail de la statue de Bacchus

La conservatrice en chef du musée de Châtillon, madame Monnet, partit ainsi à Amsterdam, avec le moulage de la statue de Bacchus.

Car, en 1931, le musée du Louvre s’était proposé pour réaliser un moulage de la statue.

Lors de la fonte, dans l’antiquité, pour cacher certains défauts, au moins 48 pièces de bronze ont été rapportées sur différentes parties du corps, en particulier sur la fesse droite.

Toutes ces petites imperfections permirent d’identifier formellement la statue en bronze comme étant la statue volée.

Au cours de ces pérégrinations, la statue a perdu un attribut qu’elle portait dans sa main droite : un végétal, une fleur stylisée peut-être, un quatre-feuilles, mais dont deux avaient été brisées.

Ceci semble une réparation faite dans l’antiquité.

La main droite devait, à l’origine, peut-être porter un canthare et, dans la main gauche, un thyrse, glissé entre ses doigts (bâton terminé par une pomme de pin et entouré de pampres et de lierre, attribut de Bacchus).

La statue de Bacchus a rejoint les collections exposées dans le nouveau musée de Châtillon, ouvert en 2009 dans l’ancienne abbaye Notre Dame, rue de la Libération, pour, l’espérons-le, un long moment.

 ( Dominique Masson)

"Un Bacchus pérégrin" un notule d'histoire de  Dominique Masson

Bibliographie sommaire:

-Bulletin de la Société archéologique et historique du Châtillonnais ; quatrième série-1894 ; Leclerc, 1896

- Deyts Simone : Vertault à travers ses sculptures ; Bulletin de la Société archéologique et historique du Châtillonnais ; sixième série, n° 7, 2004 

-Revue des Musées et collections archéologiques ; n° 14, 1928

 

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 9 Mai 2025

Au début de "L'aube d'un nez", le public fait la connaissance de l'auteur dramatique Edmond Rostand et de son épouse Rosemonde Gérard, poétesse, qui a mis de côté son talent pour s'occuper de son mari et de son enfant. 

Edmond a eu l'idée d'écrire une pièce de théâtre sur un héros truculent  du sud-ouest, nommé Savinien de  Cyrano de Bergerac, doté d'un fort nez dont il se gaussait sans honte...

Mais l'inspiration ne vient pas, il passe ses nuits à écrire...tandis que Rosemonde dort...

Et la journée, il se réfugie pour essayer d'écrire, dans une gargotte...

...dont la tenancière est une forte femme, féministe avant l'heure, en effet elle remet à leur place  les clients machos...

Mais elle s'intéresse au jeune  Edmond et l'encourage vivement à poursuivre son idée géniale de donner vie à un personnage hors du commun comme Cyrano...

Sa pièce enfin terminée, Edmond rend visite au grand acteur Constant Coquelin aîné, et lui propose le rôle clé, celui de Cyrano.

Coquelin accepte, il va falloir maintenant trouver un acteur pour jouer Christian, et une actrice pour interpréter Roxane, sans compter de l'argent pour monter la pièce.

Son ami, l'acteur Maurice Volny qui jouera le rôle de Christian de Neuvillette emmène Edmond se distraire  dans un cabaret...

Ces sorties n'enchantent pas Rosemonde, on la comprend.... 

 

Maria Legault accepte le rôle de Roxane....

 et les répétitions peuvent commencer....

...sous l'œil attentif des producteurs  qui veulent une certaine rentablité de l'argent qu'ils investissent dans le spectacle...

On essaie les costumes...

Cyrano est affublé un faux-nez....

Roxane et Christian répètent devant Edmond, très inquiet....

Les répétitions sont laborieuses... Enfin c'est le soir de la première...

Edmond est accablé désespéré, il ne croit plus au succès de sa pièce, il se cache dans les coulisses..

Et tout à coup il entend une clameur ! les spectateurs sont debout, on les entend applaudir, Cyrano de Bergerac est un triomphe  qui durera jusqu'à nos jours !

Les quinze acteurs de l'atelier des Gens ont obtenu aussi un triomphe, ils ont joué magnifiquement la pièce  "l'Aube d'un nez" écrite par Emma Clément qui est aussi leur metteuse en scène.

Emma a été récompensée par un magnifique bouquet...

Un acteur a voulu aussi lui offrir...une poule, mais elle a décliné sous les fous rires des acteurs et des spectateurs !

Nous avons ri, nous nous sommes émus en découvrant la genèse d'une pièce de théâtre immortelle...Merci à Emma Clément de nous avoir permis de connaître un peu mieux  Edmond Rostand.

Et bravo à la troupe des quinze acteurs-amateurs, véritablement très talentueux, qui nous ont fait passer une excellente soirée !

Un petit regret pour moi: ne pas connaître le nom des comédiens  qui ont participé à ce spectacle...

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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Publié le 8 Mai 2025

Les enseignants et les élèves de l'école Marmont ont organisé un bien agréable événement sous le préau de leur école : un marché aux plantes qui est l'aboutissement de leurs recherches, toutes classes confondues. (voir plus loin)  

Les plantes proposées   ont été  celles de la pépinière "Mi-Ombre" de Chamesson.

Charlotte de Calonne, l'horticultrice, a déposé fort harmonieusement les plantes d'une fraîcheur parfaite, sous le préau et dans la cour de récréation. 

 

Des légumes de toutes sortes...

 

 

des fleurs....

Les acheteurs ont été très nombreux pour profiter de plantes superbes cultivées avec amour !

 

Les écolier(e)s ont présenté des tableaux récapitulatifs des recherches qu'ils ont effectuées depuis la rentrée de septembre sur le monde végétal, particulièrement sur la reproduction des plantes.

Un bien beau travail qu'il faut saluer, bravo à eux !

 

 

 

Et des parents, très motivés, proposaient des gâteaux, des boissons  dont la vente a alimenté sans nul doute,  la coopérative de l'école Marmont.

Ce marché était une bien belle initiative, merci aux écoliers d'en avoir eu l'idée !

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Rédigé par Christaldesaintmarc

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